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Le Conjugueur

Civilisation contre évaluation Consultation du dictionnaire Après deux semaines de fermeture, nous avons décidé de rouvrir l’accès au DES afin de permettre à nos utilisateurs de le consulter en cette période de confinement – nous pensons notamment aux élèves de l’enseignement primaire et secondaire, ainsi qu’aux étudiants et professionnels qui en font un usage quotidien. Toutefois, notre vigilance reste entière, et nous nous réservons la possibilité de procéder à une nouvelle fermeture du Dictionnaire Électronique des Synonymes,au moment de la discussion de la Loi de Programmation Pluriannuelle de la Recherche au parlement. Nous vous invitons à prendre connaissance de nos revendications.

RetourneAuCM1.com Dictionnaire de l'informatique et d'internet - DicoFR Grabuge Natacha Quester-Séméon's Notes NBIC, Les nouvelles frontières de la pensée - Idée@jour : le quotidien de la vie intellectuelle lundi 4 mai 2009, par Rémi Sussan Nanotechnologies, biologie synthétiques, informatique et cognition. Les récentes avancées de la recherche sont suffisamment impressionnantes pour apporter leur lot d’idées et de mythes.Illustrations : DK./ PHOTOS D’ENTREPRISES L’Annuel des idées-Février 2009 « Puissiez-vous vivre des temps intéressants », dit une ancienne malédiction chinoise. L’internet, les OGM, le clonage même n’apparaissent plus que comme des amuse-gueule avant la présentation du plat de résistance, connu sous l’acronyme mystérieux de NBIC.Derrière ces quatre lettres se cachent diverses disciplines, certaines nouvelles, d’autres un peu moins, dont la combinaison risque de s’avérer particulièrement explosive dans les prochaines années. N comme Nanotechnologies : c’est la capacité de travailler au niveau du nanomètre (milliardième de mètre), avec une précision quasi atomique. B comme biologie. I comme informatique évidemment. C comme Cognition : étude des mécanismes de l’esprit.

rennes.cafesfrance.com >> Accueil >> Sortez là où c'est cool à Rennes ! :) La nouvelle “science des services” Par Daniel Kaplan le 10/01/07 | 3 commentaires | 2,702 lectures | Impression Alors que les services représentent entre 70% et 80% du produit national des pays développés – et de beaucoup de pays en développement, on sait encore peu de choses sur la manière dont ceux-ci se mesurent, innovent, produisent de la valeur. On sait mal mesurer la productivité de ceux qui les produisent ou des équipements qui servent à les produire. Ce constat fonde l’effort entrepris depuis 2004 par IBM, rapidement rejoint par plusieurs autres entreprises de conseil et de service informatiques (Accenture, EDS, HP) et suivi par des grandes universités (MIT, Berkeley, Ecole polytechnique fédérale de Lausanne, université de Manchester, école de management Bocconi…), pour instituer une nouvelle discipline de recherche : la “science des services“, ou plus largement “la science, la gestion et l’ingénierie des services” (Services Science, Management, and Engineering, SSME). Une nouvelle discipline scientifique ?

Le futur, c'est tout de suite: Marx, s'en débarasser Karl Marx, en France, est insubmersible. Le Nouvel Observateur et France Inter (radio de service public) s’associent cette semaine, pour annoncer « Le Grand retour de Marx ». A lire et entendre témoins, universitaires, ouvriers en lutte et journalistes convoqués pour cette célébration, Marx serait indispensable et son génie -un peu ancien tout de même- seul susceptible d’éclairer la crise présente du capitalisme. Reste aux médias à dénicher le méchant contradicteur : le rôle m’échoit. Aucun de ces arguments n’est entendu ni débattu du coté des marxiens : l’échange est impossible entre une analyse qui part de la réalité et un marxisme à caractère mystique. Cette liturgie ne révélant pas plus de surprise que la messe en latin, demandons-nous pourquoi, elle rassemble encore autant d’adeptes ?

Quels gardiens pour la mémoire ? - Environnement, Sciences - Le Monde.fr C'est comme une carte qui serait plus grande que le territoire. Un de ces projets absurdes et vertigineux dont les technologues ont le secret : numériser sa vie. L'enregistrer pour pouvoir se la rejouer, retrouver à la vitesse de la lumière chaque instant de son existence, réinterpréter objectivement un passé que la mémoire humaine infailliblement corrompt. Qu'importe si plusieurs vies seraient nécessaires pour seulement visionner ces données... MyLifeBits, projet soutenu par Microsoft, est bien réel. Il a été imaginé par Gordon Bell, un pionnier de l'informatique. Plus récemment, il a entrepris d'enregistrer sa vie quotidienne, grâce à un petit appareil photo numérique, porté autour du cou. Techniquement, Gordon Bell n'a que quelques années d'avance sur le reste de l'humanité. Mais ce projet, qui ferait de chacun son propre Big Brother, se heurte à la fragilité des traces numériques. Franck Laloë partage ce diagnostic. Les disques durs ne sont pas mieux lotis. Doit-on tout conserver ?

Design Patterns: Faceted Navigation We are pleased to present an excerpt from Chapter 4 of Search Patterns by Peter Morville and Jeffery Callender (O’Reilly, 2010). —Ed. Faceted Navigation#section1 Also called guided navigation and faceted search, the faceted navigation model leverages metadata fields and values to provide users with visible options for clarifying and refining queries. Faceted navigation is arguably the most significant search innovation of the past decade.[2] It features an integrated, incremental search and browse experience that lets users begin with a classic keyword search and then scan a list of results. Figure 4-19 illustrates a successful implementation of faceted navigation as a model for interacting with the catalogs of several academic libraries. [2] Marti Hearst and her Flamenco project collaborators at UC Berkeley deserve credit for their pioneering research in faceted navigation ( Fig. 4.19 Faceted navigation at the Triangle Research Libraries

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