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1984 (roman)

1984 (roman)
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Il décrit une Grande-Bretagne trente ans après une guerre nucléaire entre l'Est et l'Ouest censée avoir eu lieu dans les années 1950 et où s'est instauré un régime de type totalitaire fortement inspiré à la fois du stalinisme et de certains éléments du nazisme[réf. nécessaire]. La liberté d'expression n’existe plus. Toutes les pensées sont minutieusement surveillées, et d’immenses affiches sont placardées dans les rues, indiquant à tous que « Big Brother vous regarde » (Big Brother is watching you). Le monde en 1984 selon George Orwell[2]. Big Brother Winston Smith, 39 ans, habitant de Londres en Océania, est un employé du Parti Extérieur, c'est-à-dire un membre de la « caste » intermédiaire du régime océanien, l'Angsoc (mot novlangue pour « Socialisme Anglais »). Toutefois, contrairement à la majeure partie de la population, Winston ne réussit pas à pratiquer cette amnésie sélective et ne peut donc adhérer aux mensonges du parti.

Charles Fourier Signature sur un exemplaire de ses ouvrages. Vue de la sépulture. Il était considéré par Karl Marx et Friedrich Engels comme une figure du « socialisme critico-utopique », dont un autre représentant fut Robert Owen. Plusieurs communautés utopiques, indirectement inspirées de ses écrits, ont été créées depuis les années 1830. Biographie[modifier | modifier le code] En 1808, il pose, dans son ouvrage Théorie des quatre mouvements et des destinées générales, qu’il poursuivit sous forme d’un grand traité dit de l’Association domestique et agricole[2]:73, les bases d’une réflexion sur une société communautaire. En janvier 1826, employé comme commis chargé de la correspondance ou de la comptabilité, dans une maison de commerce américaine, temporairement établie en France, il prend la résolution d’habiter désormais la capitale, de préférence à toute autre ville, parce qu’il espère y rencontrer plus aisément des personnes en position d’essayer sa Théorie[2]:91. Pensée[modifier | modifier le code]

Fahrenheit 451 Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le titre fait référence au point d'auto-inflammation, en degrés Fahrenheit, du papier. Cette température équivaut à un peu moins de 233 °C. Résumé[modifier | modifier le code] Première partie : Le foyer et la salamandre[modifier | modifier le code] Dans la nuit, le pompier Guy Montag marche sur la route pour rentrer chez lui. Arrivé chez lui, il trouve sa femme Mildred étendue sur le lit sans connaissance et à ses pieds gît un petit flacon de cristal vide : elle vient d'absorber son contenu, une trentaine de comprimés d'un somnifère. Le lendemain, elle ne se souvient plus de rien. Montag croise régulièrement Clarisse dans la rue. Depuis quatre jours, Montag ne voit plus Clarisse. Un peu à la traîne, Montag repart en mission. Le capitaine quitte leur maison en demandant à Montag de revenir travailler. Cette partie se termine alors qu'il vient de lire l'extrait d'un livre. Deuxième partie : Le tamis et le sable[modifier | modifier le code]

Discours de la servitude volontaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Discours de la servitude volontaire. Le Discours de la servitude volontaire ou le Contr'un est un ouvrage rédigé en 1549 par Étienne de La Boétie à l'âge de dix-huit ans. Sa première publication date de 1574. Ce texte consiste en un court réquisitoire contre l'absolutisme qui étonne par son érudition et par sa profondeur, alors qu'il a été rédigé par un jeune homme d'à peine dix-huit ans. L’œuvre[modifier | modifier le code] La puissance subversive de la thèse développée dans le Discours ne s’est jamais démentie. L’originalité de la thèse de La Boétie est contenue tout entière dans l’association paradoxale des termes « servitude » et « volontaire ». [modifier | modifier le code] Le Malencontre : origine de la dénaturation[modifier | modifier le code] L’état de nature voudrait donc que les sociétés soient « égalitaires » où personne ne pourrait détenir du pouvoir sur les autres. La liberté délaissée[modifier | modifier le code] André Tournon, L.

George Orwell Photographie d'Orwell sur sa carte de membre du Syndicat national des journalistes (National Union of Journalists) en 1943. Œuvres principales George Orwell [dʒɔː(ɹ)dʒ ˈɔːwel][a], nom de plume d’Eric Arthur Blair, né le 25 juin 1903 à Motihari (Inde) pendant la période du Raj britannique et mort le 21 janvier 1950 à Londres, est un écrivain, essayiste et journaliste britannique. Son œuvre porte la marque de ses engagements, qui trouvent eux-mêmes pour une large part leur source dans l'expérience personnelle de l'auteur : contre l'impérialisme britannique, après son engagement de jeunesse comme représentant des forces de l'ordre colonial en Birmanie ; pour la justice sociale et le socialisme[1],[2], après avoir observé et partagé les conditions d'existence des classes laborieuses à Londres et à Paris ; contre les totalitarismes nazi et stalinien, après sa participation à la guerre d'Espagne. Il est membre du Syndicat national des journalistes et du Parti travailliste indépendant. Ci-gît

Distopía Una distopía[Nota 1] o antiutopía es una sociedad ficticia indeseable en sí misma.[1] Esta sociedad distópica suele ser introducida mediante una novela, ensayo, cómic o cine. Etimología[editar] El concepto de "distopía" proviene de la cultura anglosajona. En cuanto a la etimología, el término se acuñó a partir de los términos del griego antiguo δυσ- (dis) "malo" y τόπος (tópos) "lugar, paisaje, escena".De acuerdo con el Oxford English Dictionary, el término fue acuñado a finales del siglo XIX por John Stuart Mill, quien también empleaba el sinónimo creado por Bentham cacotopía, del adjetivo κακό (kakó) "mal" y τόπος. Ambos términos se basaron en el término utopía acuñado por Tomás Moro procedente de ευ- (ef) "no" y τόπος, significando 'lugar que no existe' y cuya utilización son en términos de sociedades perfectas o ideales. Temática y uso[editar] También se pueden incluir en este apartado las novelas postapocalípticas, ambientadas en un futuro postcatástrofico. Notas[editar]

Le Meilleur des mondes Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le roman a été adapté à la télévision en 1980 et en 1998. Résumé de l'intrigue[modifier | modifier le code] Présentation du Meilleur des Mondes (chapitres 1 à 6)[modifier | modifier le code] L'histoire débute à Londres, en l’an 632 de Notre Ford dans un bâtiment gris nommé D.I.C. Dans cette société, la reproduction sexuée telle qu'on la conçoit a totalement disparu ; les êtres humains sont tous créés en laboratoire, les fœtus y évoluent dans des flacons, et sont conditionnés durant leur enfance. Une fois enfants, les jeunes humains reçoivent un enseignement hypnopédique qui les conditionne durant leur sommeil, créant une morale commune profondément ancrée dans les subconscients de chacun. les castes supérieures : Les Alpha en constituent l'élite dirigeante. Chacune de ces castes est divisée en deux sous-castes : Plus et Moins. La réserve et les sauvages (chapitres 7 à 9)[modifier | modifier le code] Analyse[modifier | modifier le code]

Banalité du mal Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La « banalité du mal » est un concept philosophique proposé par Hannah Arendt en 1963 dans son ouvrage Eichmann à Jérusalem. Rapport sur la banalité du mal. Le concept[modifier | modifier le code] Hannah Arendt, philosophe et spécialiste de théorie politique, juive allemande, réfugiée aux États-Unis, suit, en 1961 et 1962 en Israël, le procès d'Adolf Eichmann, criminel de guerre nazi, en tant qu'envoyée spéciale du New Yorker. Ce concept pose des questions essentielles sur la nature humaine : l'inhumain se loge en chacun de nous. Aujourd'hui l'imprégnation idéologique des exécuteurs est considérée comme plus importante que ce qu'en pensait Hannah Arendt dans les années 1960. Les idées d'Harald Welzer[modifier | modifier le code] De son point de vue, Harald Welzer, psychologue social allemand, replace, quarante ans plus tard, la responsabilité de tels fonctionnaires dans le contexte général de la société qui les avait engendrés[3].

Propagande Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La propagande est un ensemble d'actions psychologiques exercées sur les pensées et les actes d'une population, afin de l'influencer, l'endoctriner ou l'embrigader[1],[2]. Elle se distingue de la publicité par son objet, car elle n'est pas censée faire la promotion de produits de type commercial. La propagande n'est étudiée de façon scientifique qu'à partir du XXe siècle[3] avec la recherche en psychologie associée aux moyens de communication modernes, les médias de masse. La description et l'étude des différents types de propagande se sont largement développés à la même époque. La publicité partage des techniques et moyens mis en œuvre par la propagande diffuse pour produire un acte d'achat et présenter de manière positive des comportements (société de consommation)[7],[8]. Histoire du terme propagande[modifier | modifier le code] Typologie des propagandes[modifier | modifier le code] Propagandes politique, économique, religieuse, militaire...

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