background preloader

TEDxBerkeley - Nipun Mehta - Designing For Generosity

TEDxBerkeley - Nipun Mehta - Designing For Generosity

C. Eisenstein: "Nous entrons dans l'ère où tout devient possible" La crise financière est en train de dévoiler un long processus de re-exploration d’idées anciennes et de valeurs oubliées, explique Charles Eisenstein dans cette interview. Pour ce penseur, la réponse à la crise se trouve dans la magie du don et la narration d’une nouvelle histoire. Charles Eisenstein est probablement l’un des auteurs les plus avancés dans la catégorie de la pensée intégrale avec sa spécialité : l’économie du don et la monnaie. Son dernier ouvrage, “L’Économie Sacrée“, est une bible de réflexion sur la valeur et l’argent dans la société actuelle et surtout celle de demain. Nous avons eu la chance de discuter avec Charles et de le faire parler sur sa vision de la nouvelle histoire que nous devons écrire. Un article traduit de l’anglais par Marianne Souliez. Cela fait cinq ans que la crise des subprimes a commencé et a fait s’effondrer le système financier… Et on dirait que rien n’a changé depuis ! Charles Eisenstein: Tu as raison. Charles Eisenstein in Amsterdam.

The desert of plenty Throughout history, humans have dreamed of plenty. They have longed for there to be abundant supplies not only of essentials, but of luxuries. The promise made to the Israelites wandering in the desert was that they would eventually come to a land “flowing with milk and honey”. And the vision of the New Jerusalem in Revelation is of riches beyond imagination. Recent forecasts of forthcoming abundance, too, have focused on the benefits. Imagine a world in which everything was so plentiful that not only the essentials of life but the luxuries, too, were free. But these “benefits” have a dark side. In a superabundant economy, money would be unnecessary, both as a medium of exchange and as a store of value. If superabundance is believed to last for ever, there is no point in saving. Although we dream of abundance, we actually don't like it. Of course, I am describing an extreme world. All of this is consistent with a trend to abundance. This is a world of plenty. Related reading

Related: