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Le bonheur - Cours de philosophie

Le bonheur - Cours de philosophie
Les enjeux de la notion – une première définition Le bonheur est souvent conçu comme étant une fin ultime de la vie humaine (c’est ce qu’on appelle eudémonisme). Il se distingue des fins partielles, c’est-à-dire des fins qui à leur tour deviennent des moyens en vue de fins plus élevées (par exemple la richesse). Le bonheur est la fin la plus haute, une fin que l’on recherche pour elle-même, une fin en soi. Cependant, une fois cela reconnu, nous n’avons encore rien affirmé de la nature du bonheur. Le bonheur – entre plaisir et vertu « Un plaisir pourrait s’identifier avec le plus grand bien, même en admettant que la plupart des plaisirs se trouvent être absolument mauvais. « N’est-il vrai que, nous autres hommes, désirons tous être heureux ». Selon Aristote, la recherche du bonheur est recherche du souverain bien, c’est-à-dire du bien qui n’est recherché que pour lui-même et que rien d’extérieur ne rend plus désirable qu’il n’est par lui-même. L’épicurisme L’utilitarisme Le stoïcisme

la liberté consiste-t-elle à faire ce qui nous plaît Note : on trouvera en Annexes, à la fin, des textes qui peuvent se lire avant, après ou pendant la lecture de ce corrigé. Sujet : La liberté consiste-t-elle à faire ce qui nous plaît ? Il est fréquent de penser que la liberté consiste essentiellement à faire ce qui nous plaît. Et pourtant comment admettre que c’est dans le simple fait que la vie s’écoule paisiblement que résiderait l’essentiel de la liberté ? Demandons-nous donc s’il n’y a pas tout autre chose dans la liberté que sa définition courante « faire ce qui nous plaît ». Faire ce qui nous plaît, c’est faire ce que nous désirons. Admettons avec Hobbes dans le chapitre XI du Léviathan que le désir n’a d’autre finalité que de se perpétuer, sans quoi nous serions comme morts, dès lors, nous pouvons faire résider la liberté dans le fait d’effectuer ce que nous désirons, quoi que nous désirions et pour quelque raison que nous le désirions. Peu importe ce que nous désirons, l’essentiel est d’obtenir l’objet de nos désirs. Annexe : 6.

L'art d'être mauvais Vendredi 11 janvier 5 11 /01 /Jan 15:43 Par Monsieur Bûche De l’art d’être un bon coup, et de l’art d’être le pire. Tout mâle qui se respecte a mis le doigt sur (et dans) la petite chose qui fait la différence ( et je ne parle bien évidemment pas du clitoris.) Certaines conquêtes m’ont reproché « d’avoir l’air amoureux » alors que je les honore. Et c’est bien légitime : l’orgasme féminin étant avant tout psychologique, il faut bien leur faire croire qu’on tient à elles, surtout quand vous baisez bien une nana juste parce que vous voulez vous faire sa copine, et que vous ne la niquez que pour qu’elle vous fasse une bonne pub auprès d’icelle. La femelle étant loquace, soyez sûr que quatre orgasmes procurés seront inévitablement publicisés lors de ces soirées-pyjama entre touffes qu’elles affectionnent tant. Dieu bénisse la post-modernité. Personnellement, j’en ai trop, et c’est pourquoi il faut savoir mettre le holà. Cette recette ancestrale, que je ne tiens pas de ma grand-mère, est dénommée :

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