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La résilience, reflet de notre époque

La résilience, reflet de notre époque
Qu’est-ce que la résilience ? À l’origine, il s’agit d’un terme utilisé en physique pour désigner la résistance aux chocs d’un métal. Il est particulièrement utile pour évaluer les ressorts. Par extension, on a adopté ce terme pour désigner, dans divers domaines, l’aptitude à rebondir ou à subir des chocs sans être détruit. En psychologie, on s’en sert pour désigner la capacité de se refaire une vie et de s’épanouir en surmontant un choc traumatique grave. Tendance actualisante À partir de la définition sommaire ci-dessus, on peut facilement y reconnaître une des manifestations de la tendance actualisante, cet aspect crucial de l’équipement inné de tous les êtres vivants. Mais ou pourrait dire qu’il s’agit d’un volet spécialisé de la tendance actualisante; celui qui permet de surmonter les pires obstacles, les événements qui, en plus de menacer notre vie, s’attaquent directement à notre identité et à notre valeur personnelle.

"La résilience dépend beaucoup de l’environnement" selon Boris Cyrulnik On lui a appris à l’université qu’un cerveau touché était foutu. Il célèbre, à travers ses livres à succès, la capacité humaine à rebondir après un traumatisme. Le psychiatre et neurologue Boris Cyrulnik*, qui a importé des États-Unis la théorie de la résilience, organise cette semaine à Paris un colloque** international pour faire le point sur les avancées de la recherche. Au lieu de répondre aux critiques des psychiatres qui répètent que son concept fourre-tout n’est pas étayé, il contre-attaque en réclamant des politiques publiques innovantes pour favoriser le sursaut des enfants frappés par le sort. Pourquoi une grande messe sur la résilience? Qu’est-ce au juste que la résilience? Quelle est l’origine du mot? «Il y a le facteur génétique qui n'est pas inexorable, la stabilité affective des premiers mois. Comment devient-on résilient? Les récentes découvertes scientifiques montrent que le cerveau est capable de se réparer lui-même. Quels sont les facteurs de la résilience?

Qu’est-ce que la résilience CANBERRA – Afin de répondre à cette question, il nous faut commencer par en soulever une autre : À quel point pensons-nous pouvoir changer sans pour autant devenir quelqu’un d’autre ? À quel point un écosystème, une ville ou une entreprise peuvent-ils changer avant de ressembler à – et de fonctionner comme – un nouveau type d’écosystème, de ville ou d’entreprise ? Toutes ces entités constituent des systèmes auto-organisés. C’est là grosso modo la définition de la résilience : la capacité d’un système à absorber une perturbation, à se réorganiser, et à continuer de fonctionner de la même manière qu’avant la survenance de cette perturbation. Il existe toutefois un certain nombre de limites, ou seuils, à la résilience d’un système, au-delà desquelles ce système adopte une manière différente de fonctionner – c’est-à-dire une nouvelle identité. Ce changement qui affecte les récifs coralliens est dicté par deux principaux seuils. - Une solide capacité à réagir rapidement au changement.

La résilience. Résister aux traumatismes Même s'ils en gardent des cicatrices, les humains peuvent dépasser des traumatismes graves. Telle est l'encourageante conclusion à laquelle aboutissent les travaux sur la résilience. Les spécialistes du domaine s'intéressent particulièrement aux facteurs de protection, au premier rang desquels se situent les relations affectives avec les proches. Comment survivre au malheur ? Pendant de longues années, les spécialistes avaient tendance à estimer qu'un drame personnel conduisait très souvent à une psychopathologie. Une découverte inattendue La majeure partie des travaux sur la résilience porte sur des enfants. Au départ, les chercheurs avaient décidé de suivre sur plusieurs dizaines d'années le vécu de tous les enfants nés en 1955 sur l'île Hauai, dans l'archipel des îles Hawaï. Par ailleurs, un grand nombre des enfants à haut risque qui avaient eu des problèmes à l'adolescence rebondissaient à l'âge adulte. Des critiques méthodologiques Or, il s'agit là d'une erreur de perspective. M. S.

La résilience : un concept pour la gestion des risques Pages 115 - 125 Article suivant Pour réduire les dommages des catastrophes, les ingénieurs proposent depuis plusieurs siècles une stratégie qui vise à améliorer la résistance des sociétés face à un aléa. Ils calculent les magnitudes prévisibles de plus en plus précises de l’aléa, puis ils persuadent les responsables d’édifier un équipement de défense pour protéger la société. La résilience est un concept d’origine physique, transféré en sciences sociales, notamment en psychologie et en économie, après un détour par l’écologie. 1.1 De la résilience physique à la résilience systémique Le terme de résilience vient du latin Resilio qui signifie rebondir. Par rapport à l’écologie, les économistes ont souligné que la résilience pouvait adopter deux formes (Berkes et Folke, 1998). Mais la science des systèmes dynamiques permet de comprendre des évolutions dans un nouveau paradigme d’équilibres pluriels. 1.2 Les facteurs de la résilience 2.1 Des mesures disciplinaires simples

La résilience -Le traumatisme : Le concept de traumatisme est fondamental pour l’auteur, car pour parler de processus de résilience, il faut comme point de départ un traumatisme. Le traumatisme est définit comme un évènement qui laisse l’individu dans un état d’agonie psychique, c’est à dire que l'on n’est plus capable de penser l’évènement (page 59) on peut parler aussi d’état de choc. -La carence affective : Concept important dans la constitution d’une résilience. Ce que l’auteur explique assez bien est que chaque évènement n’est pas vécu de la même manière. L’auteur est controversé : apprécié du grand public et souvent critiqué par les universitaires, scientifiques…Il est dit de lui qu’il est le père de la résilience, d’autres affirment qu’il n’a rien inventé.

La résilience: un concept pour la gestion des catastrophes et crises Politique de sécurité:analyses du CSSN° 60 • septembre 2009 CSSETH Zurich LA RÉSILIENCE: UN CONCEPT POUR LAGESTION DES CATASTROPHES ET CRISESLe concept de résilience a gagné de l’importance après des événements comme l’ouraganKatrina ou les attentats terroristes de New York, Madrid et Londres. Cette évolution est due àla réalisatio ’ garantie de sécurité intégrale n’est pas possible étant donné la diversité,n qu unela complexité et l’imprévisibilité des risques modernes. Le but de la résilience est d’accroîtrela capacité générale de résistance et de régénération des systèmes techniques et sociaux.On tient de plus en plus compte du concept dans les domaines de la protection contre lescatastrophes et de la gestion des crises. complexité et l’imprévisibilité des risquesmodernes, impossible de s’armer contretoutes les crises potentielles et de ga-rantir une sécurité intégrale. Politique de sécurité:analyses du CSS liente. © 2009 Center for Security Studies (CSS), ETH Zurich

Le Journal d'Anne Frank Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Journal d'Anne Frank est le livre composé du journal intime tenu par Anne Frank, une jeune fille juive allemande exilée aux Pays-Bas, lorsqu'elle se cache à Amsterdam, pendant deux ans, avec sa famille et quatre amis, au cours de l'occupation des Pays-Bas par l'Allemagne nazie. Le journal commence à la date du Dimanche 14 juin 1942 et s'achève le Mardi 1er août 1944, quelques jours avant l'arrestation des huit personnes, le . Anne Frank meurt du typhus, dans le camp de concentration de Bergen-Belsen, en mars 1945 et son père, Otto Frank sera le seul survivant de la famille. Le journal d'Anne est récupéré par Miep Gies dans l'Annexe, dans les heures suivant l'arrestation des Frank. Quand Otto Frank, peu après son retour à Amsterdam, en juin 1945, apprend la mort d'Anne, Miep Gies lui remet le journal d'Anne, qu'elle avait soigneusement conservé. Le Journal d'Anne Frank a été traduit en plus de 70 langues. Margot Frank est la sœur d'Anne.

Resilience Alliance - Key concepts The general meaning of resilience, derived from its Latin roots 'to jump or leap back', is the ability to recover from or adjust easily to misfortune or change. In the Resilience Alliance we put more emphasis on the capacity to "get back" than to "bounce back". Our focus is social-ecological systems - linked systems of people and nature. It involves resilience at multiple scales, from the scale of a farm or village, through communities, regions, and nations to the globe. By "social-ecological system" we mean a multi-scale pattern of resource use around which humans have organized themselves in a particular social structure (distribution of people, resource management, consumption patterns, and associated norms and rules). Resilience is... the ability to absorb disturbances, to be changed and then to re-organise and still have the same identity (retain the same basic structure and ways of functioning). 1. a. b. Figure 1. 2. Figure 2. Figure 3. 3. Figure 4. 4. 5. 6.

Anne Frank Coralie m'écrit : « Bonjour, je voudrais savoir quand et ou sont morts les gens de l'annexe »Voici les informations (le lieu de la mort est en gras) : Comment échapper à Bad Decisions | Adam Grant When we make a choice that doesn't work out, we find it remarkably difficult to cut our losses and walk away. Think about the last time you waited for 45 minutes at a restaurant, and there was no sign that your table would be ready in the near future. You should have probably headed to another restaurant, but you'd already waited 45 minutes, so how could you leave? Or you hired an employee who struggled to master the key skills for the job, and after several months of training and coaching, things hadn't improved. If you kept waiting at the restaurant or working with the employee, you fell into a trap that organizational behavior expert Barry Staw calls escalation of commitment to a losing course of action. To stop escalation, we need to understand what causes it. New evidence reveals that the biggest culprit behind escalation is ego threat. Rigorous studies support four antidotes to escalation: (1) Separate the initial decision-maker from the decision evaluator.

L' histoire d' Anne Frank: Le journal d'Anne Frank est publié Le journal d’Anne Frank est publié aux Pays-Bas le 25 juin 1947. Otto Frank entreprend la lecture des journaux de sa fille. C’est pour lui une révélation, car il ne la connaissait pas aussi bien qu’il le pensait. The diary is published Otto Frank fulfills Anne's wish and publishes the diary. To the timeline Un journal comme meilleure amie Anne peut tout confier à son journal Plus... L'écrivain Anne Frank Après la guerre, Anne veut devenir écrivain ou journaliste. Plus Boutique en ligne Le journal d’Anne Frank et d’autres livres sont en vente dans notre boutique en ligne. Se rendre à la boutique Un passage du manuscrit dactylographié en allemand du journal d’Anne. Le texte rédigé et composé par finit par tomber entre les mains de Jan Romein et de sa femme Annie Romein-Verschoor, tous les deux historiens. L'article "La Voix d’une Enfant" La critique du Journal de Jan Romein en première page de Het Parool, le 3 avril 1946. Les éditions « Contact » à Amsterdam l’emportent. note ce jour-là : " livre ".

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