le bibliomane moderne Le monde de l'édition, 2003-2005 Avant-propos : le circuit du livre en France : Au départ de la chaîne du livre, en France, nous trouvons l’éditeur. Il lui revient la tâche de déterminer quels sont les textes qu’il souhaite publier dans le cadre de ses collections, de les mettre en forme avec les outils de publication assistés par ordinateur, de procéder à leur correction. De manière générale, l’éditeur n’imprime plus les textes qu’il souhaite publier. Il fait appel pour cela à un imprimeur. Une fois la fabrication du livre achevée, l’éditeur confie de manière générale la « promotion » de son livre à son diffuseur. Une fois les commandes établies par les libraires ou les responsables de secteur des grandes enseignes, il revient au distributeur d’acheminer les livres. En dernier lieu, nous trouvons le point de vente du livre, celui qui nous permet de l’acheter : il peut s’agir d’une grande surface ou d’une librairie de quartier. 2002 - 2005 : la fin d’une époque : L’onction fut donnée.
Economy: Le Point – Actualité Politique, Monde, France, Économie, High-Tech, Culture The Transcendentalists - including Ralph Waldo Emerson - Henry David Thoreau - Others - Dial Magazine Revoir la rémunération des écrivains impliqués dans leur promo - Actualitté - Une page de caractère On peut parler des heures durant du prix des livres numériques, et comme Sony ou d'autres, le trouver trop élevé, une réalité reste : il faut rémunérer les auteurs. Ainsi que le constate MJ Rose, auteure de plusieurs romans à succès, les temps ont changé. Force est de constater que la mutation de l'industrie est plus profonde encore dans le secteur du marketing, estime-t-elle. L'implication de l'auteur : salutaire Et quel éditeur montrerait les crocs quand son auteur lui propose de participer à la publicité autour du livre ? Sauf que l'écrivain n'est pas plus rémunéré pour cet effort de promotion de son livre et ne percevra toujours que ses droits d'auteurs. « Il n'existe aucune reconnaissance pour les chèques que nous effectuions de notre poche pour assurer le marketing ou les relations presse », pointe Rose. VRP de son propre livre ? L'auteur, primé à l'intéressement des ventes, selon ses succès marketing... Les temps ont changé. Sources : Publishing Perspectives , , , ,
Language: Académie française Group: "I See Dead People's Books" A group for those interested and involved in entering the personal libraries of famous readers into LibraryThing as Legacy Libraries. For discussions of the libraries of those still among the living, head on over to the "Other Peoples' Libraries" group. Browse, search, and augment Legacy Library data via the Legacy Libraries page. If you'd like to join a Legacy project already underway, please use the contact information listed here, or contact jbd1. If you'd like to start a new Legacy project, visit the Cataloging Guide and learn how to get started. Questions? Total members: 589 members Loading...
Bits Of Destruction Hit the Book Publishing Business "Bits of destruction" is a phrase Fred Wilson uses to describe the destructive part of "creative destruction" brought on by digitization. We hear a lot about the destruction wrought on the newspaper business. A more interesting and nuanced wave is now hitting the book publishing business. Actually, it is three waves: the digitization of back catalogs, e-books, and print on demand. However this plays out, a lot of people will be affected, but the way in which it will play out is not at all obvious. Somewhere Between Author and Reader Is Multi-Billion Dollar Market Data on market size is hard to come by. An author writes a book, and you read it. Find an agent, who takes a cut and finds a... Courtesy of iReaderReview, we have created a very simplistic view of how the pie is currently divided: Author: 10% (This in fact ranges between 8% and 15%, depending on the author's clout -- e.g. Enter the Dragon: Amazon During all of these bruising battles, the publishers did just fine. Wave #2: E-Books
Alfred de Musset, immortel... L’internet des objets n’est pas celui que vous croyez ! - Technologies - Le Monde.fr Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Daniel Kaplan L’”internet des objets” (internet of things), ne mérite pas son nom, explique Daniel Kaplan, délégué général de la Fondation internet nouvelle génération (Fing). D’une part, parce que la mise en réseau des objets se réalise aujourd’hui en silos – applications, services, organisations –, ce qui n’a rien à voir avec l’interconnexion généralisée qu’incarne l’idée d’inter-réseau. Ensuite, parce qu’au contraire de l’internet depuis son origine, il ne porte en général aucune vision transformatrice. Mais peut-on imaginer de porter le fer de l’internet au cœur du système des objets, du système industriel ? Comment, et pourquoi faire ? L’objet internet Le 30 juin 2008, la justice française tranchait en faveur de LVMH dans son conflit avec eBay. Ce second motif nous intéresse beaucoup. Un objet de l’internet, en quelque sorte. La confusion des mots Le sac Vuitton apparaît alors comme une incarnation possible de l’”internet des objets”.
Poezibao