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Association Castoriadis Pouvoir et mise à mort Recensé : Jacques Derrida, Séminaire La peine de mort. Volume I (1999-2000). Édition établie par Geoffrey Bennington, Marc Crépon et Thomas Dutoit. Paris, Galilée, 416 p., 35 €. La parution du séminaire La peine de mort I constitue la deuxième étape, après la publication de la Bête et le souverain, de l’énorme projet d’édition des séminaires de Jacques Derrida. Séminaire La peine de mort I (1999-2000) restitue la première des deux années que Derrida consacra à la question de la peine de mort à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales. Soulignons et saluons d’emblée le travail scrupuleux réalisé par les éditeurs qui, aussi bien dans une introduction générale qu’à travers des notes très précieuses parsemant le parcours de lecture, permettent au séminaire de Derrida de se déployer dans toute son envergure. Pourquoi la peine de mort ? La mort et l’incalculable Est-ce à dire qu’il n’y a pas d’alternative à l’intéressement, aux calculs de l’égoïsme ?

Jean Starobinski Jean Starobinski a suivi des études conjointes de lettres et de médecine à l'Université de Genève. Il fut pendant quelques années médecin asssistant en médecine interne, puis en psychiatrie. Après la publication, de son livre Jean-Jacques Rousseau : la transparence et l'obstacle (1958), des enseignements d'histoire des idées et de littérature française lui ont été confiés à l'Université de Genève. Dans le domaine de l'histoire des idées, il porta son intérêt sur l'histoire de la psychiatrie Dans des livres comme Montesquieu (1953, nouvelle version augmentée en 1994), L'Oeil vivant (1960, nouvelle version augmentée en 1999) , La Relation critique (1970), Trois fureurs (1974), Montaigne en mouvement (1982), Le Remède dans le mal (1989), Jean Starobinski a mis en œuvre une critique proche des textes et attentive aux aspects fondamentaux de l'expérience littéraire. Présentation aimablement fournie par Les Editions du Seuil, Paris.

Jean-Luc Nancy – Bibliographie Les amis de Marcel Gauchet Derrida : un intellectuel marginal ? Dans ce livre novateur, Edward Baring retrace le parcours de Derrida jusqu’en 1968. Il propose une relecture de son œuvre à travers le prisme de la pensée chrétienne tout en étant sensible aux multiples contextes intellectuels et institutionnels qui ont contribué à la formation du jeune philosophe. Edward Baring, The Young Derrida and French Philosophy, 1945-1968, Cambridge : Cambridge University Press, 2011, 326 pp. Il est frappant de constater à quel point les grands noms de la vie intellectuelle française de l’après-guerre ont souhaité se marginaliser. Que ce soit Raymond Aron, Michel Foucault ou Pierre Bourdieu, la plupart n’ont cessé de raconter à leurs interlocuteurs qu’ils étaient des « marginaux » par rapport à leurs domaines de recherches et que leurs idées allaient à contre-courant de l’orthodoxie du moment. Jacques Derrida tenait le même discours. Pourtant, ces intellectuels ont été des adeptes de cette élite ; historiquement ils n’ont rien de marginal.

EncyclopédiesEncyclopédie de l'AgoraNotre devise: Vers le réel par le virtuel!Encyclopédie sur la mortL’encyclopédie sur la mort veut s'intéresser à ce phénomène sous ses multiples aspects et ses diverses modalités.Encyclopédie HomovivensEncyclopédie sur les transformations que l'homme opère en lui-même au fur et à mesure qu'il progresse dans la conviction que toute vie se réduit à la mécanique.Encyclopédie sur l'inaptitudeTout le monde en conviendra : c'est au sort qu'elle réserve aux plus vulnérables de ses membres que l'on peut juger de la qualité d'une société. L'Encyclopédie L’îlot Louis Valcke Index Association Homo Vivens Accueil Une oasis de sens Introduction Collaboration Contact Faire un don Index des dossiers Index thématique Index des auteurs Homo Vivens: informations Homo Vivens: le manifeste Devenir membre/ami Lancement du portail Homo Vivens Arts Économie et écologie Géographie Grandes questions Histoire L'humain Le divin Lettres Politique et société Sciences et techniques Univers Vie Média social:

23-24 | 2009 – Animalité Détails sur le produit Sexe, genre et sexualitésPar Elsa Dorlin Prix catalogue: EUR 12,00 Prix: EUR 11,40 & éligible à la livraison gratuite pour les [...] Détails sur le produit L'imagePar Tristan Garcia Prix catalogue: EUR 19,00 Prix: EUR 18,05 & éligible à la livraison gratuite pour les commandes de [...] Eloge du risquePar Anne Dufourmantelle Prix catalogue: EUR 18,50 Prix: EUR 17,58 & éligible à la livraison gratuite pour les commandes de plus de 20 Euros. [...] Détails sur le produit Maïmonide et la Pensée juivePar Maurice-Ruben Hayoun Prix catalogue: EUR 30,00 Prix: EUR 28,50 & éligible à la livraison [...] Détails sur le produit La mort : Essai sur la finitudePar Françoise Dastur Prix catalogue: EUR 26,00 Prix: EUR 24,70 & éligible à la livraison gratuite [...] Détails sur le produit Traités et sermonsPar maître Eckhart, Alain de Libera Prix catalogue: EUR 11,80 Prix: EUR 11,21 & éligible à la livraison [...]

Société Michel Henry Marcel Hénaff : Le don des philosophes De même que Pascal distinguait le « dieu des philosophes et des savants » du « dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob », ce livre nous invite à distinguer le « don des philosophes » du don de Boas et Malinowski, lequel trouve son explicitation « totale » par Marcel Mauss dans Essai sur le don (1924). Plus précisément, les philosophes ont eu tort de privilégier, dans le don, une seule de ses dimensions, celle du don pur, gratuit et désintéressé. Le don des philosophes apparaît dès lors comme un don « oblatif », sans retour, placé si haut dans les rapports humains (charité, grâce, agapè) qu’il atteint son paroxysme chez J. À rebours de ces lectures réductrices du don qui ont finalement occulté la relation à autrui et la réciprocité qui s’instituent dans la relation de don, toute l’entreprise de M. Où l’on voit que la référence à Pascal ne s’arrête pas au seul titre de l’ouvrage puisque M.H. s’appuie explicitement sur la distinction pascalienne des ordres pour établir, à l’instar de M.

La Rochefoucauld François VI, duc de La Rochefoucauld, prince de Marcillac, célèbre écrivain et moraliste français, né à Paris le 15 décembre 1613, mort à Paris le 17 mars 1680. Fils de François V, il porta jusqu’à la mort de celui-ci le nom de prince de Marcillac. Biographie de La Rochefoucaul (par «Son éducation fut très incomplète: son père, impatient de profiter de la faveur du roi qui venait de le créer duc et pair, fit entrer son fils au service militaire dès son jeune âge: à seize ans, le prince de Marcillac était mestre de camp du régiment d’Auvergne. Mais François V, compromis avec Gaston d’Orléans, se fit exiler à Blois, où son fils partagea sa disgrâce pour avoir mal parlé du cardinal de Richelieu, et s’être lié avec Mlles d’Hautefort et de Chamerault, amies de la reine. La Rochefoucauld cessa dès lors sa vie brouillonne d’intrigues de cour et parut avoir perdu toute ambition personnelle. Jugements sur La Rochefoucauld

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