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Pensée

Pensée
« Qu'est-ce que la pensée ? Platon l'a très bien défini: "un dialogue invisible et silencieux de l'âme avec elle-même"Invisible et silencieux. Secret. Source: De l'ambiguïté ontologique du secret à son ambivalence éthique, communication de Lucien Guirlinguer, Président de la société angevine de philosophie, chargé de conférence à la faculté de médecine d'Angers. « Pour Heidegger (Essais et conférences), penser c'est rester dans le sillage du questionnement et de la contemplation de l'être. Ibn Khaldun: «En réalité, dit-il, le seul moyen naturel d'atteindre la vérité est la disposition naturelle de penser, lorsqu'elle est débarrassée de toutes les fausses idées et quand celui qui pense place toute sa confiance dans la miséricorde divine. La pensée ne consiste pas dans les conquêtes de l'esprit, dans les connaissances accumulées, mais dans le processus même de la vie s'explorant elle-même. Alain: « Il faut que la pensée délivre le corps et le rende à l'Univers »

Pensée Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Au sens large, la pensée est une activité psychique, consciente dans son ensemble, qui recouvre les processus par lesquels sont élaborés, en réponse aux perceptions venues des sens, des images, des sensations, des concepts que l'être humain associe pour apprendre, créer et agir. C'est aussi, une représentation psychique, un ensemble d'idées propres à un individu ou à un groupe, une façon de juger, une opinion (façon de penser), un trait de caractère (avoir une pensée rigoureuse), etc. Souvent associée au célèbre cogito ergo sum de Descartes, la notion de pensée est aussi un héritage de l'Antiquité, philosophie antique grecque et romaine, et traditions judéochrétiennes. Étymologie[modifier | modifier le code] Penser vient du bas latin «pensare» ( en latin classique : peser, juger) , fréquentatif du verbe « pendere » : peser. Définition[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]

Pensée et réalité : essai d'une réforme de la philosophie critique / par A. Spir ; trad. de l'allemand sur la 3e édition par A. Penjon... Accessiblité Une question ? Espace personnel Recherche avancée Aucun mot recherché, veuillez saisir un terme. Fermer Accueil Consultation Pensée et réalité : essai d'une réforme de la philosophie critique / ... Informations détaillées Notice complète Titre : Pensée et réalité : essai d'une réforme de la philosophie critique / par A. Auteur : Špir, Afrikan Aleksandrovič (1837-1890) Éditeur : au siège des facultés (Lille) Date d'édition : 1896 Contributeur : Penjon, Auguste (1843-1919). Type : monographie imprimée Langue : Français Format : 1 vol. Format : application/pdf Droits : domaine public Identifiant : ark:/12148/bpt6k69545q Source : Bibliothèque nationale de France, 8-Z-12168 (5) Relation : Description : Collection : Travaux et mémoires des facultés de Lille ; 5, 18 Provenance : bnf.fr Date de mise en ligne : 15/10/2007 Zoom Feuilleter en plein écran Affichage Table des matières Aller à la page de la table des matières XI Page (Vue 17 / 590) Téléchargement

Penser, réfléchir, apprendre par John Dewey Extrait de « Comment nous pensons » Les 4 acceptions du terme « pensée » La pensée inconsciente Les émotions Les hypothèses non vérifiées La superstition La superstition est un résultat aussi naturel que la science La pensée réfléchie Définition de la pensée réfléchie Synonimes de fonction de signifier Douter et rechercher Penser en fonction d'un but : rechercher Les 5 étapes de la réflexion Un bébé intellectuel Problème que doit résoudre le bébé La maîtrise du corps est un problème intellectuel L'acte d'apprendre Leçons non rattachées à des problèmes L'observation devrait impliquer la découverte Comment susciter l'intérêt pour la recherche et la réflexion? Responsabilité de l'élève dans la recherche Nécessité du loisir de l'esprit Avoir foi en l'intégrité de l'esprit Les 4 acceptions du terme « pensée » de la plus étendue à la plus restreinte De façon générale nous désignons d'abord par pensée « tout ce qui nous passe par la tête », laissant alors à ce mot un sens large, sinon vague. [...]

philosophie Les mots du sujet Raison scientifique : pensée scientifique. Il est spécifié dans l'intitulé du sujet qu'il s'agit d'une raison c'est à dire d'une pensée rationnelle. La science n'est, en effet, pas l'opinion. Le sens du problème Le problème est de savoir s'il y a une place pour la philosophie dans une société qui pense que la science et la technique peuvent tout nous apporter. Présupposé de la question On présuppose l'existence d'une société qui accorde toute sa confiance à la science et la technique. Réponse spontanée Elle est négative. Introduction Autrefois la philosophie avait pour ambition de tout connaître et de nous apporter le bonheur comme en témoigne le projet des philosophes antiques. I La perspective positiviste. Avoir confiance en la raison scientifique et en la réussite technique, c'est considérer que la science peut tout connaître et que la science peut tout nous apporter, en particulier le bonheur. 1) L'idéal positiviste. Elle a l'avantage de sa méthode. Conclusion

Philosophie Qu'est-ce que la philosophie? Il est assez facile d'en donner une définition générale, de dire qu'elle est la science des principes, la science des premières causes. Le malheur est que ces formules prêtent à des interprétations diverses et qu'elles n'apprennent rien à celui qui ne connaît pas par avance le sens dont il est possible de les remplir. En fait, la philosophie pendant des siècles s'est confondue avec la science elle-même. Son objet n'était autre que l'objet même du savoir humain, le monde et l'esprit. Les mots philosophe, philosophie (φιλόσοφος, φιλοσοφία) ne se trouvent ni dans Homère, ni dans Hésiode. Les premiers penseurs continuent l'oeuvre des vieux poètes qui expliquent le monde et son évolution par l'histoire des dieux. La philosophie, suivant Platon, est « l'acquisition de la science ». Ainsi, pour les Grecs, la philosophie n'est ni une science particulière, ni la somme, le total des connaissances acquises, elle est une synthèse. Qu'est-ce donc que la philosophie?

La pensée en philosophie La pensée en philosophie Qu'est-ce qu'une idée ? Retour à l'index La philosophie est la discipline des idées, et c’est la même chose de connaître un philosophe et de comprendre ses idées. Mais tout le monde a des idées, à un niveau ou à un autre : on peut avoir une idée pour le repas de soir ou pour les vacances de l’année prochaine. D’abord, une idée, ce n’est ni une notion, ni un concept : la notion de travail qu’un professeur de philosophie examine en classe, par exemple, ne peut pas être confondue avec l’idée de travail qui lui est venue quand il s’est rendu compte qu’il ne devait pas gaspiller le temps des vacances universitaires. Tout le monde n’a pas d’idées, mais tout le monde a des notions parce que tout le monde participe au savoir qui institue le sujet réflexif. Un commencement C’est que toute idée est un commencement. Parce qu’il n’y a d’idée que nouvelle, on est toujours étonné d’avoir penser ce qu’elle marque qu’on a pensé : avoir une idée, c’est penser ce qu’on n’aurait jamais pensé. Il n’y a d’idée qu’étonnante

Que signifie penser en philosophie ? - Le blog de paris-cafephilo Mardi 15 novembre 2 15 /11 /Nov 16:18 Paris Café philo du 13/11/2011 Penser, acte reflexif de l'homme vis à vis de sa conscience a commencé en Occident à se structurer durant la période helleniste avec la création de courants philosophiques. Politiquement, il nécessite un système démocratique permettant la liberté d'expression de chacun. Penser, du latin pensare,peser, est la fonction qui forme des idées dans nos esprits. Tous les champs de la connaissance utilisent la pensée mais avec des moyens différents : par démonstration pour les mathématiques, par expérimentation pour la physique, par parabole pour la religion, par dialectique pour la philosophie Penser en Science, en Philosophie, en Religion ne se déroule donc pas de la même manière. Si penser est synonyme de distanciation, critique, analyse, doute, retour sur soi, en revanche, cela s'oppose à l'action, la croyance, l'habitude, l'évidence, l'essencialisme, au dogme, au groupe.

Histoire du mind-body problem Recensé : Pascale Gillot, L’esprit, figures classiques et contemporaines, Paris, CNRS Editions, 2007, 315 p., 30 euros. L’ouvrage de Pascale Gillot peut se lire de deux manières, qui ne sont pas exclusives l’une de l’autre : il constitue à la fois une introduction à la philosophie de l’esprit et une mise en perspective de la philosophie de l’esprit contemporaine, telle qu’elle s’est développée aux Etats-Unis depuis le tournant cognitiviste. Pascale Gillot expose la construction du problème du corps et de l’esprit, puis elle met en évidence les rémanences de cette problématique de William James à Jaegwon Kim. L’impensable interaction psychophysique et son logique abandon L’ouvrage propose un panorama historique de différentes philosophies de l’esprit. Si la philosophie cartésienne s’impose comme point de départ, c’est, bien évidemment, parce que c’est elle qui institue le problème du rapport entre le corps et l’esprit. Eliminer le problème ou éliminer l’esprit ? Le mentalisme et son refus

» Kant: L’éthique de la pensée Dans la Critique de la faculté de juger, Kant énonce trois maximes que tout homme doit respecter pour faire un bon usage de sa pensée : Penser par soi-même. Kant dit de cette maxime qu’elle est la maxime de la pensée sans préjugés, c’est-à-dire d’une raison qui n’est jamais passive. Penser en se mettant à la place de tout autre. C’est la maxime de la pensée élargie. Qu’est-ce, en effet, qui nous sauve de l’arbitraire d’une mythologie personnelle, de la clôture de ce que Kant appelle « une singularité logique » ? Toujours penser en accord avec soi-même. C’est la maxime de la pensée conséquente. Textes. « Les maximes du sens commun sont les suivantes : 1. Kant, Critique de la faculté de juger, 1790, Vrin, p. 127.128. Kant, Anthropologie du point de vue pragmatique, 1797, Vrin, p. 71, Traduction: Michel Foucault. Partager :

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