Travail collaboratif
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La notion de travail collaboratif désigne aujourd'hui un travail qui n'est plus fondé sur l'organisation hiérarchisée traditionnelle, et plus spécifiquement un nouveau mode de travail (éventuellement intégré dans un modèle économique de production) où collaborent de nombreuses personnes grâce aux technologies de l'information et de la communication. Les outils nouveaux permettent de maximiser la créativité et l'efficience d'un groupe associé à des projets d’envergure même si elles sont très dispersées dans l'espace et le temps. Le projet d'encyclopédie en ligne, libre et multilingue, Wikipédia est un exemple de résultat d'un travail collaboratif « en réseaux coopératifs »[1] Il ne faut pas confondre « travail collaboratif » et « travail coopératif » : Le travail collaboratif, comme le travail collectif (dont il est une des variantes) n'est pas nécessairement synonyme d'efficacité, d'efficience, ni de rapidité. De nombreux exemples montrent :
MilkyWay@Home
User-generated content
Many commercial websites rely on UGC. For example,Amazon.com and Trip Advisor rely on users to rate products and hotels and restaurants, respectively.[2][3] These reviews are important part of what the two respective websites offer. When UGC is contained in commercial websites it is often monitored by administrators to avoid offensive content or language, copyright infringement issues, or simply to determine relevancy of the content to the site's theme. Because user-generated content is generally free to store, the world's data centers are now replete with exabytes of UGC that, in addition to creating a corporate asset,[4] may also contain data that can be regarded as a liability.[5][6] General requirements[edit] The advent of user-generated content marked a shift among media organizations from creating online content to providing facilities for amateurs to publish their own content. The OECD has defined three central schools for UGC:[9] Adoption and recognition by mass media[edit]
SETI@home
Externalisation
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'externalisation, sous-traitance ou impartition (Québec) désigne le transfert de tout ou partie d'une fonction d'une organisation (entreprise ou administration) vers un partenaire externe. Elle consiste très souvent en la sous-traitance des activités jugées non essentielles et non stratégiques : pour une entreprise, il s'agit de celles qui sont les moins productrices de revenus. Il s'agit d'un outil de gestion stratégique qui se traduit par la restructuration d’une entreprise au sein de sa sphère d’activités : ses compétences de base et son activité principale (core business en anglais). pilotage étroit par l'entreprise donneuse d'ordre ;engagement du prestataire externe. Le terme d’infogérance désigne quant à lui les services d'externalisation informatique proposés par des SSII. Le processus inverse, c'est-à-dire la reprise à l'interne de l'entreprise des activités externalisées est parfois observé. Selon P.
Sous-traitance
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La sous-traitance est un contrat par lequel une entreprise demande à une autre entreprise de réaliser une partie de sa production ou des entreprises auxquelles sont agréées certaines parties de travail. Le sous-traitant est différent du simple fournisseur car il fabrique un produit conçu par le commanditaire ou, souvent, en commun avec lui. Le produit est fabriqué par le sous-traitant pour le compte exclusif du commanditaire et ne porte pas son nom. rapport aux directives du commanditaire. Typologie de la sous-traitance[modifier | modifier le code] Il existe plusieurs types de sous-traitance :[1] Considérations juridiques[modifier | modifier le code] L'entreprise cliente est la personne morale ou physique pour le compte de qui les travaux ou ouvrages sont exécutés. La loi met en place des outils de protection des sous-traitants[3] : Considérations économiques[modifier | modifier le code] Avoir un niveau de commandes assuré. Portail du management
Savoir-faire
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sur les autres projets Wikimedia : savoir-faire, sur le Wiktionnaire Le savoir-faire est la connaissance des moyens qui permettent l'accomplissement d'une tâche. Le savoir-faire est différent des autres savoirs comme la connaissance scientifique car il peut être directement appliqué à une tâche. Une des limitations du savoir-faire est sa dépendance à un travail ; ainsi il tend à être moins général que la connaissance. Un des avantages du savoir-faire est qu'il peut impliquer plus de dimensions, comme l'expérience manuelle, l'entrainement à résoudre des problèmes, la compréhension des limites d'une solution spécifique, etc. Les savoir-faire, les techniques et les matériaux traditionnels[modifier | modifier le code] Recherches et inventaires[modifier | modifier le code] les techniques de construction,la coutellerie,le tissage de la soie,la fabrication des peignes en corne, etc. Elles tendent à répondre à deux types d’objectifs :
Intelligence
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme est dérivé du latin intellegentia, « faculté de comprendre », dont le préfixe inter- (« entre »), et le radical legere (« choisir, cueillir ») ou ligare (« lier ») suggèrent essentiellement l'aptitude à lier des éléments entre eux. L'intelligence pratique est la capacité d'agir de manière adaptée aux situations. La compréhension ne peut se concevoir sans un système de codification diversifié. Définitions historiques[modifier | modifier le code] Intelligence et cultures[modifier | modifier le code] Cultures africaines[modifier | modifier le code] Les deux opérations sont complémentaires et conduisent à l’action. Culture musulmane[modifier | modifier le code] Pour Ibn Khaldoun[2], l'intelligence comporte plusieurs branches incluant l’intelligence discernante ou tactique ; l’intelligence expérimentale ou stratégique ; et l’intelligence spéculative, scientifique ou politique. Cultures occidentales[modifier | modifier le code]