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Fahrenheit 451

Fahrenheit 451
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le titre fait référence au point d'auto-inflammation, en degrés Fahrenheit, du papier. Cette température équivaut à un peu moins de 233 °C. Résumé[modifier | modifier le code] Première partie : Le foyer et la salamandre[modifier | modifier le code] Dans la nuit, le pompier Guy Montag marche sur la route pour rentrer chez lui. Arrivé chez lui, il trouve sa femme Mildred étendue sur le lit sans connaissance et à ses pieds gît un petit flacon de cristal vide : elle vient d'absorber son contenu, une trentaine de comprimés d'un somnifère. Le lendemain, elle ne se souvient plus de rien. Montag croise régulièrement Clarisse dans la rue. Depuis quatre jours, Montag ne voit plus Clarisse. Un peu à la traîne, Montag repart en mission. Le capitaine quitte leur maison en demandant à Montag de revenir travailler. Cette partie se termine alors qu'il vient de lire l'extrait d'un livre. Deuxième partie : Le tamis et le sable[modifier | modifier le code]

Le Meilleur des mondes Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le roman a été adapté à la télévision en 1980 et en 1998. Résumé de l'intrigue[modifier | modifier le code] Présentation du Meilleur des Mondes (chapitres 1 à 6)[modifier | modifier le code] L'histoire débute à Londres, en l’an 632 de Notre Ford dans un bâtiment gris nommé D.I.C. Dans cette société, la reproduction sexuée telle qu'on la conçoit a totalement disparu ; les êtres humains sont tous créés en laboratoire, les fœtus y évoluent dans des flacons, et sont conditionnés durant leur enfance. Une fois enfants, les jeunes humains reçoivent un enseignement hypnopédique qui les conditionne durant leur sommeil, créant une morale commune profondément ancrée dans les subconscients de chacun. les castes supérieures : Les Alpha en constituent l'élite dirigeante. Chacune de ces castes est divisée en deux sous-castes : Plus et Moins. La réserve et les sauvages (chapitres 7 à 9)[modifier | modifier le code] Analyse[modifier | modifier le code]

Salamandre (animal légendaire) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La salamandre, baffie ou lebraude est un amphibien légendaire qui était réputé pour vivre dans le feu et s'y baigner, et ne mourir que lorsque celui-ci s'éteignait. Mentionnée pour la première fois par Pline l'Ancien, la salamandre devint une créature importante des bestiaires médiévaux ainsi qu'un symbole alchimique et héraldique auquel une profonde symbolique est attachée. Ainsi, Paracelse en faisait l'esprit élémentaire du feu, sous l'apparence d'une belle jeune femme vivant dans les brasiers. Le philosophe et théologien Saint Augustin reprit la symbolique de la salamandre dans La cité de Dieu, dans un chapitre qui s'intitule Si les corps peuvent être éternels dans le feu : « Pourquoi devrais-je démontrer sinon pour convaincre les incrédules qu'il est non seulement possible que les corps humains, animés et vivants ne se défassent jamais et ne se dissolvent pas avec la mort, mais encore durent dans les tourments du feu éternel ? « [...]

Pierre-Joseph Proudhon Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pierre-Joseph Proudhon Philosophe français XIXe siècle Proudhon donna dans son Système des contradictions économiques, publié en 1846, une explication de la société fondée sur l’existence de réalités contradictoires. Ainsi la propriété manifeste l’inégalité mais est l'objet même de la liberté ; le machinisme accroît la productivité mais détruit l’artisanat et soumet le salarié ; in fine la liberté elle-même est à la fois indispensable mais cause de l'inégalité. Biographie[modifier | modifier le code] Premières années[modifier | modifier le code] Proudhon est né à Besançon (dans une maison de la rue du Petit-Battant), d’un père garçon brasseur et d’une mère cuisinière. Intérêt pour la politique[modifier | modifier le code] En 1839, il écrit L'Utilité de la célébration du dimanche, un traité qui contient les germes de ses idées révolutionnaires. Proudhon et la révolution de 1848[modifier | modifier le code] Proudhon à l'assemblée nationale en 1848.

Le Havre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. De nos jours, Le Havre reste profondément marqué par sa tradition ouvrière et maritime. La ville est connue nationalement grâce à ses clubs sportifs d'envergure nationale (Le Havre Athletic Club en football, Saint-Thomas Basket et l'équipe féminine de handball du HAC). Géographie[modifier | modifier le code] Localisation[modifier | modifier le code] Géologie et relief[modifier | modifier le code] Climat[modifier | modifier le code] Les précipitations se répartissent tout au long de l’année, avec un maximum en automne et en hiver. Les principaux risques naturels sont les inondations, les tempêtes et les raz-de-marée. Environnement[modifier | modifier le code] Une étude réalisée par l'Aphekom et comparant dix grandes villes françaises montre que Le Havre est la commune la moins polluée de France[16]. Voies de communication et transports[modifier | modifier le code] Liaisons régionales, nationales et internationales[modifier | modifier le code]

Socialisme scientifique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Définitions et historique[modifier | modifier le code] Dans le Manifeste du Parti communiste, Marx et Engels jugent sévèrement les formes de socialisme et de communisme « critico-utopiques » présente dans les œuvres d'auteurs comme Saint-Simon, Owen ou Fourier : à leurs yeux, ces idées se sont perdues dans la réalisation expérimentale de leurs utopies, en négligeant la lutte des classes[2]. L'ensemble des socialistes pré-marxistes tend par la suite à être qualifié de « socialisme utopique », par opposition au socialisme scientifique revendiqué par les marxistes[3]. Le premier auteur à utiliser l'expression « socialisme scientifique » - ainsi que celle de « socialisme utopique » - n'est cependant pas Marx, mais un adversaire politique de ce dernier, Pierre-Joseph Proudhon[4], qui forge le terme en 1840 dans Qu'est-ce que la propriété ? Marx pense son œuvre à l'aune de la science : Le Capital se veut un traité scientifique. Friedrich Engels.

Contes, Mythes et Légendes de Normandie Les contes et légendes de Normandie, imprégnés de mystère, de merveilleux, de surnaturel et de magie, nous plongent au plus profond d’une littérature orale qui puise ses racines dans l’Histoire, le paganisme Viking et la foi chrétienne. Contes et Légendes Traditionnels - Trésor du patrimoine culturel Normand, nos contes et légendes, hérités d’une tradition orale remontant à des temps immémoriaux, sont le reflet de notre identité. Contes et Légendes de Noël - des contes pour petits et grands, pour renouer avec l’ambiance intimiste et chaleureuse des veillées de Noël d’autrefois en Normandie. Légendes Arthuriennes - A la recherche du Graal, sur les traces du roi Arthur , de Merlin l’enchanteur et de Lancelot du Lac, en terre normande ... Légendes du Mont-Saint-Michel - de l’Archange Saint Michel à l’Evêque d’Avranches, de la forêt de Scissy au redoutable Thomas de Saint-Jean, à la légende de Tombelaine ... Varous, Fantômes et Dames Blanches

Robert Owen Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Owen. Robert Owen Robert Owen, né le à Newtown (comté de Montgomeryshire) et mort le dans la même ville, était un socialiste réformateur gallois. Biographie[modifier | modifier le code] L'industriel[modifier | modifier le code] Owen naquit à Newtown, dans le Montgomeryshire, au Pays de Galles, où son père était forgeron. En 1794 ou 1795, il devint le directeur et l'un des associés de la Chorlton Twist Company à Manchester. Débuts d'œuvre sociale[modifier | modifier le code] Principes[modifier | modifier le code] Les années suivantes, les travaux d'Owen à New Lanark connurent une portée nationale et même européenne. Owen fut en revanche très déçu par le Factory Act (1819), issu d'un projet de législation industrielle dont il fut l'un des artisans. Les travaux d'Owen étaient bien perçus comme ceux d'un philanthrope, avec cette différence due à sa modernité, son originalité et son désintéressement.

Socialisme utopique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'expression « socialisme utopique » désigne l'ensemble des doctrines des premiers socialistes européens du début du XIXe siècle (qui ont précédé Marx et Engels) tels Robert Owen en Grande-Bretagne, Saint-Simon, Charles Fourier, Étienne Cabet et Philippe Buchez en France. Ce courant est influencé par l'humanisme et souvent le christianisme social. Il s'inscrit à l'origine dans une perspective de progrès et de foi dans l'homme et la technique. Il connaît son apogée avant 1870, avant d'être éclipsé, au sein du mouvement socialiste, par le succès du marxisme. La notion de socialisme utopique a été conçue par Friedrich Engels et reprise par les marxistes (qui l'opposent à la notion de socialisme scientifique) ; le qualificatif d'utopique, accolé au socialisme, est donc né d'une intention polémique avant d'être ensuite consacré par l'usage. Origine de l'expression[modifier | modifier le code] Historique synthétique[modifier | modifier le code]

Totalitarisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le totalitarisme est l'un des trois grands types de systèmes politiques avec la démocratie et l'autoritarisme. C'est un régime à parti unique, n'admettant aucune opposition organisée et dans lequel l'État tend à confisquer la totalité des activités de la société. C'est un concept forgé au XXe siècle, durant l'entre-deux-guerres, avec une apparition concomitante en Allemagne et en URSS. Le totalitarisme signifie étymologiquement « système tendant à la totalité[1]. » L'expression vient du fait qu'il ne s'agit pas seulement de contrôler l'activité des personnes, comme le ferait une dictature classique. Les origines du concept[modifier | modifier le code] L' adjectif « totalitaire » (« totalitario ») apparut en Italie dès le mois de mai 1923 (on prête parfois son invention à Giovanni Amendola[4],[5], opposant et victime du fascisme). Des définitions diverses[modifier | modifier le code] Définition selon Hannah Arendt[modifier | modifier le code]

Vers une société sans État Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vers une société sans État (ISBN 0812690699) est un essai écrit par l'économiste libertarien David Friedman, traduit en Français par Françoise Liégeois et publié en France en 1992. C'est un des livres les plus influents dans la littérature anarcho-capitaliste. Thèse principale[modifier | modifier le code] Le livre cherche à démontrer non seulement la faisabilité pratique, mais aussi la désirabilité d'une société fonctionnant sans le moindre État, défini comme une agence de type gouvernementale bénéficiant d'un monopole de la violence légale et parfois de divers autres droits exclusifs. Dans la seconde partie, l'auteur fournit les concepts de base de l'économie au lecteur, comme la propriété privée, les diverses théories de la valeur utilisées au cours de l'Histoire, ainsi que les mécanismes de la praxéologie. Approche utilitariste de l'anarchie[modifier | modifier le code]

Pierre Clastres Pierre Clastres (París, 1934 — 1977) fue un antropólogo y etnólogo francés. Fue director de investigaciones en el Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) de París, y miembro del Laboratoire d'Anthropologie Sociale do Collège de France. Adherido a la ideología anarquista y tuvo una activa participación en los sucesos conocidos como el Mayo francés. Biografía[editar] Filósofo por formación, se interesó por la antropología americanista bajo la influencia de Claude Lévi-Strauss y Alfred Métraux. Inmediatamente vuelca su obra a raíz del Discurso sobre la servidumbre voluntaria de Étienne de La Boétie con el que se identifica. Pierre Clastres realizó investigaciones de campo. Trabajos[editar] En su obra más conocida, La sociedad contra el Estado, Clastres critica los conceptos que a los evolucionistas les gustaría que el Estado organizara bajo la finalidad de toda sociedad y que Rousseau expresaba con «la inocencia natural del hombre». Pensamiento[editar] Obras[editar]

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