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Présentation du projet

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Réseau et pseudopodes Le CNES, en partenariat avec le CNRS et avec le soutien de l’académie de Toulouse, a proposé à 4500 établissements scolaires de primaire, collège et lycée de participer à une expérience éducative originale, basée sur l’étude du comportement du Physarum polycephalum, ou blob. Cette expérience a également été menée par Thomas Pesquet à bord de l’ISS, lors de sa mission Alpha. Ni plante, ni animal, ni champignon L’expérience éducative proposée par le CNES, en partenariat avec le CNRS et avec le soutien de l’académie de Toulouse, consistait à envoyer un blob à bord de l'ISS et à inviter les classes à mener la même expérience que celle menée en micropesanteur. Plus connu sous son nom usuel « blob », le Physarum polycephalum n’est ni une plante, ni un animal, ni un champignon. L'effet de la micropesanteur sur le comportement du blob Pour répondre à ces questions, l’ISS a accueilli ce locataire un peu particulier : plusieurs blobs ont rejoint la station pendant l'été. Informations pratiques

#EleveTonBlob : l'expérience éducative du CNE Ni plante, ni animal , ni champignon L’expérience éducative proposée par le CNES, en partenariat avec le CNRS et avec le soutien de l’académie de Toulouse, consiste à envoyer un blob à bord de l'ISS et à inviter les classes à mener la même expérience que celle qui sera menée en micropesanteur. Pour ce faire, ils recevront de la part du CNES, fin août/début septembre, un kit comprenant 3 à 5 blobs (souche identique à celle envoyée dans l’ISS), ainsi que du papier filtre. Plus connu sous son nom usuel « blob », le Physarum polycephalum n’est ni une plante, ni un animal, ni un champignon. Cet organisme monocellulaire dépourvu de cerveau est capable de se déplacer, de se nourrir, de s’organiser et même de transmettre ses apprentissages à un congénère. Ses capacités d’apprentissage font l’objet de recherches dans le laboratoire d’Audrey Dussutour, Directrice de recherche CNRS au Centre de recherches sur la cognition animale (CRCA ; CNRS/Université Toulouse III – Paul Sabatier).

Les métiers et l'emploi dans la recherche Les cellules grises en action... ou en équipe L’emploi scientifique regroupe l’ensemble des personnes travaillant directement sur des projets de recherche et de développement (enseignants-chercheurs, chercheurs, ingénieurs, doctorants, techniciens...) dans le secteur public ou privé. En 2018, près de 630 400 personnes participent à l’activité de recherche en France, dont deux tiers sont des chercheurs et l'autre tiers des personnels de soutien à la recherche. Les chercheurs lancent et pilotent des projets. Fondamentale ou appliquée dans le secteur public... 38% de l’emploi scientifique se situe dans le secteur public (établissements publics, universités et établissements d’enseignement supérieur, CHU…). Dans le secteur public, les chercheurs sont des fonctionnaires (directeurs de recherche, professeurs des universités, chargés de recherche, maîtres de conférence) recrutés sur concours. Un grand nombre de projets font collaborer les laboratoires de recherche publics et privés.

L'intérieur de la boîte Thomas Pesquet a enregistré il y a quelques jours un message d'encouragements destiné aux enseignants et élèves engagés dans l’expérience éducative #ElèveTonBlob. Bonne rentrée à tous ! A bord de l'ISS : top départ pour l'hydratation des blobs Ce jeudi 2 septembre 2021, les ingénieurs du CADMOS, représentants du service Education Jeunesse du CNES et Audrey Dussutour (CNRS) ont pu suivre avec une certaine émotion les gestes effectués par Thomas Pesquet. L'expérience Blob est un peu particulière : pour ces opérations, le CADMOS a passé le relai à BIOTESC, un centre d'opérations situé à Lucerne en Suisse, spécialisé dans les recherches en sciences de la vie et notamment en charge des expériences éducatives pour les astronautes de l'Agence spatiale européenne (ESA). Cette première phase de l'expérience Blob-ISS s'est déroulé en plusieurs étapes pour Thomas Pesquet : Audrey Dussutour, directrice de recherche au CNRS et spécialiste du blob, témoigne : Vous souhaitez multiplier vos sclérotes ?

Le blob dans les classes et dans l’espace Faire des expériences en classe sur une moisissure, ça vous tente ? Et si nous le présentons ainsi : voir grandir et se nourrir un être étrange aux propriétés impressionnantes, et comparer vos observations avec les résultats obtenus par l’astronaute français Thomas Pesquet à bord de la station spatiale internationale. C’est mieux ? C’est ce que propose l’agence spatiale française (le CNES), en collaboration avec le CNRS, à quelque 2000 classes de niveau primaire, collège ou lycée lors de la prochaine rentrée scolaire 2021-2022. Les inscriptions sont ouvertes. Jaune, gluant et social, le blob n’est ni un animal, ni un végétal. Les mêmes expériences sur Terre et dans l’espace « Le service Éducation Jeunesse du CNES a vu le potentiel du blob, dont l’élevage est facile, pour des actions éducatives », relate Audrey Dussutour.

Les personnels de la recherche Plus de 176 000 personnes dans la recherche publique dont 115 308 chercheurs La recherche publique est menée principalement au sein : des universités et d'une centaine de grandes écoles et établissements d'enseignement supérieur ;de 26 organismes publics de recherche (C.N.R.S., INSERM, INRA, INRIA, CNES, C.E.A., CNES, IFREMER, etc.) ;de 25 regroupements universitaires et scientifiques dont 8 COMUE (communautés d'universités et établissements) ;des fondations privées (instituts Pasteur et Curie) ;des fondations universitaires et des fondations de coopération scientifique ;de 37 instituts Carnot ;de 71 pôles de compétitivité. Au total, on compte plus de 176 000 personnes dans la recherche publique, dont 115 308 chercheurs (source EESR 2020). Les personnels des EPIC ainsi que ceux des fondations, sont régis par le droit du travail. Les métiers de l'enseignement supérieur et de la recherche Doctorant Le titulaire d'un master (bac +5) peut préparer un doctorat en trois ans (bac+8). Autres métiers

Mission Alpha | #ElèveTonBlob : l'odyssée des blobs spatiaux Flash-back en juillet 2020 : les ingénieurs du CADMOS, au CNES, travaillent à la conception d’une blob-box respectant les contraintes les plus drastiques en termes de sécurité à bord de la Station spatiale internationale. Objectif : envoyer 4 blobs (Physarum Polycephalum) dans l’ISS, sous forme de sclérotes à réhydrater, et proposer à des élèves de reproduire la même expérience dans leurs classes. C’est la génèse d'#ElèveTonBlob, l’expérience éducative de la mission Alpha (ESA). Cette blob-box hermétique - afin de ne pas rejouer le célèbre film des années 50... - devait permettre à l'astronaute français de l'ESA Thomas Pesquet, grâce à des seringues et un système de prises de vues automatique, de réveiller les 4 blobs et d’immortaliser leur développement grâce un enregistrement vidéo de quelques secondes toutes les 10 minutes. Un réveil en douceur et en micropesanteur Jeudi 2 septembre 2021, 13h14 CET : Thomas Pesquet démarre l’installation de l’expérience Blob-ISS. Retour au sommaire

Le blob, nouvelle star du zoo de Paris Ni plante, ni animal, ni champignon, le blob fait son entrée au Parc zoologique de Paris le 19 octobre. Audrey Dussutour, éthologiste au CNRS, nous explique en quoi cet organisme unicellulaire, dépourvu de cerveau et de système nerveux, fascine chercheurs et grand public. Vous êtes la spécialiste mondiale du blob, que le grand public va bientôt pouvoir découvrir au Parc zoologique de Paris. En quoi cette entrée au zoo est-elle importante ? Audrey Dussutour, dans son laboratoire à Toulouse en mai 2019. Justement, on le définit souvent en procédant par élimination : ce n’est « ni une plante, ni un animal, ni un champignon ». Plus précisément, le blob appartient à la classe des myxomycètes, ce qui signifie « champignons gluants ». Au début de sa vie, il mesure 50 micromètres. Qu’est-ce qui rapproche et distingue le blob d’une amibe ? Ce qui le différencie des amibes, c’est que les myxomycètes peuvent atteindre de grandes tailles, alors que l’amibe est généralement petite.

Le blob En 1973, non loin de Dallas, au Texas, Marie Harris découvre un matin dans son jardin, une chose étrange qu'elle décrit comme « mousseuse, crémeuse et jaune pâle, similaire à une omelette, pas plus gros qu'un cookie ». Elle ne s'en inquiète pas immédiatement, pensant qu'il s'agit d'un champignon. Seulement, deux semaines plus tard, elle s'aperçoit avec effroi qu'il grandit de manière inquiétante. Décision est prise, attrapant son râteau, elle le disperse dans son jardin. Seulement, le champignon réapparaît deux jours plus tard, régénéré. Son mari lui prête alors main forte et l'écrase à coups de bâton. Les super-pouvoirs du blob ReportagesPropos recueillis par Annie Labrecque - 05/10/2017 Ni animal, ni végétal, ni bactérie, ni champignon, le « blob » n’a plus de secrets pour Audrey Dussutour qui l’étudie depuis presque 10 ans. Elle nous présente les talents cachés de cet étrange organisme unicellulaire, ou myxomycète. Il a été surnommé « blob » en référence à un film américain de 1958 où une masse grossit au fur et à mesure qu’elle engloutit des humains, mais il ne lui ressemble en rien, hormis par son aspect gluant. Cet organisme, dont il existe plus de 1 000 espèces différentes, semble disposer de « pouvoirs » infinis. On le dit presque immortel. Québec Science : Qu’est-ce que le blob ? Audrey Dussutour : C’est un amibozoaire, un organisme unicellulaire qui existe depuis des millions d’années, mais il passe inaperçu, car la plupart des gens le confondent avec un champignon. Leur nombre reste inconnu, mais une équipe de scientifiques a compté 50 blobs par gramme de sol dans une forêt en Virginie, aux États-Unis.

Le « blob » : capable d'apprendre… et de transmettre ses apprentissages Imaginez que vous ayez la capacité de fusionner temporairement avec un autre individu et qu'à l'issue de cette expérience, vous ayez acquis toutes ses connaissances. Eh bien, chez les blobs, c'est possible ! Le blob, Physarum polycephalum pour les scientifiques, est un être composé d'une seule cellule, qui vit dans les sous-bois à l'état naturel et dans des boîtes de Pétri en laboratoire. Pour cela, les chercheurs ont appris à plus de 2 000 blobs que le sel était inoffensif – les blobs devaient traverser un pont couvert de sel pour rejoindre leur nourriture. Afin de vérifier qu'il y avait bien eu transfert d'information, l'expérience a été refaite en séparant les blobs une heure ou trois heures après leur fusion. © Audrey Dussutour (CNRS) Physarum polycephalum (diamètre : environ 10 centimètres), ou blob, composé d'une unique cellule, cultivé en laboratoire sur un gel d'agar. © David Vogel Physarum polycephalum expérimentés (ou habitués, H) qui fusionnent avec un congénère naïf (N).

Le blob, une cellule géante et intelligente ! La diversité des formes de vie sur Terre dépasse l'imagination et ne cesse de nous surprendre. Dans ce foisonnement du vivant, les organismes multicellulaires sont les plus connus, aussi bien d'un point de vue physiologique que comportemental. Ainsi, nous connaissons tous les capacités d'orientation des pigeons, de photosynthèse des plantes, d'apprentissage des chiens ou encore de construction des fourmis. À l'inverse, les capacités des organismes unicellulaires, souvent qualifiées de simples, sont plutôt méconnues. Pourtant, les organismes unicellulaires présentent des comportements qui n'ont rien à envier à ceux observés chez les autres organismes : certains sont capables de communiquer, de s'orienter, de coopérer, de construire des abris… Un exemple étonnant est celui des capacités d'apprentissage que nous avons découvertes récemment chez un organisme unicellulaire de forme et de taille indéfinies, visqueux et de couleur jaune vif : le myxomycète Physarum polycephalum.

Le blob Physarum : une cellule géante sans cerveau qui apprend Stupéfiant Physarum : cette sorte de cellule géante, sans système nerveux, sait apprendre et se souvenir, comme l'avait montré une équipe du CNRS. Laquelle nous explique maintenant que cet organisme peut aussi transmettre ses connaissances à un congénère. La vie est belle. On l'appelle blob car on ne sait pas trop comment nommer cette masse colorée qui s'étale en forêt sur plusieurs mètres carrés, recouvrant des branches entières. On dit que c'est un « protiste » car les biologistes, sans bien savoir où le classer, constatent qu'il n'a qu'une cellule. Mais c'est la plus grande du monde et elle possède d'innombrables noyaux. Pour tout savoir sur lui, ne ratez pas cette présentation d'Audrey Dussutour, chercheuse CNRS à l'université Paul Sabatier, à Toulouse, effectuée sur scène pour une conférence TedX, que nous présentons ici. Quand deux blobs fusionnent, l'un enseigne à l'autre À partir de trois heures, en revanche, les naïfs ne l'étaient plus et n'avaient pas peur du sel.

Je vous invite a quitter se Peartrees si il ne vous convient pas by blobers Sep 29

Cette vidéo n'est pas très intéressante cordialement by paul_ivan Sep 29

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