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Nutrition

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Le programme National Nutrition Santé (PNNS) La mise en place d’une politique nutritionnelle est apparue, au cours des dernières années, comme une priorité de santé publique. Le rôle joué par la nutrition comme facteur de protection ou de risque des pathologies les plus répandues en France est de mieux en mieux compris, qu’il s’agisse du cancer, des maladies cardiovasculaires de l’obésité, de l’ostéoporose ou du diabète de type 2. L’amélioration de l’état nutritionnel de la population constitue, en ce début de 21è siècle, un enjeu majeur pour les politiques de santé publique menées en France, en Europe et dans le monde. Une nutrition satisfaisante est un facteur de protection de la santé. Les avancées de la recherche ont précisé le rôle que jouent l’inadéquation des apports nutritionnels et l’insuffisance d’activité physique dans le déterminisme de nombreux cancers et maladies cardio-vasculaires, qui représentent plus de 55 % des 550 000 décès annuels en France. En savoir plus...

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«Partout, au restaurant ou dans votre magasin, demandez des produits sans huile de palme» En Indonésie, tout le monde connaît Aurélien Brulé. Ou plutôt son surnom, Chanee (gibbon, en thaï). Ce français de 36 ans, devenu indonésien en 2012 (et dont Libération a déjà dressé le portrait), a fondé en 1997 l’association Kalaweit pour protéger ces primates. Son programme de réhabilitation est désormais le plus important au monde. Nutrition et santé Avec la collaboration du Pr Serge Hercberg, professeur de nutrition à la Faculté de médecine de Paris 13, directeur de l’unité de recherche en épidémiologie nutritionnelle (UREN - UMR 557 Inserm/Inra/Cnam), directeur de l’unité de surveillance et d’épidémiologie nutritionnelle (USEN -InVS/ISTNA-CNAM), directeur du Centre de recherche en nutrition humaine (CRNH) Ile-de-France (GIS) et du Pr Jean-Michel Oppert, chef de service au Centre de recherche et de médecine de l’obésité(Hôpital de la Pitié-Salpetrière, Paris), chercheur à l’unité de recherche en épidémiologie nutritionnelle (UREN - UMR 557 Inserm/Inra/Cnam) - Octobre 2013. La santé passe par l’assiette et l’activité physique © Inpes L’alimentation et l’activité physique sont impliquées dans l’apparition et le développement de la plupart des maladies chroniques les plus fréquentes aujourd’hui.

Actualités 2010 - Troisième Baromète santé nutrition : douze ans d'habitudes alimentaires passées au crible L’Inpes publie le Baromètre santé nutrition 2008, troisième vague d’une enquête téléphonique initiée en 1996 et menée également en 2002. Le contenu de l’assiette et du verre des Français, la composition de leurs repas, leurs connaissances et perceptions en matière d’alimentation et d’activité physique ont été analysés sur une période de douze ans. Les résultats laissent apparaître des évolutions : la connaissance des repères de consommation du Programme National Nutrition Santé (PNNS) a progressé favorablement, les Français grignotent moins mais mangent davantage de plats tout prêts, leur niveau d’activité physique reste insuffisant, ils déclarent plus qu’avant manger de façon équilibrée… Alimentation : représentations et principales tendances de consommation

Activité physique - Réduire les risques de cancer « Bouger », c'est mettre en mouvement les muscles de son corps. L'activité physique ne se réduit donc pas à la seule pratique sportive, qu'elle soit de loisir ou de compétition. Elle inclut tous les mouvements effectués dans la vie quotidienne, professionnelle et domestique (activités ménagères, jardinage, marche ou vélo jusqu'au lieu de travail, montée des escaliers...). Soigner son intestin pour protéger son cerveau "La solution pour soigner des troubles cérébrales se niche dans l’intestin". Cette déclaration du neurologue américain David Permultter est détaillée dans son ouvrage L’intestin au secours du cerveau, sorti le 6 janvier 2016 en France. L’idée phare d’Hyppocrate, « veiller à sa nourriture pour préserver sa santé », est actualisée grâce aux études relatées par le professeur américain David Perlmutter. Dans son livre, L’intestin au secours du cerveau, ce neurologiste invite à se nourrir de manière à protéger ses intestins et donc son cerveau.

Les aliments qui augmentent ou réduisent le risque de cancers - Prévention Date de dernière mise à jour : 06/06/2014 De nombreuses études ont mis en évidence l’influence des facteurs nutritionnels sur le risque de développer un cancer, même s’il reste des incertitudes et des débats sur le rôle exact de certains d’entre eux. Ainsi, une alimentation équilibrée et diversifiée, privilégiant les fibres, les fruits et légumes, réduit votre risque de développer un cancer. L'alimentation fait partie des comportements sur lesquels on peut agir pour accroître la prévention des cancers. Elle agit à la fois comme un facteur de risque (aliments qui, consommés en excès, favorisent le développement d'un cancer) et de protection (nutriments ou aliments reconnus pour leur rôle protecteur contre certains cancers). N'hésitez pas à parler de vos habitudes alimentaires avec votre médecin.

Portail Santé Jeunes - Nutrition Mentions légales Informations éditeurs : Le site www.portailsantejeunes est géré par l’Inpes. Directrice de la publication : Thanh LE LUONG Institut National de Prévention et d’Education à la Santé 42, boulevard de la Libération 93203 Saint-Denis Cedex Téléphone : 01 49 33 22 22 Télécopie : 01 49 33 33 90 Site Internet : www.inpes.sante.fr La conception éditoriale, le suivi, la maintenance technique et les mises à jour du site sont assurées par le webmestre webmaster@inpes.sante.fr Hébergement : L’hébergement de ce site est assuré par la société CLARANET.

L'équilibre alimentaire : le régime anti diabète Compte tenu de ses effets sur la glycémie et l’équilibre glycémique, l’équilibre alimentaire est une préoccupation constante pour la personne diabétique qui doit bien choisir ses aliments et connaître les équivalences glucidiques. Manger varié, sain, équilibré (avec plaisir) pour être en bonne santé, c’est possible ! Il faut pour cela être vigilant dans chaque situation de la vie courante où les occasions de manger trop gras et trop sucré sont nombreuses. Y-a-t-il un régime ou une diététique pour les personnes diabétiques ?

La moitié des enfants seront diagnostiqués autistes à cause du glyphosate d’i... Selon une chercheuse du MIT, la moitié des enfants seront diagnostiqués autistes à cause du glyphosate d’ici 2025 La moitié des enfants seront autistes d’ici 2025, met en garde la chercheuse principale du MIT (Massachussetts Institute of Technology) Pourquoi ? Cancer et nutrition Dossier réalisé en collaboration avec l’Institut thématique multiorganismes Cancer (ITMO Cancer) et l’Institut national du cancer (INCa) - Mars 2012. Nutrition, un impact prouvé sur la survenue de cancers © Fotolia Des travaux ont mis en évidence, avec des degrés de certitude variables, le rôle de certains aliments ou comportements individuels (diversité de l’alimentation, activité physique) dans l’initiation ou le développement de certains cancers. Toutefois, aucun aliment ne peut à lui seul s’opposer au développement d’un cancer.

Les troubles alimentaires Les troubles alimentaires sont des désordres complexes, principalement caractérisés par des habitudes alimentaires anormales, une crainte intense de prendre du poids et une grande préoccupation par rapport à l’image corporelle. Ces troubles sont causés par des facteurs biologiques, psychologiques et sociaux. Même si l'anorexie et la boulimie sont deux syndromes distincts, ils présentent de nombreux symptômes communs et peuvent coexister chez une personne : environ 50 % des personnes ayant souffert d'anorexie ont ensuite adopté des comportements boulimiques. Non traités, les troubles alimentaires peuvent avoir de sérieuses conséquences physiques, psychologiques et sociales pouvant même conduire au décès.

Obésité (surpoids) Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), l’obésité se caractérise par « une accumulation anormale ou excessive de graisse corporelle qui peut nuire à la santé ». À la base, l’obésité résulte d’une consommation trop grande de calories relativement à la dépense d’énergie, durant plusieurs années. On doit distinguer l’obésité de l’embonpoint, qui est aussi une surcharge pondérale, mais moins importante. Pour sa part, l’obésité morbide est une forme d’obésité très avancée. Elle serait si dommageable pour la santé qu’elle ferait perdre de 8 à 10 années de vie54.

« À Bruxelles, la vie des personnes est moins prioritaire que la bonne santé ... Basta ! : Votre enquête porte sur la réglementation des perturbateurs endocriniens, ces substances chimiques omniprésentes dans notre quotidien, et suspectées de participer à l’explosion des maladies modernes. Où en est-on sur ce sujet ? Stéphane Horel [1] : Les perturbateurs endocriniens (PE) sont des substances chimiques qui peuvent interagir avec le système hormonal (endocrinien veut dire hormonal). Ces substances agissent sur les humains mais aussi sur les animaux, comme les ours polaires, les chatons, les escargots. Plusieurs catégories d’êtres vivants sont ainsi touchées.

Obésité Dossier réalisé en collaboration avec Arnaud Basdevant, nutritionniste et chercheur, unité Inserm U872, Institut hospitalo-universitaire ICAN (Institute of cardiology metabolism and nutrition), Paris, président du Plan National Obésité 2010-2013 - Janvier 2014. © Fotolia Maladie de l’adaptation aux récentes évolutions des modes de vie, l’obésité résulte d’un déséquilibre entre les apports et les dépenses énergétiques.

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