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Consommation. Textile : les vêtements de seconde main toujours plus à la mode

Consommation. Textile : les vêtements de seconde main toujours plus à la mode
Les Français n’hésitent plus : pour leur garde-robe, ils se dirigent de plus en plus vers les vêtements de seconde main, autrement dit, qui ont déjà eu une première vie. Selon l’Observatoire Natixis Payments, le nombre d’achats de ce type a augmenté de 140% par rapport à 2019. Et déjà cette année-là, 39% des Français avaient acheté au moins un vêtement de seconde main selon une étude de l’Institut français de la mode (IFM). La mode "durable" Et pour cause, la fripe est une façon de consommer plus responsable, loin des grosses enseignes qui ont été souvent épinglées ces dernières années pour leur production à toute vitesse et peu écologique. C’est d’ailleurs la principale raison à en croire un sondage réalisé par Appinio : chez les consommateurs français de seconde main, 48,8% indiquent l’être pour "amoindrir l’impact de leur dressing sur l’environnement". Vinted en fer de lance

Pourquoi il est urgent d'acheter moins de vêtements ? - Les Optimistes Vous êtes peut-être en train de vous dire, n’est-ce pas paradoxal qu’une marque de vêtements nous incite à acheter moins de vêtements ? De notre côté, on pense que c’est notre devoir d’être le plus transparent possible et d’informer les citoyens sur toutes les problématiques de l’industrie textile. Et aujourd’hui, l’une des problématiques majeures de cette industrie (et de bien d’autres industries également) c’est qu’elle nous pousse à toujours acheter plus de vêtements même si nous n’en avons pas besoin. Comment envisager de continuer de produire toujours plus de vêtements dans un monde où les ressources naturelles ne sont pas inépuisables et s’amenuisent de jour en jour ? Sommaire1 – Pourquoi acheter moins de vêtements : les chiffres2 – Acheter moins de vêtements mêmes s’ils sont éco-responsables ?3 – Pourquoi achète-on autant de vêtements ? Pourquoi acheter moins de vêtements : les chiffres Et des chiffres qui font peur et ne sont pas agréables à lire, il y en a encore beaucoup. 5 2 votes

En France, l’industrie textile retrouve le fil Le 15 mars 2020, la pandémie plonge le pays dans une crise sanitaire historique. La France a besoin de 40 millions de masques de protection par semaine. Les stocks sont insuffisants, et notre pays ne peut en produire que 8 millions. Face à la pénurie qui fait rage, des couturières bénévoles se mettent à l’ouvrage partout en France. Les pionniers Christophe Lépine, fondateur de la marque Bleu de Paname, pionnier du made in France avec sa compagne Carol Girod, s’engouffre dans la dynamique. « J’avais trouvé un stock de matière pour fabriquer l’équivalent de 2 millions de masques. À la recherche de financements pour produire et payer ses équipes, il multiplie les contacts. Thibaut Guilluy, haut-commissaire à l’emploi et à l’engagement des entreprises, s’engage à ses côtés. C’est à Roubaix, ville emblématique de l’histoire du textile, que sortent en avril 2020 les premiers masques made in France, homologués par le ministère de l’Armement. Investir grâce au plan de relance

Les Canaux | Le local, la clé pour une mode plus vertueuse ? D’un point de vue éthique, une consommation locale soutient une industrie séculaire et des savoir-faire en voie d’extinction, assure des conditions de travail et de rémunération qui respectent le droit national, ainsi que des processus de fabrication plus respectueux de l’environnement. Une consommation locale, c’est aussi une consommation écologique, tant au niveau du transport qu’en termes de dépense énergétique dans le processus de production. En effet, afin de suivre le rythme effréné des changements de collections, les vêtements, sacs et chaussures sont souvent fabriqués à l’autre bout du monde. Or, la condition pour que les boutiques soient livrées en permanence est de recourir à des moyens de transports réguliers et rapides.

Recontre avec Juliet Bonhomme, influenceuse belge 'slow fashion' - Metrotime « Il y a trois ans, j’ai eu une prise de conscience sur l’impact de notre consommation sur la planète. J’ai eu la chance de pouvoir travailler dans une asbl bruxelloise qui sensibilise à la consommation durable. J’ai fait ma transition vers le zéro déchet, le bio, le local… Et ce qui a été le plus difficile pour moi : la mode ! « Il me semble que ça le devient, oui. « Pendant le confinement, comme je ne pouvais plus aller chiner en boutique de seconde main puisqu’elles étaient fermées, j’ai demandé à ma mère de m’apprendre à utiliser sa machine à coudre. « Non, je ne me sens pas légitime. « Ils sont aussi le moteur du changement. « Pas tellement. « Oui, c’est exactement ça et c’est pour cette raison que c’est tellement excitant et difficile à la fois car il faut tout inventer. « C’est logique car le public actif sur les réseaux est plus féminin que masculin. « Consommer mieux mais moins.

La mode après Marie Kondo : comment consommer moins et mieux Depuis qu’on a «dévoré» l’émission du gourou du rangement Marie Kondo sur Netflix, on n’a plus envie de consommer de la même manière. Trois pros du dressing nous expliquent comment épurer sa garde-robe avec style. Caroline de Surany, auteure et coach : "Je ne garde que l’essentiel" «Il y a cinq ans, j’ai voyagé quatre mois en moto en Inde avec un petit sac à dos et trois tenues. Rien ne m’a manqué, je me suis sentie incroyablement libre. J’ai réalisé pendant mon tri l’énorme gâchis de temps et d’argent, ça a provoqué un choc. Économies «Avec l’argent de la revente de mes vêtements superflus, je suis repartie en Inde et je me suis formée à différents métiers du bien-être. Le conseil de Caroline de Surany : trouver son style «Si quelque chose entre dans ma garde-robe, une autre doit en sortir. Va vers ta peur de Caroline de Surany, Éditions Marabout, 256 pages, 15,90 euros, sortie le 27 février. En vidéo, "L'Art du rangement", la série de Marie Kondo Ralentir sur la "fast fashion" Rétromania

L'attrait des Français pour la seconde main se confirme (ETX Daily Up) - Le retour au bureau et à une vie quasi normale n'a pas effacé les engagements pris par les Français en matière de mode responsable, bien au contraire. Une nouvelle étude révèle qu'ils sont plus que jamais tournés vers la seconde main, synonyme de durabilité et d'économies, dont le nombre d'achats s'est envolé au cours des derniers mois. Plus qu'une simple tendance qui a émergé en pleine pandémie de Covid-19, la seconde main se révèle être un phénomène de fond, qui témoigne non seulement des engagements éco-responsables des consommateurs, mais également d'une envie, ou plus exactement d'un besoin, d'acheter malin. Quoi qu'il en soit, cette pratique est bel et bien partie pour durer, et ce même si les magasins de prêt-à-porter traditionnels ont depuis longtemps rouvert leurs portes. Un marché porté par les femmes Reste que la seconde main semble être essentiellement l'affaire des femmes. Le shopping en ligne explose

SLOW FASHION : définition, engagements et enjeux Le premier pas vers une garde-robe minimaliste et éthique est de trier tous ses vêtements : pantalons, jupes, robes, débardeurs, tee-shirts, vestes, manteaux. Tout doit être passé au peigne fin. Il en est de même pour les accessoires de mode : chapeaux, chaussures, écharpes, bijoux, sacs, etc. Le but de cette étape ? Pour ce faire, il est nécessaire de mettre de côté les habits qui ne vous plaisent plus, qui sont trop grands et/ou trop petits, ceux que vous n’avez jamais osé porter, ceux qui sont abîmés et ne peuvent plus être réparés, etc. Une fois ce travail réalisé, vous pourrez donner, échanger, vendre ou recycler via notre programme redonner ! Vous pouvez donner les habits que vous ne gardez pas à des proches, à des personnes dans le besoin ou encore à des associations comme la Croix-Rouge qui se chargeront de les distribuer, par exemple.

Importation de vetements de seconde main et competitivite des micro-entreprises de couture au Congo-Brazzaville 1Une conséquence immédiate de la libéralisation des échanges au niveau mondial est le développement du commerce mondial de vêtements d’occasion qui, selon les Nations Unies a été "multiplié par 10" entre 1990 et les années 2000, son chiffre d’affaires dépassant aujourd’hui un milliard de dollars par an (500 milliards FCFA). En Afrique, les vêtements d’occasion constituent, dans la majorité des cas, la garde-robe de gens ordinaires. Plus d’un quart des vêtements portés ici provient de la friperie. 2L’Afrique s’attend à un afflux encore plus massif de vêtements d’occasion avec l’entrée en vigueur des accords de partenariat économique (APE) que l’Union européenne (UE) négocie actuellement avec les 6 régions des pays d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (ACP). 3Le Congo Brazzaville n’est pas resté en marge du phénomène d’importation massive de friperie. 4L’étude du vêtement de seconde main suscite depuis peu un intérêt grandissant.

Guide du vêtement responsable Tous nos choix de consommation ont un impact sur l'environnement et sur la société. Consommer de façon responsable, se définir comme un « consomm’acteur », c’est assumer pleinement ce pouvoir que chacun de nous a de façonner le monde à l'image des choix qu'il pose au quotidien. Nos achats vestimentaires ont évidemment des impacts sur l'environnement et sur les humains qui les confectionnent. Vous souhaitez mieux comprendre ces impacts et connaître les alternatives qui s’offrent à vous? L’industrie du textile et du prêt-à-porter évoque plusieurs choses. Il n’est pas rare, ni anodin, de croiser des familles écoresponsables de nos jours. Billet de blogue - 12 février 2014 - Tag : Aliments biologiques du Québec, Consommation responsable, Exiger équitable, Guide des certifications, Guide du vêtement responsable, Nettoyage écolo, Où trouver équitable, Pareil pas pareil, Transport écologique, Dossiers - Pour la souverainete alimentaire

Les vêtements d’occasion et leurs pérégrinations 1Autrefois (sans toutefois remonter jusqu’à l’homme primitif nu ou à l’homme des cavernes vêtu de peaux de bêtes), les vêtements, fabriqués de façon artisanale, étaient très coûteux, par rapport au revenu moyen des ménages. Dès lors, la garde-robe de la plupart des gens était très limitée. Même au XVIIIe siècle, une enquête réalisée en Petite Camargue (dans le sud de la France) montre qu’en moyenne, un ouvrier agricole ne disposait guère que de quatre vêtements (dont deux chemises et une culotte), contre une quarantaine pour un notable (Agamis, 1997, p. 413-427). Dans une même famille, souvent nombreuse, les vêtements passaient des aînés aux cadets ; ils étaient réparés (raccommodés, ravaudés, rapiécés, retournés, etc.), jusqu’à usure complète. 2Au-delà d’une période du Moyen Âge assez autarcique, les vêtements usagés alimentèrent un commerce de l’occasion qui se développa très fortement. 3Jusqu’au XIXe siècle au moins, une grande majorité des habitants s’habilla en fripe.

Comment les Français consomment-ils la mode aujourd’hui ? Les données et les enseignements présentés dans cet article se basent sur l’analyse des résultats de l’enquête réalisée en 2017 auprès de 2 000 Français par IPSOS pour l’Observatoire E.Leclerc des Nouvelles Consommations. Moins de dépenses pour les habits Que l’on soit ou non passionné de mode, les vêtements sont un poste de consommation difficile à ignorer. Les Français interrogés par l’Observatoire sont d’ailleurs presque 7 sur 10 à en acheter régulièrement. Parmi ces derniers, 90% considèrent que l’habillement contribue à leur qualité de vie. Pourtant, le budget alloué à ce poste paraît bien raisonnable comparé à celui de nos voisins européens. 66% des Français estiment qu’il est facile de sacrifier leurs dépenses en habillement. L’Insee note pour sa part que ce poste de dépenses a longtemps augmenté moins vite que les autres. Le succès de la mode à petit prix Au moment d’acheter un nouveau vêtement, le critère du prix est déterminant pour 74% des Français interrogés par l’Observatoire.

CONSOMMER MIEUX SES VÊTEMENTS SANS FRUSTRATION La mode responsable c’est définitivement le sujet du moment. Tout le monde en parle que ce soit dans les magazines ou les journaux à coup de discours moralisateur. Pourtant quand je discute avec mes amis, je me rend compte que tout le monde en a conscience mais qu’il est difficile de savoir comment consommer mieux ses vêtements. Du coup, autour de la table, il y a celles qui n’achètent plus qu’en boutique de frip’, ceux qui privilégient les marques « éco-responsables », celles qui ont décidé de scanner toutes les étiquettes, et, au milieu, il y a ceux qui ont démissionné car le sujet semblait trop complexe. Le point commun entre toutes ces personnes c’est la frustration! Tous, nourrissent un sentiment de frustration et l’impression qu’aujourd’hui on pointe du doigt la moindre consommation qui dévie de ce qui est « correcte socialement et écologiquement ». Pour ma part, j’emploie la méthode Marie Kondo. Cependant il y a quelques règles à suivre lorsque l’on achète en seconde main :

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