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Frankenstein ou le Prométhée moderne

Frankenstein ou le Prométhée moderne
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Frankenstein ou le Prométhée moderne (Frankenstein; or, The Modern Prometheus) est un roman publié en 1818 par la jeune Anglaise Mary Shelley, maîtresse et future épouse du poète Shelley. Son système narratif est fondé sur une série de récits en abyme enchâssés les uns dans les autres. Le cadre général est celui d'une tentative d'exploration polaire par Robert Walton ; à l'intérieur se situe l'histoire de la vie de Victor Frankenstein, recueilli par l'explorateur sur la banquise ; enfin, cette dernière recèle la narration faite à Frankenstein par le « monstre » qu'il a fabriqué et auquel il a donné l'étincelle de vie, et en particulier celle des tourments endurés par cette créature qui nourrit envers son créateur une haine tenace, mais à ses yeux justifiée. Dès sa parution, Frankenstein est catalogué en roman gothique et, à quelques exceptions près, promu au rang de chef-d'œuvre. Préambule[modifier | modifier le code] Related:  Littérature

En finir avec Eddy Bellegueule Structure et récit[modifier | modifier le code] En finir avec Eddy Bellegueule narre l'enfance et l'adolescence d'Eddy Bellegueule (« patronyme originel » de l'auteur[2]) dans un village de Picardie, le rejet qu'il subit à cause de ses manières efféminées de la part des gens du village et de sa propre famille, les violences et les humiliations qu'il endure dans un milieu où l'on n'aime pas les « pédés ». Les expériences que relate le narrateur dépeignent un univers où la misère et l'alcool accompagnent une reproduction sociale qui amène les femmes à devenir caissières après avoir abandonné leurs études et les hommes à passer de l'école à l'usine. Accueil critique et analyse[modifier | modifier le code] Autour du livre[modifier | modifier le code] À la suite de la parution du livre et pour sa thématique, Édouard Louis reçoit en mars 2014 le prix Pierre Guénin contre l'homophobie et pour l’égalité des droits. Éditions françaises[modifier | modifier le code] Éditions imprimées Livre audio

Dracula Présentation du roman de Bram Stoker[modifier | modifier le code] Personnages principaux[modifier | modifier le code] Le roman[modifier | modifier le code] Dracula n'est pas le premier roman fantastique à exploiter le thème du vampire. Il marque pourtant une étape cruciale dans la littérature fantastique et en particulier celle abordant le thème des vampires ; le succès du livre et la popularité du personnage l'attestent encore aujourd'hui. Plus que le sens du récit et la maîtrise du suspense de Stoker, c'est la personnalité de son personnage principal qui fonde le mythe. En effet, Dracula est un monstre mais est aussi un réprouvé, un rejeté de Dieu, une personne à craindre mais aussi à plaindre. « Mais ce n'est pas une œuvre de haine. — Bram Stoker, Dracula, chapitre 23 Le récit se joue donc entre l'Angleterre et la Transylvanie au XIXe siècle, notamment dans un château retiré des Carpates. Résumé détaillé[modifier | modifier le code] L'Invité de Dracula[modifier | modifier le code]

Petit Pays (roman) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Petit Pays est le premier roman de Gaël Faye, connu jusque-là comme auteur-compositeur-interprète. Il est paru le 24 août 2016 aux éditions Grasset et rencontre un grand succès critique qui lui permet d'être réédité par Le Livre de poche. L'auteur souligne que le roman n'est pas autobiographique, mais qu'il est inspiré de sa propre histoire. Gabriel a une dizaine d'années au début de l'année 1993 et vit une enfance heureuse dans le confortable quartier de Kinanira à Bujumbura (Burundi) avec son père, Michel, ingénieur expatrié français, sa mère, Yvonne, d'origine rwandaise, et sa petite sœur Ana. L'ouvrage reçoit un accueil très favorable de la critique[1],[2],[3]. Les droits sont achetés pour de nombreux pays[7]et reçois une critique toute aussi favorable. Laure Adler, « Gaël Faye pour Petit Pays aux Editions Grasset » [archive] [[audio]], sur www.franceinter.frFlorian Alix, « Gaël Faye. [vidéo] Gaël Faye, Petit Pays [archive] sur YouTube

Peter Pan Peter Pan est un personnage de fiction britannique créé par l'auteur J. M. Barrie, apparu pour la première fois dans le roman Le Petit Oiseau blanc[1] en 1902, puis dans la pièce du même nom, et ensuite dans la pièce Peter et Wendy (1904), plus connue sous le titre Peter Pan, qui sera publiée en roman en 1911. Le personnage et l'œuvre ont ensuite été adaptés à de nombreuses reprises au théâtre, au cinéma, ou encore en bande dessinée. L'œuvre[modifier | modifier le code] Pour certains commentateurs, le personnage a pu être inventé par Barrie en souvenir de la mort à 13 ans de son frère aîné David, dont sa mère, Margaret, ne s'est jamais remise, faisant porter le deuil à son fils cadet[2]. Peter Pan fait sa première apparition imprimée en 1902 dans le livre The Little White Bird (Le Petit Oiseau blanc)[1]. Au milieu du XXe siècle, le prénom Wendy devient très populaire en Angleterre grâce au personnage du roman. Résumé[modifier | modifier le code] Adaptations[modifier | modifier le code]

Mauprat (roman) Mauprat est un roman historique publié par la romancière française George Sand en 1837. L'histoire se déroule pour la majeure partie dans le Berry à l'aube de la Révolution française au XVIIIe siècle. Il relate l'histoire d'un jeune garçon issu d'une famille de seigneurs cruels, les Mauprat, qui échappe peu à peu à son lourd héritage familial grâce à l'amour qu'il éprouve pour sa cousine, nettement plus civilisée que lui. L'œuvre recèle plusieurs aspects : si Mauprat est avant tout un roman d'amour et une histoire de famille, c'est aussi un roman d'éducation, une fable philosophique et un manifeste féminin. Le roman commence par un récit-cadre dans lequel le narrateur rencontre le vieux Bernard Mauprat, qui lui raconte l'histoire de sa vie, en se concentrant sur sa rencontre et sa relation avec Edmée Mauprat. Bernard Mauprat, encore enfant, est emmené à la Roche-Mauprat. Un jour, Edmée est capturée par les Mauprat coupe-jarrets un soir où ceux-ci et Bernard sont ivres.

Les Aventures d'Alice au pays des merveilles À l'origine, lors de sa première écriture, le livre n'était pas destiné aux enfants. L'écriture fut reprise une seconde fois pour les enfants en conservant les personnages merveilleux qui la rendaient si attrayante pour ce jeune public. Le roman foisonne d'allusions satiriques aux amis de l'écrivain et aux leçons que les écoliers britanniques devaient mémoriser à l'époque. Le pays des merveilles, tel qu'il est décrit dans le conte, joue sans cesse avec la logique. Le livre a connu une suite intitulée De l'autre côté du miroir. L'ouvrage reste populaire au XXIe siècle, aussi bien auprès des enfants que des adultes. Historique[modifier | modifier le code] Lorina Charlotte Liddell (âgée de 13 ans, appelée Prima dans le poème d'ouverture).Alice Liddell (âgée de 10 ans, appelée Secunda dans le poème d'ouverture).Edith Liddell (âgée de 8 ans, appelée Tertia dans le poème d'ouverture)[4]. Description[modifier | modifier le code] L'intrigue[modifier | modifier le code] Comédie musicale Conte musical

Frère d'âme Historique[modifier | modifier le code] Écriture du roman[modifier | modifier le code] Prix et distinctions[modifier | modifier le code] La traduction en anglais de la poétesse américaine Anna Moschovakis, sous le titre At Night All Blood Is Black (soit « La Nuit tous les sangs sont noirs » en français) permet à l'auteur d'être le premier Français à remporter en 2021 le prix international Man-Booker au Royaume-Uni[3]. Le 9 juillet 2021, Barack Obama l'inscrit dans sa liste des livres à lire durant l'été [archive]. Résumé[modifier | modifier le code] Alfa Ndiaye, tirailleur sénégalais, raconte son vécu de la guerre, où il a perdu son meilleur ami, Mademba Diop. Réception critique[modifier | modifier le code] RFI retient « une manière très directe et parfois […] un style naïf », « [un] roman incisif et décapant »[4]. Éditions[modifier | modifier le code] Prix littéraires[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]

Modernisme (1900-Actuel) Anglo-américain Modernisme : Pound, Lewis, Lawrence et Eliot De 1908 à 1914, il y eut une période remarquablement productive d'innovation et d'expérimentation pendant que les romanciers et les poètes entreprirent, dans des anthologies et des magazines, de contester les conventions littéraires non seulement du passé récent, mais de toute l'ère post-romantique. Pendant un bref instant, Londres, qui jusque-là avait été culturellement l'une des capitales européennes les plus ennuyeuses, se vantait d'une avant-garde rivalisant avec celles de Paris, Vienne et Berlin, même si sa principale personnalité,Ezra Pound , et bon nombre de ses personnages les plus notables étaient américains. Réagissant contre ce qu'ils considéraient comme une tradition poétique épuisée, les imagistes ont voulu affiner le langage de la poésie pour en faire un véhicule non pas pour le sentiment pastoral ou la rhétorique impérialiste mais pour la description exacte et l'évocation de l'humeur.

L'Étrange Cas du docteur Jekyll et de M. Hyde L'Étrange Cas du docteur Jekyll et de M. Hyde (en anglais, Strange Case of Dr Jekyll and Mr Hyde) est un roman court écrit par Robert Louis Stevenson et publié en janvier 1886. Il s'agit d'une réécriture, le premier manuscrit ayant été détruit par Fanny Van de Grift, l'épouse de l'auteur, qui le considérait comme un « cahier plein de parfaites sottises »[1]. L’œuvre raconte l'histoire d'un notaire, Gabriel John Utterson, qui enquête sur le lien étrange entre Edward Hyde et le docteur Henry Jekyll. Par ailleurs Robert Louis Stevenson a avoué avoir imaginé cette histoire après avoir fait un cauchemar. Le docteur Jekyll, un philanthrope obsédé par sa double personnalité, met au point une drogue pour séparer son bon côté de son mauvais. La traduction du titre retenue ici est celle publiée par Charles Ballarin en 1992 et reprise dans la Bibliothèque de la Pléiade en 2001. Résumé[modifier | modifier le code] L'histoire se déroule à Londres, en Angleterre, au XIXe siècle. M. Lanyon s'exécute. .

Littérature victorienne (1832) Poètes et écrivains ayant écrit sur les conditions de travail à l'époque victorienne[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Portail de la littérature britannique Romantisme britannique (1800) Le romantisme britannique est l'expression en Grande-Bretagne du mouvement romantique, mouvement artistique, littéraire et intellectuel apparu en Europe à la fin du XVIIIe siècle et qui trouvera son apogée entre 1800 et 1850. En Grande-Bretagne ce mouvement s'exprimera essentiellement dans la littérature. On considère en général la publication des Lyrical Ballads du poète William Wordsworth en 1798 et le couronnement de la Reine Victoria en 1837 comme les dates de débuts et de fin du mouvement, mais la période romantique n'est pas aussi clairement définie[1]. Le reste du monde anglophone, notamment l'Amérique, sera touché plus tardivement par le romantisme. Tendances nouvelles de la poésie et du roman au XVIIIe siècle[modifier | modifier le code] William Cowper. Le roman, de son côté, avait pris une place prépondérante. La Rénovation littéraire[modifier | modifier le code] Portrait de Sir Walter Scott, l'auteur d’Ivanhoé. Tel est le caractère de l'école nouvelle. Romantisme

Le Portrait de Dorian Gray Le Portrait de Dorian Gray (The Picture of Dorian Gray) est un roman d'Oscar Wilde écrit dans le contexte de l'époque victorienne et publié en 1890, puis révisé en 1891[2]. L'auteur y inclut des thèmes relevant de l'esthétique tels que l'art, la beauté, la jeunesse, la morale et l'hédonisme. C'est un roman fantastique, mais aussi philosophique, qui met en lumière la personnalité équivoque du dandy irlandais ainsi que le courant décadentiste, ce qui a suscité de virulents échanges de lettres entre Wilde et plusieurs journaux très critiques jugeant l'œuvre « répugnante »[3]. Résumé[modifier | modifier le code] Dorian, jeune dandy londonien d'une rare beauté, fait la connaissance de Lord Henry Wotton, dit Harry, chez son ami Basil Hallward, un peintre reconnu. « Si c’était moi qui toujours devais rester jeune, et si cette peinture pouvait vieillir !... Par la suite le jeune homme tombe amoureux d'une comédienne dont le jeu le fascine, Sibyl Vane, et lui promet le mariage.

Le Seigneur des anneaux Prenant place dans le monde fictionnel de la Terre du Milieu, il suit la quête du hobbit Frodon Sacquet (Frodo Bessac), qui doit détruire l'Anneau unique afin que celui-ci ne tombe pas entre les mains de Sauron, le Seigneur des ténèbres, qui l'a créé. Plusieurs personnages lui viennent en aide, parmi lesquels son jardinier Sam, les hobbits Meriadoc et Peregrin (Merry et Pippin), le mage Gandalf ou encore l'humain Aragorn, héritier d'une longue lignée de rois. À la suite du succès critique et commercial du Hobbit, Tolkien entreprend la rédaction du Seigneur des anneaux en décembre 1937 à la demande de son éditeur, Allen & Unwin[1]. Il lui faut douze ans pour parvenir à achever cette suite, qu'il truffe de références et d'allusions au monde du Silmarillion, projet sur lequel il travaille depuis 1917 et dans lequel Le Hobbit a été attiré « contre l'intention première » de son auteur[2]. Résumé[modifier | modifier le code] Les Deux Tours[modifier | modifier le code] De la même façon, J.R.R.

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