background preloader

Psychothérapie cognitivo-comportementale

Psychothérapie cognitivo-comportementale
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans l'histoire de la psychologie clinique, les courants dits comportementalistes (visant d'abord à intervenir sur le comportement) et cognitifs (cherchant à intervenir sur les croyances, les représentations, et leurs processus de construction) sont apparus parallèlement au milieu du XXe siècle, parfois en compétition l'un avec l'autre. Depuis les années 1980, ce clivage historique entre comportementalisme et cognitivisme tend à disparaître dans la pratique thérapeutique[2]. Histoire[modifier | modifier le code] L'approche cognitive : influence du stoïcisme[modifier | modifier le code] Plusieurs auteurs montrent la filiation entre les idées des philosophe stoïciens et les postulats de l'approche cognitive[3],[4]. Du comportementalisme aux thérapies[modifier | modifier le code] Apparition[modifier | modifier le code] Fusion cognitivo-comportementale[modifier | modifier le code] Nouveaux modèles[modifier | modifier le code]

Karl Jaspers Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Karl Jaspers XXe siècle Karl Jaspers, né à Oldenburg le et mort à Bâle le , est un psychiatre et philosophe allemand représentatif de l'existentialisme chrétien. Biographie[modifier | modifier le code] Né d'un père juriste et d'une mère travaillant dans une coopérative agricole, Jaspers montre un intérêt précoce pour la philosophie, bien que le parcours paternel au sein du système judiciaire l'ait sans doute poussé à étudier le droit lors de son entrée à l'université. À l'âge de 40 ans, Jaspers se tourne vers la philosophie, explorant les thèmes qu'il avait entamés durant son activité de psychiatre. Karl Jaspers retourne à l'Université de Heidelberg en 1945, où il prononce une série célèbre de conférences sur la "culpabilité allemande", dans lesquelles il reste assez optimiste quant à la prise de conscience des Allemands de l'atrocité des événements de la Seconde Guerre. Travaux et apport[modifier | modifier le code] Karl Jaspers, sur Wikiquote

Psychologie cognitive Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Plus généralement la cognition se définit comme l'ensemble des activités mentales et des processus qui se rapportent à la connaissance et à la fonction qui la réalise. La psychologie cognitive part du principe que l'on peut inférer des représentations, des structures et des processus mentaux à partir de l'étude du comportement. Contrairement au béhaviorisme, elle défend la thèse que la psychologie est bien l'étude du mental et non du comportement. À la différence des autres courants mentalistes, elle ne pense pas que l'introspection soit une voie d'accès particulièrement fiable pour explorer le mental. Historique[modifier | modifier le code] La psychologie cognitive est véritablement née dans les années 1950, en même temps que l'intelligence artificielle. Notions de base[modifier | modifier le code] Bibliographie (manuels et textes introductifs)[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Précurseurs :

DE LA PHENOMENOLOGIE A LA PSYCHIATRIE (Essai de synthése) | Malek Mammeri's news Qu’est-ce que la phénoménologie ? On serait tenté de dire, dans un premier temps, que, étymologiquement, c’est un terme forgé du grec phainomenon, « ce qui se montre » et logos « discours » donc l’étude d’un ou des phénomènes ou encore la « science des phénomènes ». Mais qu’est-ce qu’un phénomène ? Un phénomène est ce qui est perçu en conscience et dont l’origine se situe dans la nature ou dans le domaine du mental. Le phénomène fait partie de ces concepts que l’on a la chance de pouvoir suivre tout au long de l’histoire de la philosophie : depuis son usage grec jusqu’aux ultimes développements de la philosophie européenne, le terme est resté en usage, et se trouve régulièrement investi d’une puissance de pensée qui en fait un des lieux constant de la réflexion sur les rapports de l’homme au monde. - l’ontologie (mode d’être de l’apparaître), - de la métaphysique (question de la vérité de l’apparaître) - et de l’épistémologie (nature de ce qui est objet de connaissance).

Programmation neuro-linguistique Techniques variées issues de la Modélisation PNL. Leurs usages coordonnés et intégrés permettent d'explorer le « vécu subjectif », objet de la PNL. La programmation neuro-linguistique (abrégée « PNL » en français, et « NLP » en anglais) est un outil pseudo-scientifique de médecine alternative de communication verbale et non verbale, de développement personnel et d'accompagnement au changement. Élaborée dans les années 1970 aux États-Unis, à l'origine par John Grinder et Richard Bandler[1] (qui a déposé la marque en 1976)[Note 1], elle est ensuite développée par de nombreux autres contributeurs dont Robert Dilts. La PNL se présente comme l'étude des processus comportementaux acquis, considérés comme une Programmation Neurologique représentée par la Linguistique[3]. Principe fondamental de la PNL, cette méthode nommée modélisation se décline en une grande variété de techniques élaborées au fil de l'histoire de la discipline. Définition[modifier | modifier le code]

Question 5: le modèle Bio-Psycho-Social Q5 - Qu'est-ce que le "modèle bio-psycho-social de la santé mentale"? Ce vocable barbare revient souvent dans les exposés de psychiatres, les discours de sociologues et de socio-psychologues, et dans des déclarations ministérielles. Certains s'en servent tout à la fois par ignorance (parce qu'ils pensent que le mot a une résonnance "scientifique"), par opportunisme, ou par souci de "ratisser large", ou encore pour faire étalage de leur "largeur" de vues. Tenter, en quelques lignes seulement, de faire comprendre de quoi il retourne est peut-être risqué. Schématisons pour faire aussi bref que possible. Dès son apparition, cette "théorie biologique" a rencontré l'opposition de tous ceux qui, par conviction philosophique ou religieuse, s'accrochaient à la croyance en la dualité de l'esprit et du corps. Les théories "psychogènes" ou "psychodynamiques" de la genèse des troubles mentaux chroniques n'ont jamais pu recevoir la moindre confirmation scientifique expérimentale.

Analyse transactionnelle Cet article présente des problèmes multiples. En psychologie, l'analyse transactionnelle, appelée aussi AT, est une théorie de la personnalité, des rapports sociaux[1] et de la communication. Créée dans les années 1950 par le médecin psychiatre et psychanalyste Éric Berne[2], elle postule des « états du Moi » (Parent, Adulte, Enfant), et étudie les phénomènes intrapsychiques à travers les échanges relationnels de deux personnes ou plus, appelés « transactions ». L'analyse transactionnelle vise à permettre une prise de conscience ainsi qu'une meilleure compréhension de « ce qui se joue ici et maintenant » dans les relations entre deux personnes et dans les groupes. L'analyse transactionnelle propose des grilles de lecture pour la compréhension des problèmes relationnels ainsi que des modalités d'intervention pour résoudre ces problèmes. L'exploration de la personnalité peut se réaliser à 2 niveaux (p. 5 à 14)[3] : Histoire[modifier | modifier le code] Concepts[modifier | modifier le code]

Les autres courants actuels de la psychiatrie Quantitativement, les psychiatres de pratique libérale sont devenus majoritaires. Il y a donc un déplacement du champ de la pratique psychiatrique qui amène à revoir et redélimiter une partie du domaine de la discipline. Corollairement, surtout aux U.S.A., la tendance la plus récente est à la remédicalisation qui s'exprime dans le biologique. On parle, à nouveau, de médecine mentale. L'européocentrisme s'essouffle et les particularités de la société américaine s'infiltrent en France avec les fameux principes : Pragmatisme - but à moyen terme - vénération du changement - tendance à résoudre les problèmes par addition de nouvelles structures. Elle affirme que l'esprit reste dans le corps et particulièrement dans le cerveau. L'une de ses branches est la psychopharmacologie. Voici les principales étapes de la chimiothérapie : Jusqu'en 1952, avant l'apparition des neuroleptiques, les seuls médicaments utilisés étaient essentiellement des calmants (barbituriques). Deux courants ont dominé :

Développement personnel Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La notion de développement personnel a des significations différentes selon qu'elle est utilisée par des psychanalystes, des promoteurs de techniques New Age, certains courants du coaching, les éducateurs et spécialistes du travail, telle que l'Organisation internationale du travail (OIT), qui l'incluent dans les buts de l'enseignement supérieur et du travail décent[1]. Les objectifs du développement personnel peuvent ainsi renvoyer à la connaissance de soi[2], à la valorisation des talents et potentiels[3], à l'amélioration de la qualité de vie, à la réalisation de ses aspirations et de ses rêves[4], etc. Ainsi, pour la revue Sciences humaines, "les techniques de développement personnel visent à la transformation de soi: soit pour se défaire de certains aspects pathologiques (phobie, anxiété, déprime, timidité), soit pour améliorer ses performances (mieux communiquer, gérer son temps, s'affirmer)."[5] Pyramide des besoins de Maslow

" Comment écrire l'essentiel des institutions psychiatriques en quelques pages ? " Faire le parcours historique de plus de cent cinquante ans est presque une gageure et un pari sauf si on se situe au niveau des ruptures épistémologiques comme je l'avais déjà souligné dans notre ouvrage " l'accueil en psychiatrie des malades mentaux: aspects juridique, théorique, pratique "(1) . L'histoire de cette discipline s'appuie à chaque époque sur des idées philosophiques, politiques, sociales et économique de son époque mais, dans une visée anthropologique, la seule qui suit le même fil conducteur et une même logique est la science économique, déesse métaphorique élue par les puissants et les princes de ces périodes qui ont toujours gouverné la vie des établissements en essayant de conditionner les pratiques soignantes qui y sont instituées. Fin du XIIIème - XIXème : Pinel et le traitement moral. Le traitement moral s'appuie en premier lieu sur l'attitude du médecin face au malade. L'isolement.

École de Palo Alto Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'école de Palo Alto est un courant de pensée et de recherche ayant pris le nom de la ville de Palo Alto en Californie, à partir du début des années 1950. On le cite en psychologie et psycho-sociologie ainsi qu’en sciences de l'information et de la communication en rapport avec les concepts de la cybernétique. Ce courant est notamment à l'origine de la thérapie familiale et de la thérapie brève. L'école a été fondée par Gregory Bateson avec le concours de Donald D. Jackson, John Weakland, Jay Haley, Richard Fisch, William Fry et Paul Watzlawick. Historique[modifier | modifier le code] Le Projet Bateson[modifier | modifier le code] En 1952 l'anthropologue Gregory Bateson obtient le financement de la fondation Rockefeller pour une étude du « paradoxe de l'abstraction dans la communication ». Bateson est fortement influencé par le courant cybernétique, né des conférences Macy auxquelles il participe de 1942 à 1953.

Le Carnet/Psy On sait que la psychanalyse fait de moins en moins partie du corpus de connaissances et d'expériences jugées nécessaires à la formation des futurs psychiatres. Toutefois, lorsque l'on essaie de comprendre cette attitude relativement récente en France - mais en fait, déjà en place depuis plusieurs années dans la psychiatrie de langue anglaise - son origine semble complexe. D'une part, elle est en rapport avec certaines évolutions de la pensée scientifique et médicale occidentale de ces dernières décennies : une certaine version de l'objectivité, une modélisation de l'humain en "machine" (le recul d'une conception "vitaliste" spontanée), une instrumentalisation des propriétés du psychisme, une certaine idée du rapport entre l'efficacité et le temps... En effet, pendant une trentaine d'années, entre la période après la guerre et jusqu'aux années 1970, on a connu - notamment d'ailleurs aux États-Unis - une sorte d'impérialisme psychanalytique. Le point de vue thérapeutique

Psychologie La psychologie est une discipline qui appartient à la catégorie des sciences humaines. Divisée en de nombreuses branches d'étude dont les théories et les méthodes de recherche varient grandement, la psychologie a des applications nombreuses. Étymologie[modifier | modifier le code] Étymologiquement, le mot psychologie dérive du latin psychologia, terme lui-même formé à partir du grec ancien ψυχή (psukhē : le souffle, l'esprit, l'âme) et -λογία (-logia, la science, l'étude, la recherche)[1] par le savant humaniste croate Marko Marulić (1450-1524) et qui semble apparaître pour la première fois dans le titre de Psichiologia de ratione animae humanae (fin XVe - début XVIe) dont la trace a été perdue[3],[4] si bien que la première occurrence attestée se trouve chez le juriste et philosophe allemand Johann Thomas Freig (lat. Objet d'étude et objectifs[modifier | modifier le code] L'objet d'étude de la psychologie est un débat non clos depuis des siècles. Traitement cognitif

Modèle bio-psycho-social Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le modèle bio-psycho-social, en médecine, est une approche théorique et pratique proposé par le médecin psychiatre Engel[1] qui veut prendre en compte des facteurs psychologique, sociale et biologique des pathologies. Elle s'oppose à une lecture exclusive via un modèle biomédical, psychologiques ou anti-psychiatrique. Elle n'exclut pas a priori ces trois approches bien que ces aspects aient des pertinences différentes en fonction des symptômes. Cette approche parait pertinente dans les troubles mentaux, dans le cadre de la douleur chronique, de la sexualité, de la perte d'indépendance fonctionnelle. Elle n'est pas incompatible avec l'analyse fondée sur les faits (médecine factuelle) des différents aspects. Voir aussi[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Le modèle biopsychosocial : beaucoup plus qu’un supplément d’empathie

Psychologie analytique Allégorie alchimique extraite de l'Alchimie de Nicolas Flamel, par le Chevalier Denys Molinier (XVIIIe siècle) et représentant les énergies conscientes et inconscientes se combinant pour guérir la personnalité. La psychologie analytique, ou « psychologie complexe » (Komplexe Psychologie en allemand), est à l'origine de nombreux développements, en psychologie comme dans d'autres disciplines. Les continuateurs de Jung sont en effet nombreux, et organisés en sociétés nationales dans le monde. Le psychiatre suisse et ses continuateurs, dépassent en outre le cadre épistémologique de la psychanalyse freudienne pour explorer des disciplines comme la science physique ou les types de personnalités, qu'ils incluent dans une théorie psychique dite « analytique ». Histoire de la psychologie analytique[modifier | modifier le code] L'histoire de la psychologie analytique est intimement liée, à ses débuts, à la biographie du psychiatre suisse qui en a jeté les bases : Carl Gustav Jung (1875-1961).

Related: