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Bibliothèques et Information Literacy

Bibliothèques et Information Literacy
De nombreuses publications analysent le développement de la Société de l’information en lien avec les évolutions technologiques depuis les années 1960 (microprocesseurs, réseaux numériques, ordinateurs et surtout Internet). Ces « nouvelles technologies » permettent et induisent une mise en réseau de données dans un cadre mondial depuis une bonne dizaine d’années. Nous nous trouvons dans une situation d’offre exponentielle d’information. Mais, paradoxalement, alors qu’une grande attention et de forts moyens sont accordés à la mise en place des infrastructures permettant l’accès à cette information, peu de personnes en dehors des professionnels de l’information semblent prendre conscience que rien n’est, en fait, directement accessible. La profusion de savoirs et d’informations véhiculés suppose des citoyens ayant la capacité d’identifier leur besoin d’information, de sélectionner celle-ci, de l’évaluer pour enfin l’utiliser. Pour S. et, pour certains, qui vont plus loin : S. P. Évaluation

Cahiers de la Documentation 2017/2 (juin 2017) | ABD-BVD Editorial Fake ! Fake ! Fake ! De grandes organisations internationales ont décidé de saisir le problème à-bras-le-corps. Alors, dans notre village global, évoluant de galaxie en galaxie, de Gutenberg à Marconi comme le décrivait Marshall McLuhan, peut-être serons-nous les prochains « Gardiens de l’INFOgalaxie » ? Christopher BOON L’esprit du temps et la stratégie de l’anémone Comment et pourquoi l’entreprise Google communique-t-elle les données relatives aux requêtes effectuées sur son moteur ? Guillaume SIRE, Maître de conférences en Sciences de l’Information et de la Communication Les données relatives aux requêtes des internautes sur le moteur de recherche Google constituent un trésor que le propriétaire du moteur est, de fait, seul à posséder. 50 Years of Print Du dépôt légal d’hier à celui de demain Le dépôt légal en question(s). De duurzame bewaring op lange termijn van de digitale editie Een uitdaging voor de Koninklijke Bibliotheek van België

Littératie La littératie, ou lettrure, est définie par l'OCDE comme « l’aptitude à comprendre et à utiliser l’information écrite dans la vie courante, à la maison, au travail et dans la collectivité en vue d’atteindre des buts personnels et d'étendre ses connaissances et ses capacités »[1]. Cette notion va donc au-delà de la lecture-écriture désignée par les termes de lettrisme ou littérisme, dans leurs acceptions officielles en France[2],[3]. La présente notion implique de pouvoir communiquer au quotidien à l'écrit autant qu'à l'oral, pour interagir autant dans les sphères personnelle, familiale, socioculturelle que professionnelle. Définie dans le cadre où l'on accède à l'information écrite, tout comme à celle transcrite numériquement, via une informatique connectée à l'Internet, la littératie informationnelle est considérée comme une qualification utile dans les sociétés industrielles. Terminologie[modifier | modifier le code] Origine du concept[modifier | modifier le code] littérisme, n.m.

Prospectibles Fake news, désinformation, post-vérité : quel rôle pour les professionnels de l’information ? - Prospectibles La victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle aux Etats-Unis a fait émerger une nouvelle notion dans l’univers des actualités et de l’information : l’idée de ‘vérité alternative’. Dès son installation à la Maison Blanche, une polémique s’est développée autour du nombre de participants à la cérémonie d’investiture du Président : comme le rappelle l’article du Guardian, Kellyanne Conway conseillère à la Maison Blanche a défendu la version du porte-parole du Président Sean Spicer , « la plus importante cérémonie d’investiture en terme d’audience » en déclarant que celle-ci se basait sur des ‘faits alternatifs’ (alternative facts). Depuis, la ‘post-vérité’ triomphe aux Etats-Unis dans une atmosphère quasi-orwellienne où la « majorité des journalistes sont malhonnêtes » … La fabrique des fake news et la contre-offensive des médias L’utilisation des réseaux sociaux et de certains médias pour répandre ces faits alternatifs (« Le Pape François soutient D.

Information literacy The United States National Forum on Information Literacy defines information literacy as " the hyper ability to know when there is a need for information, to be able to identify, locate, evaluate, and effectively use that information for the issue or problem at hand."[1][2] The American Library Association defines "information literacy" as a set of abilities requiring individuals to "recognize when information is needed and have the ability to locate, evaluate, and use effectively the needed information.[3] Other definitions incorporate aspects of "skepticism, judgement, free thinking, questioning, and understanding... A number of efforts have been made to better define the concept and its relationship to other skills and forms of literacy. History of the concept[edit] The phrase information literacy first appeared in print in a 1974 report written on behalf of the National Commission on Libraries and Information Science by Paul G. Obama's proclamation ended with: Background[edit]

Les compétences informationnelles | umcm bibliotheque champlain Avant de commencer la lecture de ce guide, regardez la capsule vidéo « Les compétences informationnelles : Parce que je tiens à être un professionnel de haut niveau » produite par le Programme de développement des compétences de l’Université du Québec. a) La définition des compétences informationnelles Les compétences informationnelles se définissent comme étant "l'’ensemble des aptitudes permettant aux individus de déterminer les moments où ils ont un besoin d’information et de trouver, d’évaluer et d’utiliser cette information" (CREPUQ, 2005). Cet ensemble d’aptitudes est essentiel pour l’éducation continue, pour devenir autonome dans la recherche et pour avoir plus de contrôle dans notre propre apprentissage. En plus, il s’agit de compétences très appréciées dans tous les milieux de travail où les employeurs cherchent des professionnels capables de trouver efficacement des réponses aux problèmes. "L’individu qui possède les compétences informationnelles est en mesure : 1. 1. 1.1.

Développer ses compétences informationnelles Le programme de développement des compétences informationnelles (PDCI) est le fruit de la collaboration active entre gestionnaires, professeurs et bibliothécaires des établissements du réseau de l'Université du Québec. Le projet a été subventionné par le Fonds de développement académique du réseau (FODAR). Un outil, trois fonctions : information, référence et aide à la formation L'outil mis en ligne s'adresse en priorité aux étudiants, pour les aider à acquérir de solides compétences informationnelles. Il s'adresse aussi aux professeurs, formateurs, chargés de cours pour les aider dans la préparation de leurs cours à l'aide de ressources faisant références. Que signifie être compétent dans l'usage de l'information et pourquoi les étudiants doivent-ils développer des compétences informationnelles ? Quelles sont les ressources, comment sont-elles organisées dans le programme de développement des compétences informationnelles ? La compétence informationnelle, c'est pour la vie !

“Fake news” ou fausses nouvelles La mode est à la dénonciation des “fake news” (ça se dit fausses nouvelles en français, mais dit en anglais ça fait sérieux), qui auraient envahi l’Internet et les réseaux sociaux. La presse et la télé prétendent avoir découvert la chose et alertent contre un tsunami de mensonges. Mais au fait, qui sont ceux qui publient des fausses nouvelles ? La mode est à la dénonciation des “fake news” (ce qui se dit fausses nouvelles en français, mais fake news ça fait nouveau et plus sérieux parce que c’est en anglais !), qui auraient envahi l’Internet et les réseaux sociaux. La presse et la télé prétendent avoir découvert la chose et ils nous alertent contre ce nouveau cataclysme. Sans remonter aux calendes de l’histoire de la presse (et notamment pendant les deux guerres mondiales et les guerres coloniales où les fausses nouvelles étaient …légion), voici quelques exemples tirés de la période récente. > Comme moi, vous aurez remarqué la concordance de ces intentions vertueuses.

« On retrouve tout au long de l’histoire l’équivalent de l’épidémie actuelle de “fake news” » Dans la longue histoire de la ­désinformation, l’épidémie actuelle de « fake news » (« fausses nouvelles ») vient de s’assurer une place spéciale lorsque la proche conseil­lère du président américain Donald Trump, Kellyanne Conway, est allée jusqu’à inventer de toutes pièces un massacre au Kentucky afin de justifier l’interdiction faite aux ressortissants de sept pays musulmans d’entrer aux Etats-Unis. Cela dit, la fabrication de faits n’est pas quelque chose d’exceptionnel, et, depuis l’Antiquité, l’on retrouve tout au long de l’Histoire l’équivalent des textes et tweets venimeux que l’on observe aujourd’hui. Après avoir célébré l’empereur Justinien dans son histoire officielle, Procope de Césarée, historien byzantin du VIe siècle, collecta sous le titre d’Anecdota une grande quantité d’informations douteuses, qu’il garda secrètes jusqu’à sa mort, afin d’entacher la réputation de l’empereur.

Fake news: le bidouillage est devenu une méthode politique courante (OPINION) - La Libre Opinions Une opinion de François-Xavier Druet, docteur en Philosophie et Lettres. L'heure des leurres: Fake news ou vérité alternative : le bidouillage est devenu une méthode politique courante. Comment l’endiguer ? En croyez-vous encore vos yeux et vos oreilles ? A qui et à quoi se fier aujourd’hui ? On sait que, de tout temps, (presque) tous les philosophes et les non-philosophes ont convenu que la Vérité Absolue, à supposer qu’elle existe, est de toute façon inatteignable par l’homme. "Rien de très nouveau", risquerait-on de dire en songeant que les quiproquos, canulars, impostures et autres mystifications remontent à la nuit des temps. En politique, on a souvent concédé que l’homme politique qui prétend "parler vrai" tire inévitablement la couverture de son côté et présente la réalité de façon quelque peu tendancieuse. Mais nous en arrivons maintenant à un stade bien plus "avancé" : le recours aux "fake news". Souhaitons-leur pourtant de tenir la gageure.

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