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Un an après, le Japon bouleversé... - un webdocumentaire de France 24

Un an après, le Japon bouleversé... - un webdocumentaire de France 24
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La chaîne alimentaire 19 août 2012 à 12:28 | par Bénédicte Boucays Mot du jour Mot du jour et définition 37 37 commentaires Gélocalisation Outils pédagogiques Articles associés Articles de la même rubrique Partager Partager sur les réseaux sociaux À ton avis, qui mange qui ? Le suricate, le lion ? Hum, hum, pas tout à fait dans cet ordre. Cette image est extraire du Mobiclic n°124. En t'identifiant sur le site, tu pourras accéder aux éléments suivants : Ajout des commentaires Si tu es abonné au magazine, tu pourras accéder aux éléments suivants : Texte de l'article Téléchargement PDFGéolocalisationMot du jour 2 avril 2014 Un chirurgien opère... Une opération peu banale a eu lieu au centre hospitalier Saint-Grégoire près de Rennes. 31 mars 2014 Un astronaute... Thomas Pesquet vient d’être sélectionné pour partir vivre six mois à bord de la Station spatiale internationale avec cinq autres astronautes. 24 mars 2014 C’est quoi, ce ver... 27 janvier 2014 Les sons en 3D 13 novembre 2013 « Les arbres... 6 juin 2013

Fukushima, deux ans après: Les débris du tsunami en mer pour des décennies Les vagues immenses qui ont frappé le Japon en mars 2011 ont charrié dans la mer une quantité sans précédent de déchets: cinq millions de tonnes de débris d'immeubles, voitures, bateaux, mobilier urbain... et dont une partie va encore voguer des décennies. Environ 3 millions et demi de tonnes ont immédiatement coulé, selon les chiffres officiels du Japon, et quelque 1,5 million de tonnes de plastique, filets de pêche, bois, containers à poissons, ferraille... sont partis au large. «Le tsunami aurait éjecté dans l'océan Pacifique au minimum l'équivalent de 3.200 années de déchets rejetés en mer par le Japon en situation de routine», estime l'ONG française Robin des Bois, spécialisée dans les questions de gestion de débris post-catastrophe. Et pour le seul plastique, le volume dispersé en quelques heures dans Pacifique serait équivalent à celui accumulé depuis plusieurs décennies dans l'Atlantique et le Pacifique réunis, ajoute-t-elle. Des docks en béton et des Harley Davidson... Avec AFP

Amazonie - Le souffle indien Après Fukushima, promenade dans une ville désertée Une balade, mais une balade d’un type un peu particulier. Celle-là se passe dans les rues de Namie-machi, une petite ville de la préfecture de Fukushima. Depuis l’accident à la centrale nucléaire de Fukushima, le 11 mars 2011, les 21 000 habitants ont quitté leurs maisons et laissé derrière eux une cité devenue fantôme. Deux ans ont passé et les gens ne sont toujours pas autorisé à réintégrer leurs pénates. Mais que se passe-t-il dans les rues désertées ? Le maire de la commune et son équipe ont parcouru la ville dans des voitures spécialement équipées par Google pour son programme « Street view » et livré le spectacle de maisons écroulées et de routes encore encombrées des débris du tsunami. « Depuis le désastre de mars, le reste du monde a continué d’avancer et beaucoup de régions au Japon ont commencé à se relever. Pour faire la balade, rendez-vous sur Google Maps et le site Memories for the Future.

Examen de la thyroïde pour 360 000 enfants à Fukushima Sept mois après la catastrophe de Fukushima, la préfecture de la ville a lancé depuis dimanche une série d’examens médicaux sur 360 000 enfants de moins de 18 ans. Objectif : prévenir les effets à long terme des radiations et notamment les cancers de la thyroïde. Les familles japonaises étaient nombreuses à réclamer des examens suite aux nombreux dysfonctionnements de la glande thyroïde constatés chez les habitants des zones voisines de Tchernobyl après l’explosion en 1986. Ceux-ci ont entraîné, parfois cinq à dix ans plus tard, des cancers et maladies. C’est pourquoi les autorités ont promis un suivi permanent – un premier examen avait été effectué en août dernier.

Prévention sismique: le Japon se souvient  du 11 mars | Karyn Poupee | Asie & Océanie «Vous vous souvenez du principe «OKASHIMO» que je vous ai enseigné pour quitter la classe en toute sécurité après la fin des secousses?», avait interrogé la maîtresse peu avant que ne retentissent la sirène et l'annonce d'une simulation de tremblement de terre de magnitude 7,3 dans la capitale. Et tous les écoliers de répondre alors en choeur «O osanai (ne pas pousser), KA kakenai (ne pas courir), SHI shaberanai (ne pas parler), MO modoranai (ne pas faire demi-tour)». «Aujourd'hui, plus que les autres fois, je vous demande de bien respecter les consignes pour fuir sans risque, car un jour peut-être, un énorme séisme, comme celui du 11 mars dans le nord-est, se produira ici», avait-elle doctement insisté. Des petits de 6 ans aux plus grands d'une douzaine d'années, tous les enfants de l'établissement se rassemblent dans la cour, tête protégée par une capuche spéciale, en permanence accrochée à leur dossier de chaise. «N'oubliez pas cela.

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