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Homo

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Chimpanze. En Images Caractéristiques du chimpanzé Les deux espèces de chimpanzés présentent des caractéristiques communes: un corps agile, bien charpenté au torse arrondi, un visage expressif, de grands yeux enfoncés dans leurs orbites, un nez plat, une bouche proéminente et de larges oreilles rondes. Leur dentition, avec de longues canines et des molaires plates, est particulièrement adaptée à la mastication des fruits. Illustration Elisabeth Smith Debout, leurs bras pendent jusqu'aux genoux. De plus, ses doigts se terminent par des ongles et non des griffes, ce qui le rend encore plus habile dans la manipulation d'objets, si minuscules soient-ils. Un chimpanzé commun mâle . © dinosoria.com Un mâle adulte, à la poitrine musclée et aux bras très puissants, possède une force physique équivalente à celle de trois hommes. Jouissant d'une espérance de vie d'une cinquantaine d'années, le chimpanzé est adulte vers treize ans. Jeunes chimpanzés. © dinosoria.com Squelette d'un chimpanzé (Illustration Elisabeth Smith)

Homo sapiens Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Parmi les hominidés actuels, il se distingue d’un point de vue physiologique par sa bipédie quasi-exclusive, son cerveau plus volumineux et son système pileux moins développé[1],[2]. La science qui étudie l'homme sous tous ses aspects est l'anthropologie. Appellation[modifier | modifier le code] Nom scientifique[modifier | modifier le code] La dénomination binominale complète de l'espèce humaine est : Homo sapiens Linnaeus, 1758. Homo constitue le nom de genre (au nominatif latin, avec première majuscule et en italique).sapiens est un adjectif latin (en minuscule italique) signifiant « intelligent, sage, raisonnable, prudent », adjectif issu de sapio signifiant avoir du goût, de la saveur, du jugement, et qui désigne l'espèce.Linnaeus identifie le nom du naturaliste qui a nommé et décrit l'espèce.1758 situe l'année de publication de la diagnose, ou de sa validation. Appellations courantes[modifier | modifier le code]

De l'homme au singe - Comparaison - Dossiers Homme et singe – points de convergence et de divergence Un peu de généalogie… Pour comprendre la place de l'homme sur notre planète détaillons la classification des especes et regardons de plus près la carte d'identitée des Homo Sapiens... Embranchement : Vertébrés Classe : Mammifères Ordre : Primates Sous-ordre : Anthropoidea Famille : Hominidae (Hominidés) Genre : Homo Espèce : Homo Sapiens Comme cette classification le montre nous sommes très proche du chimpanzé... puique nous partageons la même famille (Hominidés). Comparatif homme - singe Sans vouloir jouer le test comparatif de « 60 millions de consommateurs » nous pouvons mettre côte à côte les principales caractéristiques humaines et simiesques. Le squelette et la musculature En savoir plus sur la taille du cerveau et la mesure de l'intelligence... La bipédie ou plutôt les bipédies La bipédie n'est pas l'apanage des Homo sapiens. En savoir plus sur la bipédie L'utilisation d'outils L'homme n'est pas le seul à utiliser des outils.

Homme de Néandertal Répartition de l'Homme de Néandertal, présence avérée : Squelette reconstitué d'un homme de Néandertal. Homme de Néandertal Homo neanderthalensis Depuis sa découverte en 1856, son statut a varié : un temps considéré comme une sous-espèce d'Homo sapiens et nommé en conséquence Homo sapiens neanderthalensis, il est aujourd'hui considéré comme une espèce à part entière. Particulièrement bien adapté pour vivre dans un climat froid[5], l'Homme de Néandertal était physiquement plus robuste, plus lourd et plus trapu qu’Homo sapiens. De nombreux points restent encore à élucider, comme son ascendance précise ainsi que la date et les conditions de son extinction après plus de 400 000 ans d'existence. Le séquençage de l'ADN nucléaire néandertalien réalisé depuis 2006 et publié à partir de 2010 a montré un « flux de gènes » ancien entre les hommes de Néandertal et les hommes modernes d'Eurasie. Historique de la découverte[modifier | modifier le code] Calotte crânienne découverte à Neandertal en 1856.

Homoplasie = ressemblances Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. la convergence : ressemblance apparue indépendamment dans divers taxons sans lien de parenté.le parallélisme : ressemblance apparue chez des taxons relativement proches.la réversion : un état dérivé d’un caractère revient à un état ancestral (antérieur). Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Portail de l’évolution

Paléontologie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. On distingue deux principales formes de paléontologie : La paléontologie systématique : son objectif premier est le développement de phylogénies sur la base d'observations scientifiques — pour le néophyte, la paléontologie s'arrête souvent à cette seule partie descriptive des fossiles.La paléontologie générale ou fondamentale : les paléontologues s'intéressent alors aux problèmes généraux dégagés par la démarche systématique, aux associations entre les êtres vivants disparus et/ou actuels, à leurs évolutions, et, à plus large échelle, à l'évolution des êtres vivants, des milieux et des climats au cours des temps géologiques. Le travail paléontologique comporte quatre étapes : Étymologie[modifier | modifier le code] Le mot paléontologie peut être découpé en trois termes grecs : Paleo, de palaios, ancien ;Ontos, vie, être ;Logie, de logos, étude, discours, science. Organisation[modifier | modifier le code] Pratique[modifier | modifier le code]

Homologie (évolution) = différences Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Autres exemples : Lorsqu'un même caractère est présent plusieurs fois chez un même organisme on parle d'homologie sérielle. Par exemple les membres antérieurs et postérieurs d'un tétrapode sont homologues car ils ont la même structure mais ne sont pas issus d'un même organe ancestral commun car présents simultanément sur un même organisme. Le cas de la métamérie aussi en est un exemple. Ce cas de figure est très semblable à une « duplication » de caractères chez un même organisme et donc, comme dans le cas des gènes, cela peut être considéré comme un cas de paralogie. Des protéines homologues sont des protéines dont les gènes qui les codent ont une origine commune. Deux séquences homologues de deux espèces différentes sont orthologues si elles descendent d'une séquence unique présente dans le dernier ancêtre commun aux deux espèces. John V.

Paléogénétique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Histoire de la paléogénétique[modifier | modifier le code] La paléogénétique est une science récente, dont le développement a été permis par le progrès des techniques de biologie moléculaire[1]. Les premières séquences d'ADN issus d'êtres vivants morts depuis plusieurs milliers d'années ont été isolées grâce aux nouvelles techniques de clonage de l'ADN, en 1984 à partir d'un Equus quagga quagga empaillé[2], puis en 1985 à partir d'une momie égyptienne[3]. Méthodes[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code]

Qu'est-ce qu'un arbre phylogénétique Qu'est-ce qu'un arbre phylogénétique ?Guillaume Lecointre, MNHN L'arbre phylogénétique présente les relations de parenté entre organismes vivants. L'arbre phylogénétique montre la succession des émergences des groupes d'organismes vivants au cours du temps, mais surtout leurs relations de parenté. L'arbre phylogénétique nous montre quels caractères sont vraiment les mêmes chez plusieurs espèces (hérités d'un ancêtre commun) et quels sont ceux qui, initialement vus comme les mêmes, ne le sont en fait pas. Ainsi, on trouve des plumes chez l'autruche et le colibri.

La paléogénomique : la biologie moléculaire au service de l’histoire de la Terre | biorigami La paléontologie, la science des fossiles et des traces de vie du passé, use de méthodes de biologie moléculaire de pointe qui pallient les effets du temps qui passe… Afin d’introduire ce premier article traitant de paléogénomique, les moyens de la biologie moléculaire au service de la paléontologie, une vidéo amuse-bouche (Auteur(s) : Eva-Maria Geigl, Réalisation : Samia Serri, Production : Université Paris Diderot, Durée : 17 minutes 40 secondes) est disponible en usant du fameux clic gauche sur la capture d’image ci-dessous. Cette vidéo vaut surtout pour l’accent mis sur les précautions indispensables pour l’étude d’un échantillon précieux fossilisé… et dont l’ADN, peu abondant, peut être fragmenté. En outre, des mesures simples mais draconiennes permettent de limiter les sources de contaminations, quand l’ADN moderne peut polluer l’ADN fossile. L’une des problématiques liées à l’étude de l’ADN « fossile » réside dans sa faible quantité disponible.

Monophylie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La monophylie, du grec monos « seul » et phulon « tribu », est la caractéristique d'un groupe qui contient l'espèce souche dont descendent tous ses membres. Controverse[modifier | modifier le code] Deux écoles de taxonomie s'affrontent sur le sens exact à attribuer à la monophylie. Pour les cladistes, le terme de monophylie doit obligatoirement inclure tous les descendants de l'ancêtre commun (Hennig 1966)[2], ce qui en fait un synonyme de holophylie. Cette situation a malheureusement pour conséquence que le terme monophylétique est ambigu hors contexte. Signification évolutive[modifier | modifier le code] Références[modifier | modifier le code] ↑ George Gaylord Simpson, 1961. Voir aussi[modifier | modifier le code] Termes dérivés : Concepts associés : Portail de l’évolution

Paleogenomique La paléogénétique / paléogénomique permet d’accéder à l’information génétique des organismes anciens et éteints et ainsi de reconstruire la phylogénie et l’évolution des génomes des êtres vivants du passé, aussi bien des ancêtres des animaux et végétaux que des ancêtres humains. Elle contribue à éclairer la biodiversité du passé et à apporte ainsi des informations précieuses sur la biologie de la conservation. De plus, elle aide à mieux comprendre les processus de domestication des animaux et des plantes. Finalement elle éclaire d’un autre angle les sociétés humaines anciennes. Néanmoins, l’ADN préservé dans les os et les dents d’organismes éteints est très dégradé et présent en très faible quantité ce qui nécessite que les chercheurs fassent appel à des techniques de biologie moléculaire de pointe et travaillent dans un laboratoire de haut confinement. Auteur(s) : Eva-Maria Geigl Réalisation : Samia Serri Production : Université Paris Diderot

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