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Portraits/Visages

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Exposition en cours - Ceci n'est pas un portrait © Affiche de l'exposition - Sweerts Michael (1618-1664), Garçon au turban tenant un bouquet de fleurs, vers 1658. © Museo Thyssen-Bornemisza. Madrid Le Musée des Augustins, musée des beaux-arts de Toulouse présente, à partir du 21 novembre 2015, une exposition totalement inédite sur les figures de fantaisie en Europe du XVIe au XVIIIe siècle. Centrées sur les émotions et les passions humaines, elles offrent au regard une intimité au plus près du sujet et abordent des thèmes universels, toujours étonnament modernes, comme l'apparence des sentiments, l'ambivalence des êtres humains ou la question du genre. Nos partenaires

Portraits dessinés et gravés du XVIIe siècle hollandais et flamand A l’occasion du Salon du Dessin 2012, la salle consacrée à l'exposition du cabinet d'art graphique, déploiera une sélection de très belles feuilles de la collection Dutuit, illustrant l’un des thèmes favoris du XVIIe siècle flamand et hollandais : le Portrait. Pays-Bas Nord et du Sud : un contexte différent Au terme d’une longue guerre d’indépendance contre l’Espagne de Philippe II, les Pays-Bas du Nord – en majorité protestants – se sont libérés d’un joug à la fois religieux et politique : ces sept Provinces, fédérées en République, s’autoproclament indépendantes en 1579, état de fait que l’Espagne reconnaîtra en 1648. Dès lors, la jeune République – dominée par la puissante Hollande – développe son dynamisme et son autonomie dans tous les domaines et dans celui des Arts, au premier chef. Dans les Pays-Bas du Sud – restés au sein de l’Europe catholique et monarchique -, l’Eglise et la Cour ont gardé pleinement leurs positions de mécènes et imposent durablement leurs critères.

PORTRAITS ET FIGURES Le portrait est la représentation d’un individu reconnaissable dont il recherche la ressemblance. Le Petit Larousse définit ce mot issu du vieux français pourtraire – dessiner – comme étant « L’image donnée d’une personne par la peinture, le dessin, la sculpture ou la photographie » ou encore la « description orale ou écrite de quelqu’un ». Comme genre artistique, le portrait révèle l’évolution de la représentation humaine mais aussi celle des sociétés (modes, classes sociales...). La figure, quant à elle, est la représentation d’un personnage historique ou mythologique, ou d’une personnification allégorique, qui ne cherche pas à reproduire les traits précis d’un individu et n’est pas représenté en action. Le portrait, la représentation de la figure humaine, est un genre profondément ancré dans la culture occidentale, qui marque l’articulation entre le sacré et le profane, la société et l’individu.

Exposition Autoportraits, de Rembrandt au selfie Autoportraits, de Rembrandt au selfie est la première exposition réalisée dans le cadre d'un partenariat entre la Staatliche Kunsthalle de Karlsruhe, les National Galleries of Scotland à Edimbourg et le musée des Beaux-Arts de Lyon. L’exposition évoque les différentes approches de l’autoportrait du XVIe au XXIe siècle à partir d’une sélection d’œuvres en provenance de trois grands musées européens. Véritable genre artistique, l’autoportrait apporte, au-delà des questions de style propres à chaque époque, de nombreuses informations sur la personnalité de son auteur, ainsi que sur son environnement historique et social. À une époque où la pratique du selfie est devenue un véritable phénomène de société caractéristique de l’ère du digital, questionner la tradition et les usages de l’autoportrait semble plus que jamais d’actualité.

La Fabrique du Portrait Au printemps 2009, le musée Rodin met à l’honneur l’art particulier du portrait à travers l’exposition La fabrique du portrait, Rodin face à ses modèles et son prolongement contemporain, Confessions / Portraits, vidéos, deux oeuvres de l’artiste britannique Gillian Wearing. Laboratoire de création mais aussi fresque sociale, l’exposition La fabrique du portrait, Rodin face à ses modèles vous invite à découvrir l’oeuvre considérable, et pourtant méconnue, de Rodin portraitiste. Elle met en lumière le processus de création et la démarche de l’artiste dans la construction d’un portrait. Des visites-conférences, des rencontres avec des spécialistes de diverses disciplines, des journées d’étude et, pour les familles, un carnet de jeu complètent la visite de l’exposition. Modelés dans la terre même, les visages de Baudelaire, Clemenceau, Balzac, côtoient celui du bourgeois de la fin du XIXe siècle. Face au sien, Clemenceau rétorqua : « Ce n’est pas moi ».

exposition 'Portraits Quantistes' par Servant-Ermes | Bordeaux Métropole Présenté jusqu'à mai 2015 au Petit Musée du carbone, à Bordeaux, "Portait Quantistes" par Servant-Ermes présente 50 portraits de grands noms de l'histoire revus par l'art Quantiste, qui s'attache à peindre l’intelligence de la vie selon la théorie quantique de l’artiste, qui suggère que l’environnement est doté d’une particule mémoire en relation avec nos neurones. L'art Quantiste est un big bang pictural qui offre une réflexion sociétale sur l’intelligence de la vie. Cet art quantiste apporte un autre regard de l’Homme sur lui-même et sur son rapport avec l’espace environnemental. L’auteur fait sa signature picturale par des paquets (quanta) de couleurs primaires sur un fond jaune. Ce tout symbolise sa théorie de particule mémoire et autres connues qui composent, animent et prêtent intelligence à tout individu. Les portraits quantistes en exposition A lire, à voir, à rencontrer cet artiste qui lie magistralement l’art et la science, au service de la connaissance humaine. Le quanticisme !

Le portrait équestre Si on en croit Tite-Live, c’est en l'honneur d'une femme, l’héroïne romaine Clélie, que la plus ancienne statue équestre aurait été élevée à Rome sur la Voie sacrée. Le sculpteur Lysippe aurait réalisé pour Alexandre le Grand la première effigie d'un souverain à cheval. A Rome ne subiste que la statue équestre en trompe-l'œil de la Casa della Farnesina (musée des Thermes) et le monument de l’empereur Marc-Aurèle (Capitole), longtemps confondu avec Constantin. La Renaissance italienne remet les portraits équestres à l’honneur pour ses condottieres, tant en peinture (Uccello, Giovanni Acuto et Andrea del Castagno, Niccolò da Tolentino, dôme de Florence) qu’en sculpture (Donatello, Gattamelata à Padoue et Verrocchio, Le Colleone, Venise). La France adopte les statues équestres pour les souverains : Louis XII au château de Blois, Henri IV sur le Pont-Neuf, Louis XIV à Lyon et Versailles…

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