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À l'ère de la surveillance numérique – série de podcasts

À l'ère de la surveillance numérique – série de podcasts
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Lacaton & Vassal, Prix Pritzker : "Arrêtez de démolir !" Comment mieux habiter ? Telle est la question qui semble traverser les projets d'Anne Lacaton et Jean-Philippe Vassal. Ils se sont rencontrés à l'école d'architecture de Bordeaux et ont formé leur propre cabinet en 1987. Depuis, c'est une succession de projets pour le duo qui préfère transformer plutôt que détruire, trouver de la liberté dans les contraintes (notamment les budgets réduits) et offrir des espaces toujours plus importants que ceux prévus dans la commande. On a des envies communes, des rêves communs, et c’est dans le dialogue permanent qu’on sait qu’à la fin on est d’accord sur un sujet. En général, on n’a pas du tout la même approche au départ.

Ludwig Mies van der Rohe De cet architecte germano-américain qui a réinventé l'art du gratte-ciel, on a retenu quelques aphorismes un peu simples, dont le plus célèbre, less is more, est censé résumer une architecture dépouillée et minimaliste. Rien de moins simple pourtant que l'architecture de Ludwig Mies van der Rohe, attentive aux détails, aux matériaux, aux usages, à la fluidité des espaces, à, disait-il, une « structure claire ». Mies van der Rohe ne manque pas d'allure sur ces photographies américaines, alors qu'au sommet de sa gloire, il est occupé à remodeler Chicago où l'exil l'a mené.

Patrick Bouchain revient sur son parcours L'architecte Patrick Bouchain est au micro d'Arnaud Laporte pour un entretien au long cours, le temps de revenir sur une carrière monumentale, construite sur un artisanat engagé au service de grandes commandes publiques et une conception démocratique de l'architecture, résolument tournée vers les usagers de l'espace. Directeur technique d’Iggy Pop et des Rolling Stones dans les années 1970, professeur de dessin à l’école Camondo, assistant d’artistes comme Daniel Buren et Antoine Vitez, conseiller du ministre de la Culture Jack Lang, coordinateur d’événements culturels phares comme le réveillon de l'an 2000, et puis plus tard patron de l’agence d'architecture Construire... Patrick Bouchain a revêtu de nombreuses casquettes avant de s’avouer officiellement architecte, lui qui n'a jamais voulu adhéré à l’Ordre des architectes.

Marc Mimram : «La question constructive de l'architecture me paraît être au centre» - podcast.archi Architecte, ingénieur et titulaire d’un diplôme en philosophie, Marc Mimram se construit un parcours singulier à mi-chemin entre architecture et ingénierie, où la technique s'inscrit au service de la qualité et de la sensibilité du projet. De la passerelle sur le Rhin à Strasbourg-Kehl au pont Hassan II au Maroc, Marc Mimram est reconnu à travers le monde pour ses nombreux ponts et ouvrages d'art dont il raconte, à travers cet épisode, la dimension poétique. Certes son passage par l’École Nationale des Ponts et Chaussées a Paris fait de lui un ingénieur, mais la double culture qu’il développe au sein de son agence et sa volonté de décloisonner les disciplines l’amènent également à la conception de bâtiments, comme il se plaît à le rappeler au cours de la discussion. Attentif aux notions d’économie de projet et de matière, Marc Mimram partage enfin sa vision de l’avenir de la construction et du progrès, rappelant ainsi que la technologie peut être mise au service d’une certaine sobriété.

LE PLAISIR D’HABITER - Renée Gailhoustet En ces temps incertains de pandémie où le confinement s’impose, nos intérieurs prennent une place particulière dans nos vies et nous interrogent sur nos façons d’habiter. Nos lieux de vie correspondent-ils au mieux à nos besoins et nos aspirations ? N’y aurait-il pas d’autres solutions à leurs agencements ? Repenser l’habitat et la mobilité en ville pour les personnes âgées Comment aider les seniors à rester plus longtemps chez eux ? Alors que les 75/85 ans vont passer de 4 à 6 millions en 2030, un rapport formule des propositions pour adapter les logements au vieillissement. Mais aussi la mobilité en ville. De quoi s’agit-il ? C’est un rapport intitulé : « Nous vieillirons ensemble ». Rédigé par Luc Broussy spécialiste de l’économie des seniors.

Rudy Ricciotti en beauté ! Architecte du Mucem à Marseille, du Pavillon noir d’Aix en Provence, ou encore du camp de Rivesaltes, c’est aussi un homme de mots. "Le beau, le brut et les truands", passionnant dialogue avec Paul Chemetov, doyen de l’architecture contemporaine, vient de paraitre. Rudy Ricciotti est l'invité d'Augustin Trapenard. Homme de matériaux et de mots, de livres en livres, de bâtiments et bâtiments, il construit une vision singulière de l'architecture. Le beau, le brut et les truands, passionnant dialogue avec Paul Chemetov, doyen de l’architecture contemporaine, vient de paraitre chez textuel. L’occasion de revenir sur une vision, un vocabulaire et une vie dédiée à la construction. Quand la France aménageait le futur Sur son affiche électorale de 1981, François Mitterrand posait, fort et tranquille, devant l’image d’une France millénaire, la France des clochers. L’image, déjà mensongère dans ces années 80 balbutiantes, serait aujourd’hui impossible à publier autrement que pour les besoins d’une brochure touristique retouchée : les paysages français s’organisent désormais le long d’autoroutes, de nationales et de ronds-points, dans un grand système circulatoire qui dessert ici des zones commerciales, là des lotissements, ailleurs, des banlieues hérissées de grands ensembles. « La France moche » a dit un jour Télérama, celle de l’étalement urbain sans fin ni forme. Peut-être pas, mais une France passée au crible de 70 années de bulldozers, de tentatives heureuses ou ratées et d’une certaine idée de la modernité, c’est certain.

Alain Damasio (1/3) Bookmakers #12 - L’écrivain du mois : Alain DamasioNé à Lyon en 1969 sous le nom d’Alain Raymond, ce fils d’un carrossier et d’une professeure d’anglais rêvait, adolescent, « de changer la société ». Mais sa timidité l’empêche de s’engager pleinement dans les cercles militants. Alors pour exprimer sa « rage », ce lecteur compulsif de philosophie (Nietzsche, Foucault, Deleuze) va se brancher avec intensité sur un champ d’expression qu’il ne pratique quasiment jamais dans ses lectures : le roman, pour sa capacité à actionner « du désir, de la joie » et de nouveaux affects pour des luttes fertiles.Il en écrira seulement trois en vingt ans, disponibles au catalogue d’une maison indépendante, La Volte : « La Zone du Dehors » (1999), « La Horde du Contrevent » (2004) et « Les Furtifs » (2019). En partenariat avec Babelio.

L'homme et sa maison Le bien le plus "tendance" c'est la maison. Même la maison de famille, qu'il y a quelques années on abandonnait car trop difficile à entretenir et à partager, connait aujourd'hui un regain. -La pandémie a contribué à une hausse assez générale des prix de l'immobilier. Où mènent les ronds-points ? Avec nos partenaires, nous traitons vos données pour les finalités suivantes : le fonctionnement du site, la mesure d'audience et web analyse, la personnalisation, la publicité et le ciblage, les publicités et contenus personnalisés, la mesure de performance des publicités et du contenu, le développement de produit, l'activation des fonctionnalités des réseaux sociaux. Vos préférences seront conservées pendant une durée de 6 mois.

Faut-il quitter les grandes villes ? Depuis la pandémie, les villes moyennes ont la cote, et surtout celles sur les côtes. Alors faut-il quitter les grandes villes et s’installer ailleurs ? Saint Nazaire, Montélimar, Valence, autant de villes moyennes qui attirent de plus en plus d’habitants, quasiment 1% d’augmentation chaque année. Trop bruyantes, trop polluées, trop peuplées, et surtout trop chères, les grandes agglomérations n’ont plus la côte. De New York à Tokyo : les métropoles prennent l’eau - Ép. 1/4 - Dérèglement climatique : vivre avec les catastrophes Début septembre, New York et ses 8 millions d’habitants ont été touchés de plein fouet par l’ouragan Ida. Des pluies torrentielles ont inondé la ville et causé la mort d’une quarantaine de personnes. Cette catastrophe ravive le douloureux souvenir de l’ouragan Sandy qui avait touché le New Jersey en 2012, faisant alors 210 morts et provoquant plus de 50 milliards de dollars de dommages. Ce nouvel événement pose la question des capacités d’adaptation de New York à la montée des eaux, ainsi qu’aux phénomènes climatiques extrêmes qui semblent se multiplier du fait du réchauffement climatique. En effet, après Sandy, une large réflexion avait été engagée sur le sens à donner à la reconstruction de la ville.

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