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Le choix du numérique : un devoir et une opportunité pour l’Ecole

Le choix du numérique : un devoir et une opportunité pour l’Ecole
Le Conseil national du numérique (CNNum) a lancé en juin 2011 une réflexion sur la place du numérique à l’Ecole et sur les conditions de son développement. Le groupe de travail qu’il a constitué a auditionné plus de 50 personnalités du monde de l’éducation, de l’édition et du numérique. Le CNNum présente aujourd’hui ses recommandations sur ce sujet central pour la société. Près de 100 000 écoliers sortent tous les ans du CM2 sans maîtriser les compétences de bases. Quelques chiffres le démontrent : 300 millions d’euros sont dépensés chaque année par l’Etat et les collectivités dans l’acquisition des manuels scolaires papier, auxquels il faut ajouter 100 millions de dépenses annuelles en photocopies ;or, en 2010, seulement 20 millions d’euros ont été consacrés à des dépenses en ressources numériquesPourtant, les départements dépensent chaque année 250 millions d’euros dans le numérique pour le collège, essentiellement en équipements, Une gouvernance régionale plus adaptée

décrochage Le recensement des décrocheurs n’est pas une mince affaire. Dès 1992, le ministère en dénombre quarante-cinq-mille par an. À la fin des années 90, les mêmes sources en donnent 8 % d’une classe d’âge, soit environ soixante-mille. Le 11 juillet 2004, le journal Libération en compte cent-mille. En 2005 le ministre de l’Éducation en personne arrive à cent-cinquante-mille. L’appareil scolaire comptabilise les décrocheurs sans jamais avoir défini le décrochage. Le décrochage étant mal identifié, les décrocheurs sont parfois répertoriés dans des rubriques hétéroclites : changement d’établissement, réorientation, entrée dans la vie active, scolarisation par correspondance, départ à l’étranger, alternance, etc. In fine, qu’il concerne des décrocheurs ou de décrochés, le phénomène semble recouvrir au moins trois réalités souvent imbriquées : Nombre d’établissements se préoccupent de décrochage, mais ne s’occupent pas des décrocheurs.

Pour un État à l'ère du numérique Québec — La révolution de la communication en format mobile qui se joue en ce moment dans les poches des citoyens, par l'entremise des téléphones intelligents, risque de mettre une pression importante sur les budgets de l'État, qui, pour adapter ses services à cette réalité, va devoir miser sur une collaboration accrue avec des citoyens-programmeurs et sur des politiques d'accès libre à ses données. Québec devrait également s'inspirer des entreprises privées et déplacer ses services publics dans les réseaux sociaux, ont estimé hier les participants au premier GouvCamp, une conférence participative atypique visant à réfléchir sur le rôle de l'État au temps du numérique. Une cinquantaine de fonctionnaires, spécialistes des technologies et penseurs de la modernité y ont pris part. Écouter les citoyens L'an dernier, plus de 80 % des internautes québécois ont consulté au moins un site web gouvernemental, selon les dernières données du Centre francophone d'informatisation des organisations.

Le jeu sérieux en éducation et en formation Certains pensent même que les joueurs peuvent sauver le monde. Cette idée, apparemment saugrenue, est promue par Jane McGonigal. Sa thèse est que la " réalité est brisée " et que les solutions, nécessairement complexes, seront élaborées par des joueurs rompus à affronter des difficultés énormes, à s'allier pour cela, à ne rien lâcher avant de vaincre. McGonigal appuie son raisonnement sur l'observation des joueurs qui font le succès de World of Warcraft et autres jeux massivement multi-joueurs (qu'on désigne sous l'acronyme MMORPG). Tous ces joueurs commencent à se présenter aux portes des entreprises. L'école quant à elle, s'ouvre lentement, très lentement au serious game. Mais soyons-en sûrs, on commence seulement à prendre la mesure de ce que sera la place du jeu dans nos occupations quotidiennes. Le serious game a remis la pédagogie du jeu à l'honneur.

Le guide du web 2012 du Café pédagogique : Documentation - CDI Par Julie Anne, Justine Margherin et Fred Yvetot Dix sites, comment se limiter à dix sites ? Quels sont ceux qu'il faut absolument avoir dans nos favoris ? Voici notre sélection du web pour cette année : les indispensables pour un professeur documentaliste (ou un étudiant qui souhaite le devenir). Mais nous vous recommandons tout de même de relire les anciennes éditions des indispensables, vous pourrez alors accéder à certains des sites que nous avons décidé de “rayer” de notre liste... il fallait bien faire des choix ! SavoirsCDI On ne présente plus ce site du CNDP qui offre l'outillage complet de ressources professionnelles. Savo Docs pour docs A l'initiative de ce site, on trouve Alain Gurly, professeur-documentaliste à présent à la retraite, qui continue à alimenter à domicile le site aux côtés de Nicole Boubée, Edith Boulo, Ghislain Chasme et Jacqueline Valladon. Docspourdocs gère également la liste de diffusion e-doc. Docs pour docs Affordance

La tablette va-t-elle tuer l'ordinateur? La tablette a réussi aussi à s'imposer sur le téléphone multifonctions, grâce à son écran plus grand. - Photo AFP L'ordinateur classique est menacé par la popularité croissante des tablettes numériques, estiment des experts de l'industrie qui participaient cette semaine à un sommet sur les médias numériques à Toronto. «La tablette, c'est une affaire d'engouement. Elle tue l'ordinateur beaucoup plus qu'elle n'empiète sur le téléphone intelligent», dit Daniel Odio, président de Socialize Inc, fabricant d'une plateforme qui permet aux utilisateurs de créer leurs propres applications. «C'est la nouvelle centrale nerveuse, c'est le nouvel ordinateur», explique-t-il. Et ses utilisateurs achètent davantage de produits que ceux qui s'en tiennent exclusivement à l'ordinateur, affirme pour sa part Michael Schneider, président de l'entreprise Mobile Roadie, qui lance lundi une nouvelle application musicale pour le iPad.

Le Serious Game au service de l’education thérapeutique de tous CCCP, développeur de solutions Serious Game au service de la santé, a lancé lundi 9 janvier 2012 LudoMedic.com, la plateforme médicale vidéoludique gratuite. Trois jeux sont d’ores et déjà disponibles pour les enfants de 6 à 14 ans et leurs parents. Au travers de ces trois aventures à l’hôpital, ils découvrent l’univers hospitalier, ceux qui le peuplent (personnel soignant et non-soignant), et les soins qui leur seront prodigués. Des animations didactiques et mini-jeux ponctuent l’aventure afin de transmettre les informations jugées essentielles par les partenaires hospitaliers de CCCP, et ce de manière ludique. Les trois parcours de soins traités actuellement sont : l’IRM, la chirurgie pédiatrique, et la chimiothérapie. LudoMedic.com est la première plateforme médicale vidéoludique en France accessible gratuitement via le web, pour enfants, parents et professionnels de santé. Pour jouer : www.ludomedic.com Extrait de la chronique du Magazine de la santé France 5 :

SIMONOT et GALLEZOT,  Google 1Ce titre annonce d’emblée une posture critique et, plus largement, une promesse de dévoilement. L’approche communicationnelle, affirmée dès le sous-titre, saisit Google comme un objet de recherche à construire à distance des discours promotionnels ou pamphlétaires. La recherche collective prend appui sur une perspective sociotechnique, mais également sociopolitique du moteur de recherche et de ses usages, pour interroger la production de valeurs par la société Google. Le moteur est scruté au prisme des modèles de recherche d’information qu’il convoque, du discours idéologique sur son algorithme et de l’uniformisation des modes d’interrogation par mots-clés. 2Ainsi, c’est à la jonction entre sciences du document et analyse des pratiques documentaires que l’ouvrage pose un regard sensiblement novateur sur son objet. 3Le premier volet entre de plain-pied dans l’analyse des pratiques documentaires de deux publics, les étudiants et les journalistes.

Une «tablette numérique à bas prix» pour les défavorisés | Guillaume Lavallée Raja Singh Tuli, chef de la division technologie pour Datawind. - Photo: Ryan Remiorz, PC Une petite société établie au Canada propose la tablette numérique la moins chère au monde destinée à brancher sur le net des millions de pauvres plutôt qu'à séduire les aficionados de l'iPad. Datawind, une société dirigée par les frères canadiens d'origine indienne Suneet et Raja Singh Tuli, a fourni en octobre 100 000 tablettes «Aakash» («ciel», en hindi) au gouvernement indien dans le cadre d'un programme d'accès des étudiants aux technologies de l'information. Le coût de cette tablette? Depuis ce premier contrat public, «Aakash» fait parler d'elle. «L'accueil est fantastique! «À la fin des années 90, il y avait 750 millions de personnes branchées sur internet et autant d'utilisateurs du téléphone portable. D'où l'intérêt, selon lui, de lancer une tablette numérique à bas coût, qui fait aussi office de premier ordinateur, pour les classes défavorisées.

Entre e-larning et serious games Veille documentaire Transformer une tablette numérique en tableau numérique interactif mobile Juin 2015 1. Préambule Vous disposez des équipements suivants : ordinateur vidéoprojecteur tablette numérique réseau wifiEn installant sur vos PC et tablette les applications « Splashtop », vous transformez votre tablette numérique en un tableau numérique interactif mobile. Avec ce dispositif, c’est votre tableau numérique qui deviendra mobile dans la classe. Haut de page 2. L’application Splashtop Whiteboard permet de contrôler votre PC et toutes les applications qu’il contient depuis la tablette.En activant le mode prise de note, vous transformerez votre tablette en un tableau blanc interactif mobile. Cette application est payante (34,99 € pour l’iPad et 39,44 € pour Android). Téléchargez Splashtop Whiteboard pour l’iPad Téléchargez Splashtop Whiteboard pour Android Pour en savoir plus sur les applications « Splashtop », consultez sur notre site l’article : Lier la tablette numérique avec l’ordinateur 3. 1. 2. 3. 4. 5. 4. Cette application vous permet de : 1. 2. 5. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8.

A Theory of Fun for Game Design Rap pol doc 0205041.doc Numérique, usages et élèves : qui éduque qui ? J’évoque ici deux nouveautés dans ma vie de professeure : 1. Une tablette en latin Un de mes élèves a le bras en écharpe et s’est donc fait offrir une tablette pour prendre ses cours en notes. Extrait des Bucoliques examiné via le TNI Extrait des Bucoliques examiné au TNI Quant à l’élève muni de sa tablette, voici ce qu’il est capable de faire : Élève et tablette. Notes de l’élève. La comparaison des deux séries de photos montre de façon éloquente que l’écrit proposé met en évidence le travail en train de se faire : les couleurs codées (rouge pour le verbe, bleu pour le sujet et ses expansions, autres couleurs pour les compléments) viennent soutenir la réflexion ; dans le cas des couleurs adoptées par l’élève, les codes sont les mêmes et correspondent à l’aboutissement de la réflexion puisqu’il affecte les mêmes couleurs à la traduction qu’il propose, même s’il commet quelques erreurs : regarder son texte coloré est comprendre sa démarche intellectuelle et l’aider à remédier à ses erreurs. 2.

Ce site montre à quel point il est essentiel d'intégrer aujourd'hui le numérique dans une salle de classe. by celineguerin Mar 7

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