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L’argent est mort, vive le troc

L’argent est mort, vive le troc

Je loue ta voiture, tu loues mon costume, on sauve la planète Basée sur l’idée de partage, la « consommation collaborative » est une pratique qui se développe de plus en plus. « Chèvre pour tondre votre pelouse de manière écologique – location à la journée par couple de deux – 10 euros. » Ceci n’est pas une blague, mais une annonce trouvée sur le site e-loue, où les particuliers pratiquent la « consommation collaborative ». Le concept s’applique à tous les objets que l’on possède et que l’on n’utilise pas tout le temps, ou que l’on n’a pas besoin d’acheter. Comme l’expliquait déjà en 2000 Jeremy Rifkin dans son livre sur l’économie de l’accès ( « The Age of Access »), on n’est « pas toujours heureux d’hyperconsommer ». Du coup : « La notion de propriété et la barrière entre vous et ce dont vous avez besoin sont dépassées. » Un brin révolutionnaire, le site « Collaborative consumption » proclame ainsi comme slogan : « Ce qui est à moi est à toi. » (Voir la vidéo de présentation, en anglais) « Des produits plus chers mais plus solides »

Le grand singe et les comportementalistes La semaine dernière, j’ai animé une table ronde sur l’économie comportementale dans le cadre des Journées de l’économie (Jeco), qui se tiennent à Lyon. Le thème est un peu abscons mais Marie-Claire Villeval (CNRS) a tout de suite détendu l’atmosphère en nous visionnant la célèbre vidéo de Daniel Simons. Une grande partie de l’assistance concentrée sur la proposition de base (calculer le nombre de passes avec le ballon de basket) n’a pas même vu ce qui crève les yeux. Les comportementalistes, adeptes de Daniel Kahneman ou Richard Thaler appellent cela un « biais ». Il y a aussi le « biais d’habitude ». Théorisé à partir de la fin des années 1970 dans les universités américaines, ces expériences comportementales montrent nos limites cognitives. On nage dans notre nuage nudge quand Paul Seabright, professeur à la Toulouse School of Economics nous ramène à la réalité.

La troisième révolution industrielle va-t-elle sauver le monde ? Dans un essai en forme de récit prophétique, Jeremy Rifkin pose le paradigme de l'ère post-carbone, qui sera fondé sur les énergies renouvelables décentralisées et suscitera un modèle sociétal coopératif, par une nouvelle forme de conscience, empathique et globale. Le prix du pétrole flambe, mais les dirigeants de ce monde persistent à ne pas voir la corrélation entre hausse du prix de l'énergie, dégradation du pouvoir d'achat et spirale de la dette. Ces signaux sont pourtant liés et ils sont annonciateurs de la fin de la deuxième révolution industrielle, dont la récession actuelle illustre les derniers soubresauts. Le mérite majeur de l'ouvrage fleuve du célèbre prospectiviste américain Jeremy Rifkin, La troisième révolution industrielle. Selon le deuxième principe de la thermodynamique énoncé en 1865 par le physicien allemand Rudolf Clausius, l'énergie du monde se dégrade irréversiblement. Energie et économie sont intrinsèquement liées Des fossiles élitistes au pouvoir latéral

Collaborative Consumption explodes in Latin America At the end of 2010 a Spanish Google search for “consumo colaborativo” only rendered few results, among them this note from the Discovery Channel Latin America and an article on Argentina’s Rolling Stone website (2011), which were mostly focused on American examples. We are now in 2012 and I am pleased to report that collaborative consumption projects in Latin America have exploded. Would you like to learn more about some of these interesting projects? The truth is that several countries in Latin America (Chile, Brazil, Argentina, Mexico, etc.) are among the few in the world that are currently “growing” (detailed report UN ), ie: apart from consumption and mass access to monetized goods/services. It is often argued that collaborative consumption is only a reaction to the current economic crisis, and therefore, people will return to their “normal” habits of hyperconsumption (as it happened in Argentina after the 2001 crisis). Mobility as a driver of change Mobility does not end with cars.

32 Innovations qui va changer votre Demain - Feature Interactive Electric Clothes Physicists at Wake Forest University have developed a fabric that doubles as a spare outlet. When used to line your shirt — or even your pillowcase or office chair — it converts subtle differences in temperature across the span of the clothing (say, from your cuff to your armpit) into electricity. And because the different parts of your shirt can vary by about 10 degrees, you could power up your MP3 player just by sitting still. According to the fabric’s creator, David Carroll, a cellphone case lined with the material could boost the phone’s battery charge by 10 to 15 percent over eight hours, using the heat absorbed from your pants pocket. Chris Nosenzo The New Coffee Soon, coffee isn’t going to taste like coffee — at least not the dark, ashy roasts we drink today. Analytical Undies Your spandex can now subtly nag you to work out. The Morning Multitasker The problem with laptops and tablets, says Mark Rolston of the design firm Frog, is that they’re confined by a screen.

une police de caractère | animal social Pour contribuer à redéfinir l'identité de leur ville, un designer et un consultant de Chattanooga ont lancé Chatype : bien mieux qu'Arial ou Times new roman, il s'agit d'une police de caractère créée spécialement pour leur ville, Chattanooga. La police ("font type" en anglais) Chatype permettra d'ajouter une touche d'identité et de créativité à cette ville située au bord du Tennessee, dans le vieux South des Etats-Unis. Comme un parfum du meilleur des deux mondes Si l'idée de Chatype est née d'une rencontre entre un designer et un consultant dans un coffee shop de la ville, elle va se concrétiser grâce à l'internet "social" : en l'occurrence, grâce au site Kickstarter. Les promoteurs de Chatype ont lancé un appel à financement à hauteur de 10.000 dollars sur ce site de "crowdfunding" (financement par les internautes). Le 17 février, plus de 140 soutiens s'étaient déjà engagés à apporter plus de 7000 dollars. Chatype: A Typeface for Chattanooga!

Le gratuivorisme, pour une société sans argent, gagne l'Argentine Le gratuivorisme, pour une société sans argent, gagne l'Argentine BUENOS AIRES (Argentine) - La recherche d'une société sans consumérisme et sans argent, un mode de vie alternatif né aux Etats-Unis où il est appelé freeganisme, autrement dit gratuivorisme, gagne de nouveaux adeptes parmi les jeunes en Argentine. J'essaye de vivre sans argent, dit à l'AFP Ariel Rodriguez Bosio, 34 ans, qui se veut gratuivore ou freegano. J'essaye d'encourager une nouvelle société et de ne plus soutenir cette vieille société injuste, ajoute-t-il. Ariel, l'allure sportive et le regard perçant, fondateur de l'ONG Arco Iris universal (Arc-en-ciel universel), a renoncé au téléphone portable et à la télévision, porte des vêtements sans marque et préfère le citron au déodorant. Le gratuivorisme consiste à consommer ce qui est gratuit en créant des réseaux d'entraide afin de dénoncer le gaspillage alimentaire et la pollution générés par les déchets dans la société occidentale.

Qu'est-ce qui pourrait révolutionner l'innovation dès demain ? Voici quelques pistes, classées par « étape » innovation….Génération d’idées, finis les raccourcis ? Trouver des idées neuves et pertinentes, c’est essentiel. Poser les bonnes questions au préalable, c’est préférable.Après les boîtes à idées et système de management des idées, il est grand temps de se reposer des questions en créant des boîtes à questions. Le sourcing d’informations et les réponses en temps réel : Les médias sociaux vont-ils permettre accélérer d’innovation ? Fabrication produits accélérée grâce au prototypage 3D et émergence de nouveaux acteurs : les FabLabs – source la Fing et les FabLab bios.Rendre le « durable » évident : un début avec les « repreneurs-automatiques » ou ecoATM de produits usagés ? Business modèles, le low-cost fera partie de tous les scenarii stratégiques.Distribution, trois directions qui changent déjà tout :- social commerce- et tiers-lieux et mobilité durable (« la gare, reflet de la société« ).- quand acheter, c’est donner.

Le droit, un frein à l’émergence de “l’économie de la connaissance” ? | le Blog de Yann BERGHEAUD En 2007, dans son réexamen du marché unique, la Commission a souligné la nécessité de favoriser la libre circulation de la connaissance et de l’innovation – la « cinquième liberté » – au sein du marché intérieur. La libre circulation de la connaissance et de l’innovation se situe donc au même rang que la sacro-sainte libre circulation des marchandises et des services. Il s’agit donc de permettre la création d’une véritable économie de la connaissance désignant ici une activité économique fondée sur des ressources intellectuelles. Comme le souligne le livre vert de l’Union Européenne consacré au « droit d’auteur dans l’économie de la connaissance« . Parallèlement, au niveau fonctionnel, le système LMD mettant en place une grille de lecture unique des diplômes nationaux fut instauré. Tout semble donc être en bon ordre de marche pour l’émergence de l’économie de la connaissance, il ne manque plus que des productions et des services.

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