background preloader

Quand vous ne voyez pas le service, c’est que vous êtes le produit !

Quand vous ne voyez pas le service, c’est que vous êtes le produit !
La lecture de la semaine, il s’agit d’un article de l’hebdomadaire américain The Nation, il est signé par Ari Melber, journaliste et spécialiste des réseaux sociaux, il s’intitule “Le secret de la valorisation de Facebook”. L’occasion de revenir sur un événement largement commenté et dont nous avions dit quelques mots ici même. “Une chose manque dans tous les commentaires au sujet de la valorisation boursière de Facebook”, commence Ari Balmer. “Tout le monde sait à quel point l’entreprise est populaire, avec ses 845 millions d’utilisateurs, et à quel point elle marche bien, avec une valorisation potentielle à 100 milliards de dollars (soit 5 fois celle de Google quand il fut introduit en Bourse en 2004). Mais qu’est-ce qui fait vraiment de Facebook une entreprise aussi rentable ?” C’est vous, répond-il. Image : Mark Zuckerberg nous dit merci ! Le mot “volontaire” est, selon Melber, une façon plutôt gentille de voir les choses. Xavier de la Porte

Numérique - Article - Les nouveaux réseaux sociaux qui montent Difficile de passer à côté du phénomène Pinterest, le « tableau de liège numérique ». Non pas parce qu’il est nouveau - il a été lancé en mars 2010 - mais parce qu’il est devenu à la fin de l’année 2011 l’un des dix réseaux sociaux les plus importants. On dénombre ainsi un petit nombre de réseaux sociaux dont la popularité augmente fortement, jusqu’à les hisser à la hauteur des « historiques» Facebook ou Twitter. Comme Twitter avant eux, ces nouveaux réseaux sociaux se distinguent par une croissance impressionnante et rapide. Ainsi Tumblr repose sur la publication simple de photos, vidéos et textes sur un blog dont on peut choisir ou personnaliser l’apparence. Des pages thématiques ont également fait leur apparition, en accord avec la mode de la curation, telles que Mode ou News. Pinterest, est également adepte des records, puisqu’il a atteint les 11,7 millions de visiteurs US en février 2012, ce qui en fait le premier site à passer si rapidement la barre des 10 millions de visiteurs.

The Curious Case of Social Buttons in E-commerce Shopping search technology company, The Find, shared some research into the implementation of social buttons on e-commerce sites exclusively with SEW. The study found that social recommendation buttons were more popular than simple sharing plugins. Of those, the Facebook 'Like' button was the most popular of all, closely followed by Twitter's 'Tweet' button, and adoption of Pinterest's 'Pin it' button is growing at the fastest rate. The Find conducted the study of all the product pages among the Top 1000 internet retailers in order to to get a clearer picture of how far e-commerce companies are embracing social commerce and personalization. What The Find Found Whilst the results are unsurprising to the web savvy, there are some revealing differences in implementation. In short, the market for buttons is getting smaller, whilst the space they take up on product pages is getting larger. A Key Discovery from The Find’s Crawler Verbing the Web Social Buttons Do Battle for Real Estate

Big Data, grande illusion La cause serait entendue : après le cloud computing et l’internet des objets, les « big data » constitueraient la prochaine « révolution » apportée par le numérique. Alan Mitchell, cofondateur et directeur de la stratégie du cabinet britannique Ctrl-Shift, n’est pas d’accord. Pour lui, les Big Data auraient presque un côté contre-révolutionnaire : le chant du cygne d’une informatique productiviste, centralisatrice, centrée sur les grandes organisations. « Les Big Data se fondent entièrement sur la statistique : dégager des schémas et des tendances à partir de grandes collections de données. La statistique fournit une manière extraordinairement puissante et utile de remettre en questions les suppositions et les inférences que les cerveaux humains produisent naturellement – et souvent de manière erronée. Mitchell ne conteste pas l’utilité des Big Data, il en conteste la nouveauté et le degré de priorité dans les agendas de recherche et d’investissement. Et pourquoi pas ? Daniel Kaplan

Évasion fiscale : Facebook France entasse ses bénéfices aux îles Caïmans Les millions d'utilisateurs, oui, les millions d'euros d'impôts, non. La philosophie fiscale de Facebook est simple, et n'a rien à envier en efficacité à celle des autres géants d'Internet comme Apple, Microsoft ou Google. C'est ce que montre BFMTV en révélant que Facebook n'a payé que 191.133 euros d'impôt sur les bénéfices en France en 2012, alors que son chiffre d'affaires réel "peut être estimé à environ 300 millions en 2012 en se basant sur le nombre d'inscrits au réseau en France (28 millions)". En 2011, son CA aurait été de 150 millions d'euros, selon le cabinet Greenwich (PDF), d'après le poids du réseau social sur le marché publicitaire. Passage par l'Irlande et mille-feuille de holdings, des classiques Montage traditionnel "d'optimisation fiscale", la filiale française déclare un chiffre d'affaires epsilonesque (7,6 millions d'euros) en se présentant comme fournisseur de services marketing.

Ces algorithmes qui nous divisent Nokia releases, « Nokia ST Screen icons ». Un algorithme est un calcul qui prend en compte toutes les étapes qui permettent d’arriver à un résultat; ces différentes étapes sont donc tout aussi importantes que le résultat lui-même. De plus en plus de sites Internet se mettent à utiliser des algorithmes afin d’optimiser leur utilisation par les internautes, en proposant à ces derniers une expérience de navigation personnalisée. Par exemple, lorsque vous consultez la fiche d’un livre ou d’un disque sur le site d’Amazon et que vous voyez la rubrique “Ceux qui ont acheté ce livre ont également acheté:”, il s’agit du travail de l’algorithme mis en place par Amazon afin de proposer à chaque internaute des “suggestions” qui se rapprochent de ses goûts. Ces contenus qui nous ressemblent. Le problème qui se pose alors est celui de la stimulation; en effet, chaque individu a tendance à consommer le contenu qui stimule son esprit et ses sens. 1 Eli Pariser, The Filter bubble, Penguin Press, 2011.

Quels obstacles aux modèles payants sur Internet ? Des représentants d'Aujourdhui.com, Mediapart, Meetic et Wengo ont témoigné de leur expérience dans le cadre de la conférence "Internet payant" organisée par CCM Benchmark. Comment mettre en place un modèle payant sur Internet, fidéliser l'internaute et promouvoir ses offres ? Au cours de la conférence "Internet payant" organisée le 20 mars par CCM Benchmark (éditeur du JDN), tous s'accordaient à dire que c'est bien la qualité du contenu et du service qui prime, même si certains obstacles, comme la date d'expiration d'une carte bleue, tendent à compliquer la fidélisation des internautes. "Pour y répondre, nous avons mis en place un système de prélèvement automatiques grâce aux RIB", indique Hélène Fromen, directrice exécutive de Mediapart. Chez Meetic et Wengo, qui vend sur Internet des conseils d'experts par téléphone, c'est le levier de la recommandation sur les réseaux sociaux qu'il est difficile de s'approprier.

“Big Data” « Search Results Où est le bouton « J'aime pas » Facebook Répondons sans attendre à la question du titre. Vous trouverez la version française du bouton « J’aime pas » Facebook, ci-dessous, sur le Framablog ! Explications… Il aurait pu faire comme Le Monde et désigner Julian Assange mais non, le célèbre hebdomadaire américain Time Magazine a choisi le fondateur de Facebook Mark Zuckerberg comme Personnalité de l’année 2010. Et cette décision est restée un peu en travers de la gorge de la Free Software Foundation, qui du coup vous propose une contre-offensive en détournant ce pernicieux espion traceur que représente le bouton Facebook « J’aime », qui pullule déjà sur d’aussi naïfs que nombreux sites. Bouton que notre ami Poupoul2 s’est fait un plaisir d’adapter à notre langue et que vous trouverez en pièce-jointe (au format .SVG) à la fin de la traduction du billet de la FSF expliquant et justifiant cette action. À partager et diffuser sans modération si affinités dans la démarche. Mark Zuckerberg, personnalité de l’année selon TIME Magazine ?

Qu’est-ce que l’identité numérique ? Je ne suis pas le premier à tenter de vulgariser le concept d’identité numérique, Leafar (Raphaël pour les intimes) a ainsi déjà proposé une représentation de l’identité numérique (voir son billet : U.lik unleash Identity 0.2), j’avais également déjà abordé la question dans un précédent billet. Je souhaite avec cet article compléter cette vision et y apporter ma touche personnelle. Les utilisateurs au coeur du web 2.0 Avec la prolifération des blogs et wikis, la multiplication des réseaux sociaux et l’explosion du trafic sur les plateformes d’échanges, les contenus générés par les utilisateurs prennent une place toujours plus importante dans notre consommation quotidienne de l’internet. Tous ces contenus laissent des traces sur les sites qui les hébergent et dans les index des moteurs de recherche, ils sont également systématiquement rattachés à un auteur. De la volatilité de l’identité numérique Les différentes facettes de l’identité numérique

Comportement du consommateur : les zones de profit inexplorées pour les e-commerçants Retour sur l’un des aspects fondamentaux de d’une étude de Forrester qui peut servir également à des pure-players ecommerce : les zones d’optimisation potentielle sur des actions rarement explorées ou qui sont peu évoquées par les managers. Article rédigé par Genaro Bardy aka Naro, Consultant Spécialisé en Conseil Editorial & Nouveaux Médias. Son Blog : Narominded.com / Suivez-le sur Twitter : @Naro La dernière étude Forrester sur les pratiques de E-Commerce des grandes chaines de distribution est une mine d’information. Nous abordons ici l’un des aspects fondamentaux de cette étude qui peut servir également à des pure-players ecommerce : les zones d’optimisation potentielle sur des actions rarement explorées ou qui sont peu évoquées par les managers. Le consommateur est plus sophistiqué Sans rentrer dans tous les détails de cette étude, résumons quelques concepts essentiels qui serviront notre propos aujourd’hui : Les stratégies de croissance ne reçoivent pas le même écho dans les médias

Nous faudra-t-il payer pour préserver notre vie privée ? - Blogs InternetActu.net “Dans le business de la publication, les lecteurs sont les produits et les consommateurs sont les publicitaires”, affirme Dave Winer, paraphrasant une citation célèbre : “Si vous ne voyez pas le produit, c’est que vous êtes le produit”. La bulle des données Path, Facebook, Twitter, Foursquare, Instagram, Foodspotting, Yelp, Gowalla et tant d’autresrécupèrent les numéros de téléphone de nos contacts et leurs adresses e-mail sur leurs serveurs pour faciliter les appariements, bien souvent sans même en demander la permission ou en informer les utilisateurs. thfilterbubblepariser Image : Nous sommes cernés par les bulles de données, expliquait Eli Pariser lors de sa présentation à TED (vidéo). “Le crash des années 2000 n’avait rien à voir avec la technologie” rappelle-t-il. “Ne sommes-nous pas à nouveau dans une bulle spéculative autour de la valorisation des données personnelles de l’utilisateur ?” “Or, le plus souvent, beaucoup d’entreprises ne savent pas quoi faire de ces données”.

Facebook, origines troubles et liaisons dangereuses... 01net. le 10/04/12 à 18h55 Hier, 9 avril 2012, Facebook annonçait le plus gros rachat de son histoire en faisant l’acquisition d’Instagram pour 1 milliard de dollars. Un investissement assez vertigineux, qui place officiellement la société dans la catégorie des ténors du Web dotés de moyens considérables. Aussi nous semble-t-il pertinent d’essayer de dresser le portrait, en clair obscur et certes parcellaire, de l’origine de ce réseau social qui compte plus de 845 millions d’utilisateurs. Une histoire fantasmée Malgré plusieurs livres et un film consacré à la genèse de Facebook, les origines de la société n’en finissent pas de faire fantasmer la Toile. Page d'accueil du site Web de Palantir. Palantir, un acteur discret mais capital... Co-fondée en 2004, entre autres, par Peter Thiel et le Dr. Des outils souvent décrits comme essentiels par de nombreuses agences gouvernementales américaines, afin d’exploiter des données prélevées de manière douteuse et même illégale par HBGary.

Du Web personnalisé au Web personnel C'est la nouvelle sensation Internet du moment. Le site Pinterest propose aux internautes de collectionner des images en ligne autour de thématiques (recettes, mode, déco et design, voitures, bricolage...) qui les intéressent.En France comme outre-Atlantique, les médias se passionnent pour ce service qui n'a pas attendu d'avoir leur attention pour séduire des millions d'utilisateurs en deux ans. Il représente une nouvelle génération de services communautaires centrés sur les intérêts des utilisateurs, susceptibles de bousculer quelque peu la domination de Google sur l'accès au Web. En effet, les réseaux sociaux comme Pinterest, qu'on peut nommer "réseaux d'intérêts", participent d'un besoin croissant de placer des filtres sur la Toile. L'expérience Web est ainsi encore plus personnalisée. Voir prospérer ces réseaux d'intérêts est une évolution qui semble assez logique, à l'heure où Facebook fédère un internaute sur deux et sert d'identité numérique sur un nombre croissant de sites. 1.

Bankiwi : une tirelire en ligne Bankiwi est un service en ligne, pour l’instant en version bêta, qui propose aux jeunes de gérer leur argent de poche. Une tirelire petit cochon c’est bien, mais ça ne permet pas de faire des achats sur Internet, de ce fait, les créateurs de Bankiwi ont eu l’idée d’offrir un service permettant aux parents d’alimenter le compte de leur enfant, en toute sécurité. Parmi les actionnaires de ce service, on retrouve notamment Xavier Niel, le PDG de chez Free. Les besoins des jeunes sont ciblés, le titulaire d’un compte pourra effectuer des achats uniquement sur les divers sites partenaires comme Pixmania, iTunes, la Fnac, Kiabi, PriceMinister, Nature et découvertes, Facebook, de manière sécurisé et auront accès à un suivi détaillé de leurs dépenses.

InternetActu examine ici comment Facebook (et par extension une partie des réseaux sociaux) fondent leur futur modèle économique sur la collecte et l’exploitation de nos données personnelles. Cet article prend donc du recul par rapport à la problématique de la protection des données personnelles pour analyser les buts et les enjeux des entreprises derrière. Pour cela, il montre que la vraie valeur de la plateforme sociale n’a rien à voir avec son bilan social. Enfin, il étudie comment Facebook se dirige subtilement vers son nouveau modèle économique. by ewiest Dec 1

Related: