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[Web Philo] aide en philosophie pour préparer le bac philo et les concours

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Anne Steiner : « Pour les en-dehors, l’émancipation individuelle n’est pas seulement le moyen de parvenir à un monde meilleur, elle est à elle-même sa propre fin » - Amélie Macé Le 4 octobre dernier, Anne Steiner, sociologue à l’université Paris Ouest Nanterre, donnait une conférence dans le cadre de l’université populaire de Saint-Denis1. Le thème ? L’anarchisme individualiste. Ou plus exactement, l’essor et l’évolution d’une partie du mouvement anarchiste parisien fin XIXe-début XXe siècle. Une période d’effervescence théorique et militante : de nouveaux journaux se créent, les initiatives pratiques se multiplient, et des champs théoriques jusqu’ici délaissés sont investis avec enthousiasme (amour libre, végétarisme, éducation populaire...). Au centre de ce mouvement, quelques figures « flamboyantes », restées accolées à l’imaginaire anarchiste : Rirette Maîtrejean, Victor Serge, Libertad... Rirette pour fil conducteur « J’évoquerai pour commencer le parcours d’une jeune femme née en 1887 et connue sous le nom de Rirette Maîtrejean. Elle le quitte deux ans plus tard pour un autre jeune homme, Mauricius, qui évolue dans les mêmes cercles.

Les Philosophes : Oeuvres Philosophiques des Grands Penseurs - Initiation Athènes : "Nous sommes à un stade embryonnaire de la démocratie directe" Sp. a 33 ans. Il milite depuis 15 ans dans les milieux anarchistes-autonomes et dans le syndicat de base de sa filière (travailleurs des librairies, imprimeries et maisons d’édition). Il n’a pas participé intensivement aux activités du mouvement de la place de la Constitution, à l’exception de quelques assemblées générales et des trois journées de grève. Commençons par les soulèvements arabes. Comment penses-tu qu’ils ont influencé le mouvement de la place de la Constitution ? En termes d’événements et de résultat final, il n’y a aucun rapport entre les deux. Une idée répandue veut que toute cette histoire ait commencé par des appels de citoyens « indignés » lancés à travers les réseaux sociaux. Ecoute, les choses sont un peu complexes. Je dirais donc qu’il n’y a pas une disposition, une volonté des gens d’intégrer toutes ces petites contre-structures qui sont en train de naître actuellement sur les places publiques, dans une logique d’organisation à grande échelle. Oui. Notes

Philagora, ressources culturelles L'élection organise une aristocratie Le terme démocratie et l’adjectif démocratique qui qualifie notre régime de gouvernement sont deux mots-clés de notre vocabulaire politique. On croit tout savoir de la démocratie tant elle est familière. D’origine grecque, animant la vie d’Athènes, elle y aurait été « directe », et aurait été adaptée dans sa forme « indirecte » en France et aux Etats-Unis, à la fin du XVIIIe siècle. L’adjectif démocratique est lui aussi d’un usage courant. Si des étudiants bloquent leur université, certains leur rétorquent que ces pratiques ne sont pas démocratiques : la ministre les accuse même de vouloir construire un mouvement politique. La démocratie athénienne avait pour fondement pratique l’usage du tirage au sort, la rotation rapide des charges, la reddition des comptes, l’impossibilité d’exercer de multiples fois la même charge, la rémunération de l’activité politique, l’amateurisme, c’est-à-dire la non-division du travail politique. Le régime représentatif n’est pas la démocratie.

Philosophie et politique Contre l’oligarchie, la finance et les médias : Que faire ? Dans le nouveau Fakir en kiosques, notre dossier est consacré à cette (vaste) question : que faire ? Que faire pour pulvériser l’oligarchie ? Que faire pour leur retirer le pouvoir – et donc pour le prendre ? Par les bombes ? Ils sauveront les banques avec nos retraites. Le doute n’est plus permis : qu’on les laisse faire, et tout ça ils le feront. Dans ce dossier, Fakir s’essaie un petit catalogue des impasses (« attendrel’écroulement », « miser sur les solutions locales », « cracher sur les partis », etc.) et des débuts de solutions (« ne pas cracher sur les syndicats, les partis, nous élever au dessus de l’époque... ») Des lecteurs nous ont répondus et pas qu’un peu... Laurent, de Corrèze : « je lis comme un paradoxe » [...]– « après les urnes, la rue ! – « miser sur la consommation citoyenne », ah, les lois ! Une question : pourquoi par exemple personne ne se bat pour que l’histoire de la Commune de Paris soit plus longuement enseignée dans les écoles publiques ? Bonjour François,

Philosophie et spiritualité Hasard et Democratie

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