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Travail-Emploi - Les déterminants du coût du travail en France

Travail-Emploi - Les déterminants du coût du travail en France
Dominique Demailly, Dares, Diane Marlat et Laurence Rioux, division Salaires et revenus d’activité, Insee Résumé En 2008, dans les entreprises de dix salariés ou plus de l’industrie et des services marchands, un salarié coûte en moyenne 50 850 euros par an à son employeur. Rapporté aux heures effectivement travaillées (hors congés et absences), le coût du travail est un peu inférieur à 32 euros de l’heure. Il est le plus élevé dans les activités financières et d’assurance, où la proportion de cadres est forte, et dans la production et distribution d’électricité et de gaz. Il est le plus bas dans l’hébergement-restauration, qui emploie une main-d’œuvre peu qualifiée et bénéficie des allègements de cotisations sociales sur les bas salaires. Sommaire Publication Un coût à composantes multiples Retour au sommaire Coût horaire d’un salarié : de 21 à 49 euros selon le secteur Le coût horaire moyen par établissement varie fortement selon le secteur d’activité. La structure du coût salarial

http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=ip1393

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inégalités hommes-femmes, discrimination, travail, salaire, femme, emploi A l’occasion de la journée internationale de la femme, l’Institut national de la statistique et des études économiques publie le 8 mars 2012 un état des lieux des inégalités hommes-femmes. L’étude montre que les inégalités persistent, bien que de réels progrès aient été accomplis ces vingt dernières années. S’agissant de l’emploi, des salaires et des retraites, l’étude indique que la convergence des situations entre hommes et femmes s’opère, mais parfois bien lentement. Ainsi, l’emploi féminin a augmenté de 25% ces vingt dernières années, alors que celui des hommes est quasiment resté constant. Toutefois, les femmes restent surexposées au chômage, bien que l’écart avec les hommes diminue.

6. Salaire, coût du travail Dans le langage courant, le salaire c’est la rémunération du travail, c’est donc à la fois un revenu et un coût. La rémunération du travail salarié est un coût pour l’entreprise, c’est le coût salarial, alors que le salarié retient comme rémunération de son travail ce qu’il perçoit effectivement, son salaire net. Les deux dimensions du salaire La différence entre les deux approches et importante comme le montre le schéma suivant : Le salaire net c’est le salaire perçu par le salarié, il figure en bas de la feuille de paye. La qualification et la compétence pour la construction de la GRH - Le blog de a6pro : votre assistance et solution administrative.over-blog.fr Dimanche 24 octobre 7 24 /10 /Oct 16:27 GRH : Gestion des Ressources Humaines De la qualification Les pratiques de gestion des ressources humaines se développent par l’introduction de méthodes participatives de groupe, la gestion prévisionnelle de l’emploi, la mise en place des salaires individualisés et motivants et surtout la redéfinition de la qualification (Conditions requises pour pouvoir participer à une épreuve : Dictionnaire) La définition de cette notion peut être abordée selon deux approches : une approche collective et une approche individuelle. Dans le premier cas, il s'agit de la reconnaissance sociale de la maîtrise des savoirs et des compétences nécessaires à la tenue d'un poste de travail.

Conditions de travail des ouvriers du BTP Outre la diversité et la complexité des intervenants et des techniques sur un même chantier (intérêts divergents, contraintes d’interfaces multiples), les contraintes de délais et d’espace, la spécificité de chaque projet, qui rend difficile l’organisation et renforce les aléas, le BTP est soumis à un certain nombre de facteurs de risques physiques et chimiques. Deux rapports ont été rendus par la Dares en décembre 2009 et janvier 2010. Le premier constate qu’en 2007 les salariés de la construction ont été les plus exposés aux accidents du travail, avec deux fois plus d’arrêts de travail que la moyenne nationale et un accident mortel sur quatre issu d’une chute de hauteur. Le second rapport constate que l’état de santé du salarié est fortement lié à son parcours professionnel puisque de mauvaises conditions de travail, pénibilité au travail et contraintes physiques, contribueraient à altérer la santé tout au long de la vie.

1er septembre 2011 : Le contrat de sécurisation professionnelle entre en vigueur. Le contrat de sécurisation professionnelle est entré en vigueur le 1er septembre 2011 Depuis le 1er septembre, les employeurs de moins de 1 000 salariés doivent proposer à leurs salariés menacés de licenciement économique un contrat de sécurisation professionnelle à la place de la convention de reclassement personnalisée. En cas de licenciement économique dans une entreprise de moins de 1 000 personnes et pour toutes les entreprises, sans condition d’effectif, en redressement ou liquidation judiciaire, l’employeur doit désormais proposer aux salariés concernés d’intégrer le contrat de sécurisation professionnelle (CSP). Ce dispositif issu de l’accord national interprofessionnel du 31 mai 2011, et dont la base législative est fixée par la loi 2011-893 du 28 juillet 2011, remplace la convention de reclassement personnalisé, et le contrat de transition professionnelle dans les bassins d’emploi où ce dernier était expérimenté. S’il accepte, cette contribution est égale à 3 mois de salaire.

L’évaluation du travail en débat L’évaluation du travail en débat [jeudi 19 février 2009 - 09:00] Travail, emploi, relations sociales Evaluation du travail, Travail d'évaluation Éditeur : Octarès éditions Les conditions de travail, premier facteur de l'absentéisme Métro-boulot-dodo ? Oui, mais pas toujours boulot ! Chaque semaine près de 680 000 personnes sont absentes de leur emploi au moins une journée pour raison de santé. Métro-boulot-dodo ? Oui, mais pas toujours boulot ! Chaque semaine près de 680 000 personnes sont absentes de leur emploi au moins une journée pour raison de santé (3,6 % des salariés), les conditions de travail étant la cause principale de l'absentéisme, selon une étude de la Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares).

La formation continue : un bénéfice pour l'entreprise - Revolution-RH Gagner en compétitivité, augmenter le bien-être au travail et la productivité individuelle, ce sont tous les bienfaits de la formation professionnelle en entreprise. Si elle est correctement intégrée, elle permet d’accroître régulièrement les compétences et les talents et de valoriser le capital humain de l’entreprise. Mais comment proposer une formation efficace ? Pour Stéphane Waller, directeur de Meltis, cela repose sur trois changements pour le salarié :

La formation des salariés : principes généraux Dernière mise à jour le 27 février 2015 Synthèse Quelles que soient la forme et la durée de son contrat de travail, le salarié peut se former en tout ou partie pendant le temps de travail.

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