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Nicolas Sarkozy

Pourquoi je ne voterai pas Sarkozy en 2012 Analyse du discours présidentiel du 27 octobre 2011 Voici en septs points le décryptage du discours de jeudi soir : 1. "Accepter la Grèce dans l'euro a été une erreur" Voila un des principes majeurs de l'inutilité de CETTE politique européenne. Lorsqu'on décide de construire un ensemble cohérent de peuple et donc un destin commun , il ne faut pas seulement le faire à l'aune du profit et de la dés-harmonisation fiscale. Les européens ont voté oui à Maastricht en 1991 , mais non à Rome en 2005 ! 2. "Quand en 1983, on a expliqué aux Français qu'on pouvait passer à la retraite à 60 ans, les Allemands, eux, faisaient l'inverse (...) et quand en France, on a fait les 35 heures, M. 3. "les bonus et les rémunérations des traders rentrent enfin dans des pratiques normales" d'ici à l'été 2012. 4. Il y a une "différence" entre ces deux concepts, en référence aux plans de rigueur avec réduction des dépenses publiques dans d'autres pays. La réciprocité n'a aucun sens. 6 Il faudra "6 à 8 milliards d'économies" supplémentaires en 2012 7. Boris Rannou.

On a frolé la catastrophe On va pouvoir fêter ça mais avant je tiens à m'excuser devant vous d'avoir annoncer il y a deux jours la grande catastrophe, elle n'est heureusement pas arrivée, je remercie notre président héroïque ainsi qu'Angela d'avoir sauvé le monde. Il m'arrive de me tromper, là, je suis carrément à coté de la plaque, ils ont sauvé l'humanité entière en une nuit. J'ai compris aussi que si la France doit se relever de sa médiocrité, c'est qu'elle doit réparer les choix et les erreurs historiques que ces précédents gouvernements ont fait, les ignobles 35h de feignasses et la retraite à 60 ans de branle-manettes. Oui, notre bon président nous a soulagé hier soir, lui et ses deux amis proches qui l'interviewaient nous ont permis de souffler et d’espérer des jours meilleurs. Ainsi j'ai appris que je devais travailler mieux et non pas plus, comme les allemands l'avaient déjà pigés. Bastille n. f. Battant n. m. Bus n. m. Blum (Léon) (Paris, 1872 – Jouy-en-Josas, 1950). Décérébrer v. tr. Domestique n.

Le buzzer, c'est pas lui ! Ayant bien mieux à faire hier soir, je n’ai pas regardé la fameuse émission où le Grand Sauveur de l’Europe (et du monde, soyons magnanime) se proposait, en toute simplicité, d’expliquer à son peuple un peu ignare comment il était parvenu à un tel résultat. Je ne peux donc objectivement rien en dire, mais comme je suis directement concerné, comme tout citoyen contribuable, j’ai cherché dans la blogosphère, les réactions et commentaires de cette grande messe. Alors, si j’ai bien tous compris, Toto 1er, qui avait prit grand soin de choisir des journalistes de terrain, pugnaces juste ce qu’il faut pour montrer qu’il ne se laisse pas démonter aussi facilement, n’a même pas cherché à défendre son bilan, mais a attaqué ceux de ses prédécesseurs… Je trouve personnellement que c’est petit comme attitude. Une chose est sure, ce n’est pas lui qui a arrêté UVB 76, cet émetteur russe en ondes courtes qui produit un signal depuis 1982, et qui s’est brusquement tu cet été.

A qui la faute ? Hier j'ai regardé le sketch du président, c'était d'un beau ! Je me demande qui a écrit les dialogues, il mériterait un prix littéraire d'autant que c'est la saison... " (...) c'est la faute aux 35 heures ! Ah on a eu aussi une petite phrase à broder sur les taies d'oreiller : " le pouvoir de nuisance de la rue ", bon en fait il parle du droit de manifester du peuple, comme la fois où nous étions des millions dans les rues, croyant bêtement que nous étions en démocratie, que nous avions notre mot à dire...C'est drôle comme chez nous manifester dans les rues est un pouvoir de nuisance et comme chez les libyens c'est un acte de courage, qui mérite l'envoi pendant des mois durant de nos avions et de nos bombes pour libérer le peuple afin qu'il puisse vivre selon la charia...c'est dur à suivre, hein ? Ah, oui on a eu aussi un truc du genre " je ne fais pas campagne, moi môsieur Calvi, je travaille, je fais mon devoir ! Et oh !

Intervention télévisée de Nicolas Sarkozy : Calvi et Pernaut se sont fait piéger L’intervention télévisée de Nicolas Sarkozy jeudi soir a révélé un syndrome français : il n’y a pas de culture de l’indépendance des journalistes, ni de dispositifs qui permettraient vraiment un travail journalistique poussé lors d’une émission de télévision mettant en scène le président de la République. Nicolas Sarkozy lors de son intervention télévisée le 27 octobre 2011 interviewé par Y. Calvi et Jean-Pierre Pernaut (TF1/AFP) Ce n'était pas le cas jeudi soir, mais les dispositifs font de plus en plus intervenir un public, notamment avec Jacques Chirac puis au moment de la présidentielle 2007 et en janvier 2010 - et déjà présenté par Jean Pierre Pernaut - dans "Paroles de Français". En France, les relations entre le président de la République et les médias ne correspondent pas à ce que l’on peut attendre de démocraties modernes, c’est particulièrement frappant à la télévision. Historiquement, les présidents ont déjà été interrogés par des journalistes qu’ils avaient choisis.

Superman Returns II (version remasterisée) Cher(e)s lectrices et chers lecteurs, Comme annoncé je n'ai pas regardé le dernier Superman diffusé hier soir simultanément sur TF1 et France 2 car à vrai dire, j'avais bien autre chose à faire. Si j'en crois la presse et lescopainsblogueurs Superman n'est plus le super héros qu'il a été, décidément tout fout le camp ! Et pourtant il est vraiment très fort hein ? Rendez-vous compte : Il a sauvé les infirmières bulgares;Il a sauvé des otages au Tchad (Arche de Zoé); Il a sauvé Ingrid Bettencourt;Il a sauvé la Géorgie Il a sauvé la Cote d'Ivoire;Il a sauvé l'Afghanistan;Il a sauvé la Libye;Il vient de sauver la GrèceIl a sauvé l'EuropeIl a sauvé l'Euro Bref, le super-héros sauveur du MONDE c'est bien lui, assurément ! Mais voilà il ne peut pas tout faire surtout quand le mal est présent partout et que de dangereux personnages ont accordé dans le passé la retraite à 60 ans en 1983 et les 35 heures en 1997, causes de tous les maux et du malheur de la France et de Français :

Les 7 vérités du #Sarkoshow | Yes They Can Ce qu’il faut retenir selon Yes They Can du #Sarkoshow – comme l’ont vite surnommé les Twittos – c’est-à-dire de l’intervention télévisée de Nicolas Sarkozy jeudi soir sur TF1 et France 2. 1) Une forme archaïque. Il faut le dire, la forme inventée par Jacques Pilhan pour François Mitterrand dans les années 1980 : des journalistes choisis pour leur complémentarité qui interrogent le président dans un décor élyséen, en direct devant les caméras, a vécu. Le dispositif semblait factice, les questions et les réponses apprises par coeur. Pour une émission de « pédagogie », il fallait un lien avec le téléspectateur, un « naïf » qui puisse poser des questions supposées « de base » et permette à chacun de s’identifier. C’était le rôle de Jean-Pierre Pernault. 2) Un adversaire omniprésent. 3) Un manque d’empathie. 4) Des arguments datés. 5) Une prise de risque. 6) Une ligne de fracture avec le FN. 7) Tout ce que nous venons de dire est-il si grave pour Sarkory ? Mise à jour du 31 octobre 2011.

Sarkozy, Pernaut et Calvi : une interview de rêve… Soudain, Jean-Pierre Pernaut se redresse, et dans un sursaut de dignité professionnelle, interpelle Nicolas Sarkozy : « Monsieur le Président, faudrait pas nous prendre pour des caves. Si l’affaire Karachi n’a encore rien donné, dix-sept ans après, c’est en raison des multiples obstacles sur le chemin de la Justice : secret-défense, et lenteur du procureur, votre ami, dans la saisine d’un juge d’instruction sur le volet financier. Et puis, arrêtez de nous raconter des histoires. Pernaut s’est empourpré. Soyons magnanime (une minute) : il n’est jamais simple d’interviewer un président de la République. Sarkozy fait l’apologie des agences de notation devant lesquelles nous n’aurions qu’à nous soumettre ; il se glorifie des taux d’intérêt avec lesquels la France emprunte sur les marchés (mieux que l’Italie, l’Espagne ou la Grèce, mais tout de même, moins bien que l’Allemagne)…Nos confrères avalent la couleuvre.

A la convention de l'UMP, petites erreurs et grosses exagérations sur le projet du PS Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Samuel Laurent, Alexandre Léchenet et Jonathan Parienté Jean-François Copé avait promis une convention en forme de riposte argumentée à la primaire socialiste, "sans caricature". Perturbée par la réussite de l'exercice de son élection interne par le PS, l'UMP avait décidé de l'organisation d'une convention en forme d'émission télévisée de deux heures, au cours de laquelle le parti présidentiel s'est livré à une "estimation chiffrée parfaitement démontrée des principales propositions" du PS, sans "caricature" ni "exagération". Tout au long de la convention UMP, un compteur rappelant celui du Téléthon, mais destiné à matérialiser les hausses de dépenses socialistes, n'a cessé de grimper. Voici quelques erreurs factuelles, imprécisions et exagérations relevées durant cet exercice de reconquête lancé par le parti majoritaire. Le projet socialiste est pris comme bloc alors qu'il est envisagé comme un socle. Retraites : un chiffre mystérieux. Premièrement, M.

Désintox, le blog Dans son message introductif, mardi, Jean-François Copé avait promis une analyse «sans caricature»: «Il y a une exigence, que demandent tous les jours les Français : c'est de dire la vérité. La vérité sur les faits, les chiffres, et les enjeux.» Les deux heures de cette convention UMP intitulée «Le projet socialiste à la loupe: le grand malentendu» ont pourtant pris un certain nombre de libertés avec la vérité et la précision, au fil des interventions de deux minutes de ministres et de députés. Exagérant un certain nombre de chiffres, les intervenants ont également enrichi le projet du PS de mesures n'y figurant pas, et attribué au vainqueur de la primaire François Hollande des propositions émanant d'autres candidats... Florilège des plus beaux bobards, dans l'ordre des interventions. «On sait très bien que la grande majorité de ces emplois jeunes, d’avenir, appelons les comme on veut, repartent au chômage...» La droite s’est toujours fait un plaisir de cogner sur les emplois jeunes.

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