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Torah

Torah
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Torah (en hébreu תּוֹרָה, « instruction » ; en grec ancien Νόμος – Nomos –, « Loi »[1]) est, selon la tradition du judaïsme, l'enseignement divin transmis par Moïse (תּוֹרַת־מֹשֶׁה – Tōraṯ Mōshe) au travers de ses cinq livres (hébreu : חמשה חומשי תורה – Ḥamishā Ḥoumshē Tōrā) ainsi que l'ensemble des enseignements qui en découlent[2],[3]. Le christianisme, qui ne reconnait pas les enseignements rabbiniques, nomme les livres traditionnellement attribués à Moïse le Pentateuque, mot d'origine grecque Πεντάτευχος signifiant « Les cinq livres ». Elle est composée de cinq livres désignés en hébreu par le premier mot du texte et traditionnellement en français : la Genèse (Berēshīṯ : Commencement), l'Exode (Shemōṯ : Noms), le Lévitique (Wayyiqrā' : Et il appela), les Nombres (Bamiḏbar : Dans le désert), le Deutéronome (Devarim/ Deḇārīm : Choses). La Torah sert de charte historique et doctrinale au judaïsme orthodoxe[réf. à confirmer]. Related:  CONVERGENCES

Judaïsme Animisme Hindouisme Bouddhisme Judaïsme Islam Comparaisons avec les baptistes Aperçu du judaïsme Il y a environ 20 millions de Juifs dans le monde aujourd’hui. Robert Munnich, dans son article sur le Judaïsme dans Les Grandes Religions (Edition Ellipes, 1995), page 32, spécifie “qu’une grande majorité d’entre eux ne pratiquent pas ou peu la religion”. Pour diverses raisons, les Juifs d’aujourd’hui ont du mal à terminer cette phrase. La religion des juifs est enracinée dans l’histoire. Le Créateur, maître de l’univers Abraham, choisi par Dieu et qui reçoit deux promesses : descendance et territoire ( dans quel but ?) Isaac et Jacob (Israël), fils et petit-fils, héritiers par élection des deux promesses Juda, l’un des douze fils de Jacob duquel doit venir les Oints (les rois dans la lignée de David) et le Messie, fils de David Lévi, l’un des douze fils de Jacob duquel doit venir les responsables du culte Au fil des siècles, le royaume s’établit et se divise en deux. Livres Sacrés du Judaïsme

Talmud Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Talmud (héb. : תַּלְמוּד talmoud, « étude ») est l’un des textes fondamentaux du judaïsme rabbinique, ne le cédant en importance qu’à la Bible hébraïque, dont il représente le versant oral. Il est rédigé dans un mélange d'hébreu et d'araméen. Le Talmud est le fondement de la loi juive ou Halakha. Composé de la Mishna et de la Guemara, il compile les discussions rabbiniques sur l’ensemble des sujets de la Loi juive, classés en six ordres (shisha sedarim, abrégé Sha"s). Sitôt clôturé, le Talmud a fait l’objet de nombreux commentaires et exégèses, les uns tentant d’en extraire la matière légale, les autres d’en poursuivre les discussions en développant sa dimension casuistique, aboutissant à de savantes discussions et à des interprétations novatrices. Étapes de la formation du Talmud[modifier | modifier le code] Judaïsme et tradition orale[modifier | modifier le code] Mise par écrit de l'enseignement oral[modifier | modifier le code]

Synagogue Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page contient des caractères spéciaux. Si certains caractères de cet article s’affichent mal (carrés vides, points d’interrogation, etc.), consultez la page d’aide Unicode. Une synagogue (du grec Συναγωγή / Sunagôgê, « assemblée » adapté de l'hébreu בית כנסת (Beit Knesset), « maison de l'assemblée ») est un lieu de culte juif[1]. Les synagogues possèdent habituellement un sanctuaire, c'est-à-dire un grand hall de prière, dans lequel sont contenus les Livres de la Torah. Philon d'Alexandrie et le Nouveau Testament utilisent aussi le terme proseuque du grec ancien προσευχή prière puis lieu de prière. La synagogue dans les textes[modifier | modifier le code] La première évocation d'un rassemblement hors du Temple est trouvée dans Isaïe 8:16[9] : il s'agit d'un cercle de disciples réunis autour d'Isaïe, afin d'entendre de lui la parole de Dieu et la Torah. Un Temple miniature[modifier | modifier le code] Fauteuil du prophète Élie

Bible Bible de Gutenberg, ouvrage imprimée en 1455, Latin vulgate, conservée à la New York Public Library. La Bible est un ouvrage composé de textes sacrés pour les juifs et les chrétiens, et saints pour les musulmans. Les diverses confessions peuvent inclure des livres différents dans leurs canons, dans un ordre différent. Les textes eux-mêmes ne sont pas toujours identiques d'une religion à l'autre. La Bible rassemble une collection d’écrits très variés et fragmentaires (récits des origines, textes législatifs, récits historiques, textes sapientiaux, prophétiques, poétiques, hagiographies, épîtres) dont la rédaction s’est échelonnée entre le VIIIe et IIe siècles av. La Bible hébraïque se nomme en hébreu TaNaKh (תנ״ך), un acronyme formé à partir des titres de ses trois parties constitutives : la Torah (la Loi), les Nevi'im (les Prophètes) et les Ketouvim (les Écrits). La Bible a été traduite dans de très nombreuses langues et à plusieurs reprises. Étymologie[modifier | modifier le code]

Qui est Dieu? Dieu dans le judaïsme - ALELOO MAGAZINE ACTUALITES RELIGIEUSES MONDIALES ETUDES BIBLIQUES INFORMATIONS CHRETIENNES Dieu est unique. Il est le créateur et le maître de l’univers. Il a créé la terre à partir de rien. L’idée de transcendance est introduite dès le premier verset de la Genèse. Dieu est au-dessus de tout, il sait tout. Dans le judaïsme, Dieu ne peut pas être représenté sous une forme humaine, car il surpasse l’imagination de l’homme. Dieu a créé l’homme à son image. Dieu a mis dans l’homme une conscience morale qui le pousse à faire le bien. Dieu a fait une alliance avec l’homme. L’être humain aspire à faire le bien. Moise Maimonide a rédigé treize articles de foi, où nous comprenons bien quelle est la place de Dieu dans le judaïsme. 1. Le livre des égarés, Moise Maimonide, collection les dix paroles, verdier, 1983. Mémento sur la loi dans le judaïsme 613 commandements rassemblent toute la loi. La loi écrite est la Torah ( Pentateuque) qui est composée des 5 premiers livres de la Bible : Genèse, Exode, Lévitique, Nombres, Deutéronome.

Coran Le Coran est parfois appelé al-kitāb (« le Livre »), adh-dhikr (« le Rappel ») ou encore al-furqān (« le Discernement »). Pour les musulmans sunnites, il est donc l'expression d'un attribut incréé de Dieu adressé à toute l'humanité. Étymologie[modifier | modifier le code] Qurʾān est le terme le plus utilisé par le Coran pour se désigner lui-même. Le mot arabe قُرْآن, qurʾān, dérive, pour la tradition musulmane, du verbe َقَرَأ, qaraʾa, qui signifie « lire, réciter »[5]. Pour A. De nombreux chercheurs[7],[Note 3] ont fait le lien entre le mot qurʾān et le terme syriaque qeryânâ qui signifie « le fait de réciter les Écritures ou bien une partie de cette Écriture, une leçon sur les Écritures ou encore le lectionnaire utilisé pour cela »[8],[9]. Description[modifier | modifier le code] Les versets sont au nombre de 6 236[11] pour le hafs (lecture orientale) et le warch (lecture occidentale). Ordre des sourates[modifier | modifier le code] Chronologie de la rédaction[modifier | modifier le code]

Objets du culte Coupe pour le Kidoush Le Shabath (samedi) est le jour sacré de la semaine, celui pendant lequel l’abstention du travail quotidien doit permettre l’élévation spirituelle ; il fait référence au « repos » observé par Dieu au septième jour de la Création. Le chef de famille ouvre le temps de Shabath le vendredi soir par une bénédiction inaugurale (Kidoush), prononcée sur une coupe de vin ; cette coupe est en général décorée de feuilles de vigne et de grappes de raisin, évocation de l’œuvre de la Création du monde. La coupe porte souvent une inscription en hébreu signifiant « il crée le fruit de la vigne ». La vigne est l’une des denrées agricoles qui constituent une bénédiction de la terre d’Israël ; le vin est naturellement associé à la pratique religieuse depuis l’Antiquité. Coupe en métal argenté, probablement de la première moitié du 20ème siècle. Prêt du Consistoire Israélite de la Moselle Chandelier de Shabath Prêt de M. le Rabbin Maurice Bamberger

Bouddhisme Le bouddhisme est une religion et une philosophie dont les origines se situent en Inde aux VIe – Ve siècles av. J.-C. à la suite de l'éveil de Siddhartha Gautama à Bodhgaya dans le Bihar et de la diffusion de son enseignement. Les notions de dieu et de divinité dans le bouddhisme sont particulières : bien que le bouddhisme soit souvent perçu comme une religion sans dieu créateur[n 1], cette notion étant absente de la plupart des formes du bouddhisme[n 2], la vénération et le culte du Bouddha historique Siddhartha Gautama en tant que bhagavat jouent un rôle important dans le Theravāda tout comme dans le Mahāyāna, qui voient en ce personnage un être éveillé doté d’un triple corps[n 3]. Le bouddhisme, à travers ses différentes écoles, présente un ensemble ramifié de pratiques méditatives, de rituels religieux (prières, offrandes), de pratiques éthiques, de théories psychologiques, philosophiques, cosmogoniques et cosmologiques, abordées dans la perspective de la bodhi, « l'éveil ». Origines

Mariage dans le judaïsme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le mariage, alliance de deux personnes de sexe différent dans le but de former une famille, est fortement réglementé par la religion judaïque ; tant dans les pratiques rituelles que dans le vécu des individus. Pour le judaïsme, le mariage est un acte religieux de sanctification et d'élévation. Les pratiques du mariage juif[modifier | modifier le code] Le mariage juif requiert un extrait d'acte de naissance, un acte de mariage des parents (appelé communément kétouba), le livret de famille des parents (ou à défaut de ces deux derniers documents, un certificat de judéité et de célibat des futurs mariés), et le livret de famille des mariés, afin de prouver la judéité des futurs conjoints et de s'assurer que le mariage est légal. Avant le mariage[modifier | modifier le code] Pour commencer, les futurs époux doivent remplir un certain nombre de démarches avant le mariage. Le jour du mariage[modifier | modifier le code] Les époux goûtent alors au vin.

L'appel des gilets jaunes de Commercy Voir le second appel Le texte de l’appel : Depuis près de deux semaines le mouvement des gilets jaunes a mis des centaines de milliers de personnes dans les rues partout en France, souvent pour la première fois. Le prix du carburant a été la goutte de gasoil qui a mis le feu à la plaine. La souffrance, le ras-le-bol, et l’injustice n’ont jamais été aussi répandus. Ici à Commercy, en Meuse, nous fonctionnons depuis le début avec des assemblées populaires quotidiennes, où chaque personne participe à égalité. Mais voilà que le gouvernement, et certaines franges du mouvement, nous proposent de nommer des représentants par région ! Mais nous ne voulons pas de « représentants » qui finiraient forcément par parler à notre place ! À quoi bon ? Et c’est bien ça qui fait peur au gouvernement ! Ce n’est pas pour mieux comprendre notre colère et nos revendications que le gouvernement veut des « représentants » : c’est pour nous encadrer et nous enterrer ! Nous ne nous laisserons pas diriger.

Le Judaïsme au quotidien : prières, alimentation, symboles La foi, dans le Judaïsme, s’inscrit dans les actes avant de s’inscrire dans les croyances, et se définit par la notion de persévérance. Il s’agit de respecter les rites et un ensemble de pratiques au jour le jour, et d’adopter des règles de vie qui confortent l’appartenance à la communauté : manger casher, obéir aux Commandements, les Mitzvot, prier, seul ou à la synagogue… La possession et l'usage régulier de certains objets, accessoires du vêtement ou de la maison, kippa ou menora par exemple, est hautement symbolique et chargée de significations. Retour sur ces pratiques quotidiennes qui accompagnent l’engagement religieux. Les Mitzvot, la prière, l’office Les Commandements, ou Mitzvot, sont au nombre de 613. Parmi les obligations : croire en Dieu, aimer Dieu, étudier la Torah, aller à la synagogue, dire la bénédiction après les repas, se reposer le jour du Shabbat, jeûner durant Kippour, pratiquer la charité… La prière permet de se relier à la « Présence Universelle ». Wikipedia

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