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Aimer la main ouverte

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Textes philosophiques gratuits et libres de droits Histoire inspirante : Ce qu'un simple geste peut faire... - Génération Optimiste Nouveau ? Cliquez ici pour adhérer Connectez-vous à Génération Optimiste ® ... ou connectez-vous avec l'un des comptes suivants : Facebook Twitter Google Yahoo! À propos de Génération Optimiste ® ...et 2800 de plus... Le 1 er réseau de gens positifs, prêt à partager avec vous "savoir & expériences" en vue d'améliorer votre quotidien.

Le roi qui voulait apprendre à jongler Il était une fois un roi, qui avait tout ce que la bonne fortune pouvait lui apporter. Il venait de fêter ses 40 ans, sa santé était bonne. Lumière-du-jour, son épouse, était pourvue de toutes les qualités qui font le bonheur d'un homme, qu'il soit roi ou simple portefaix, et il pensait que lui-même avait su la rendre heureuse, au fil des années partagées. Leurs enfants poussaient comme des arbres bien soignés, entourés d’affection et d’attention. Les charges du royaume étaient souvent prenantes, mais il savait déléguer une partie de ses pouvoirs à bon escient. Le royaume se portait bien, et était en paix avec ses voisins. Un jour, le roi fit venir son ancien précepteur auquel le liait des sentiments d'amitié et de respect. - Maître vénéré, lui dit le roi, tu es sage et je suis en tourment. Et le roi continua ainsi à parler un long moment. Le maître écoutait le roi en silence. - Sire, vous avez, je crois, un mal bien connu mais peu souvent reconnu. - Le mal d'apprendre ? - Non.

Histoire inspirante : Le chauffeur de taxi et la grand-mère - Génération Optimiste Nouveau ? Cliquez ici pour adhérer Connectez-vous à Génération Optimiste ® ... ou connectez-vous avec l'un des comptes suivants : Facebook Twitter Google Yahoo! LinkedIn À propos de Génération Optimiste ® ...et 2800 de plus... Le 1 er réseau de gens positifs, prêt à partager avec vous "savoir & expériences" en vue d'améliorer votre quotidien. Histoire inspirante : le candidat héritier et la graine de maïs - Génération Optimiste Un roi vieillissant s'est réveillé un jour et s'est rendu compte qu'en mourant il n'aura pas de fils dans la famille royale pour le remplacer. Il était le dernier homme dans la famille royale dans une culture où seulement un héritier mâle pourrait succéder au trône. Il envisageât l’adoption d’un garçon qui alors pourrait prendre sa place. Ses critères étaient clairs : un tel fils adopté devait être extraordinaire au sens réel du mot. Il a donc lancé un concours ouvert à tous les garçons de son royaume. Tous y étaient conviés, peu importe leur origine. Dix garçons ont réussi une première préselection. Il y avait peu de différence pour séparer ces garçons quant à l'intelligence, les attributs physiques etc. Le roi leur dit : « j'ai une dernière épreuve et quiconque arrive à bout de cette dernière deviendra mon fils adoptif et héritier à mon trône. » Il continua : « Ce royaume dépend uniquement de l'agriculture. Voici une graine de maïs pour chacun de vous. « Pourquoi celui-là ? Michel POULAERT

"Madame, ils l'ont bien cherché quand même". Un débat en classe vendredi 9 janvier 2015 • Dans la tête des enfants • philo, Éducation, Pédagogie, Charlie Hebdo Je travaille depuis près de 10 ans avec Caroline Faivre dans ses classes de EGPA (enseignement spécialisé dans les collèges). Nous co animons des ateliers de philosophie et suivons les élèves de la 6ème à la 3ème. Caroline est une enseignante remarquable, engagée, qui ne lâche rien sur la nécessité de transmettre à ses élèves -pourtant très en difficulté - une rigueur de pensée et des références culturelles exigeantes. Vendredi matin, j'étais comme prévu dans sa classe... Armoire de la classe de Caroline Faivre, collège La Madeleine Le Mans (offerte par les élèves) Caroline Faivre : "Mercredi 7 janvier 2015. 9h30. Jeudi 8 janvier.De 8h30 à 12h : « mes » élèves (à ce moment-là j’ai besoin de serrer près de moi ceux que j’aime) de 6ème ont du mal à comprendre. Vendredi 9 janvier. Les prénoms des élèves ont été modifiés.Caroline Faivre, professeure des écoles au collège La Madeleine au Mans.

Débat interprétatif et discussion à visée philosophique à l’école (...) La littérature comme expérience de pensée En insistant sur la portée philosophique de la littérature (de jeunesse) en général et des œuvres de la liste, les programmes de littérature à l’école primaire ont ouvert la voie à des débats réflexifs dans laquelle tous ceux qui jugent nécessaire une initiation précoce à la philosophie ont pu s’engouffrer. Ces programmes visent absolument à éviter la dérive techniciste de l’approche des textes. Inspirés par les théories de la réception et les réflexions de Umberto Eco et Paul Ricœur, ils insistent pour que l’étude des œuvres ne soit jamais un prétexte à un décorticage formaliste mais l’occasion d’une rencontre poétique et intellectuelle. Ils centrent l’enseignement sur le plaisir de lire, sur le sens, la beauté et la complexité des œuvres, sur la constitution d’une bibliothèque mentale. Un exemple de dispositif. À mon sens, ce dispositif présente les avantages : Bibliographie Chirouter Edwige, Lire, réfléchir et débattre à l’école élémentaire.

La Cour du Lion Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Version classique[4][modifier | modifier le code] [Guéroult] Sa Majesté Lionne[N 1] un jour voulut connaître, De quelles nations le Ciel l'avait fait maître. Il manda donc par députés Ses vassaux de toute nature, Envoyant de tous les côtés Une circulaire écriture[N 2], Avec son sceau. L’écrit portait Qu’un mois durant le Roi tiendrait Cour plénière[N 3], dont l’ouverture Devait être un fort grand festin, Suivi des tours de Fagotin[N 4]. — Jean de La Fontaine, Fables de La Fontaine, Cour du Lion Images et illustrations[modifier | modifier le code] Gravure de François Chauveau (1613-1676). Notes[modifier | modifier le code] Références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]

La philosophie dans l'Encyclopédie Larousse (nombreux rebonds internes vers les écoles philosophiques, les auteurs etc.) Ensemble de conceptions portant sur les principes des êtres et des choses, sur le rôle de l'homme dans l'univers, sur Dieu, sur l'histoire et, de façon générale, sur tous les grands problèmes de la métaphysique. Histoire de la philosophie jusqu'au milieu du xxe s. Les significations que la philosophie a revêtues ont toujours été tributaires de l'histoire idéologique et sociale. Initialement synonyme de « savoir », dans la mesure où elle occupait, toutes choses égales par ailleurs, le rôle aujourd'hui dévolu aux sciences exactes et aux sciences humaines, la philosophie, en proposant, en conséquence de ce savoir, des règles de conduite aux individus et des formes d'organisation à la cité, a exercé sur le devenir des sociétés une influence plus ou moins sensible, plus ou moins acceptée par les pouvoirs et institutionnalisée selon les circonstances et les époques. Avec Socrate (vers 470-399 avant J. La Renaissance repense l'héritage gréco-romain en termes nouveaux. Philosophie contemporaine

La Cigale et la Fourmi - Jean de LA FONTAINE le corbeau et le renard Maître Corbeau, sur un arbre perché, Tenait en son bec un fromage. Maître Renard, par l'odeur alléché, Lui tint à peu près ce langage : Et bonjour, Monsieur du Corbeau, Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau ! Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le Phénix des hôtes de ces bois. À ces mots le Corbeau ne se sent pas de joie, Et pour montrer sa belle voix, Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie. Le Renard s'en saisit, et dit : Mon bon Monsieur, Apprenez que tout flatteur Vit aux dépens de celui qui l'écoute. (1) oiseau fabuleux, mythique, toujours seul de son espèce, qui, après un siècle de vie, mourait consumé par le feu, et renaissait aussitôt de ses cendres. Un peu de statistiques pour commencer : "5 fables entrent pleinement dans l'imaginaire collectif français, et constituent une partie du fonds culturel commun, en dehors de toute "spécialisation" savante. La traduction latine de la fable d'Esope avait été donnée par Névelet (1610).

Les Animaux malades de la Peste Un mal qui répand la terreur, Mal que le ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom), Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faisait aux animaux la guerre. Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés: On n'en voyait point d'occupés A chercher le soutien d'une mourante vie; Nul mets n'excitait leur envie, Ni loups ni renards n'épiaient La douce et l'innocente proie; Les tourterelles se fuyaient: Plus d'amour, partant plus de joie. Le lion tint conseil, et dit: «Mes chers amis, Je crois que le Ciel a permis Pour nos péchés cette infortune; Que le plus coupable de nous Se sacrifie aux traits du céleste courroux; Peut-être il obtiendra la guérison commune. L'histoire nous apprend qu'en de tels accidents On fait de pareils dévouements: (1) Ne nous flattons donc point, voyons sans indulgence L'état de notre conscience Pour moi, satisfaisant mes appétits gloutons, J'ai dévoré force moutons. Que m'avaient-ils fait?

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