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Perception

Perception
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le mot perception désigne donc, soit la capacité sensitive (l'instinct par exemple), soit le processus de recueil et de traitement de l'information sensorielle ou sensible (en psychologie cognitive par exemple), soit la prise de conscience qui en résulte[1]. En psychologie expérimentale, chez l'être humain, on distingue des échelles de la perception consciente et la perception inconsciente, dite aussi implicite ou subliminale. Cette distinction a été étendue aux autres animaux dans la mesure où celle-ci est reconnue ou, dans une autre mesure, peuvent être entraînés et conditionnés à indiquer ou pas s'ils ont perçu ou non un stimulus. La perception d'une situation fait appel à la fois aux sens, à l'esprit, aux idées, à l'instant et au temps. Perception sensorielle[modifier | modifier le code] Mesure de la perception sensorielle[modifier | modifier le code] Les phénomènes perceptifs ne possèdent pas d'échelle de mesure continue. Related:  Sciences cognitives

Éliminativisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Nos croyances modernes en l'existence des phénomènes mentaux seraient tout aussi obsolètes que les anciennes croyances astronomiques L'Éliminativisme (ou matérialisme éliminativiste) est, en philosophie de l'esprit, la thèse — portant sur les entités et le vocabulaire mentaux —, selon laquelle la compréhension du mental par le sens-commun (ou dans une théorie psychologique du sens-commun) est une conception entièrement erronée sur laquelle ne peut reposer aucune recherche scientifique. Origines[modifier | modifier le code] On trouve les premiers développements de l'éliminativisme dans les écrits de Wilfrid Sellars, W.V. « Is physicalism a repudiation of mental objects after all, or a theory of them ? Actuellement, l'éliminativisme est représenté principalement par Patricia et Paul Churchland, qui nient l'existence de bon nombre de phénomènes mentaux, tels que les croyances, les désirs, les états intentionnels, la conscience et les qualia.

Multimodal integration Multisensory integration, also known as multimodal integration, is the study of how information from the different sensory modalities, such as sight, sound, touch, smell, self-motion and taste, may be integrated by the nervous system.[1] A coherent representation of objects combining modalities enables us to have meaningful perceptual experiences. Indeed, multisensory integration is central to adaptive behavior because it allows us to perceive a world of coherent perceptual entities.[2] Multisensory integration also deals with how different sensory modalities interact with one another and alter each other’s processing. General introduction[edit] Multi-modal perception is a scientific term that describes how humans form coherent, valid, and robust perception by processing sensory stimuli from various modalities. Stimuli and sensory modalities[edit] There are four attributes of stimulus: modality, intensity, location, and duration. Binding problem[edit] History[edit] Visual dominance[edit]

Retour ACCUEIL     Retour ANTHRO (Résultats de l’expérience intérieure conduite selon les méthodes de la science naturelle) GA 4 - Par Rudolf Steiner, 1894 ©1923 Editions Alice Sauerwein. – F-Paris - 301 pages (traduit par Germaine Claretie) … Les sujets qui ont été traités dans ce livre se ramènent deux questions primordiales concernant la vie de l’âme humaine. La première est celle-ci : Est-il possible de se former de l’être humain une conception qui permette de fonder sur lui, comme sur un point d’appui inébranlable, les données diverses de l’expérience de la science ?... Le doute et le jugement critique les relèguent dans… l’incertitude. Quand à la seconde question, nous la formulerons ainsi : L’homme, en sa qualité d’être volontaire, a-t-il le droit de s’attribuer la liberté, ou bien cette liberté n’est-elle qu’une pure illusion, due à ce que l’homme ignore les liens par lesquels la nécessité enchaîne sa volonté comme elle enchaîne tous les phénomènes naturels ?... I. II. p. 1/9 - La philosophie de la liberté IV.

Attitude Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page d’homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom. Sur les autres projets Wikimedia : attitude, sur le Wiktionnaire Portail:Psychologie Les travaux de la Salpêtrière introduisent également une nouvelle vision des phénomènes hystériques. Charcot ne considère plus les malades hystériques comme des simulatrices et découvre, à la surprise générale, que l'hystérie n'est pas le privilège des femmes. Enfin, Charcot rattache l'hystérie aux phénomènes de paralysies post-traumatiques, établissant les bases d'une théorie du traumatisme psychique. Au terme des polémiques qui l'opposent à Hippolyte Bernheim et aux autres membres de l'École de Nancy, Charcot est accusé d'avoir opéré à la manière d'un montreur de foire, dressant ses patientes aux comportements théâtraux qu'il rapporte à l'hypnose. Après sa mort en 1893, la pratique de l'hypnotisme décline dans les milieux médicaux et se voit frappée d'interdit par les fondateurs de la psychologie expérimentale et de la psychanalyse.

Gestalt psychology Gestalt psychology or gestaltism (German: Gestalt – "shape or form") is a theory of mind of the Berlin School. The central principle of gestalt psychology is that the mind forms a global whole with self-organizing tendencies. This principle maintains that the human mind considers objects in their entirety before, or in parallel with, perception of their individual parts; suggesting the whole is other than the sum of its parts. Gestalt psychology tries to understand the laws of our ability to acquire and maintain meaningful perceptions in an apparently chaotic world. In the domain of perception, Gestalt psychologists stipulate that perceptions are the products of complex interactions among various stimuli. Origins[edit] Both von Ehrenfels and Edmund Husserl seem to have been inspired by Mach's work Beiträge zur Analyse der Empfindungen (Contributions to the Analysis of Sensations, 1886), in formulating their very similar concepts of gestalt and figural moment, respectively. Reification

La perception Descartes et Platon ont-ils raison de manifester une telle méfiance vis-à-vis de la perception ? Si nos sens nous trompent « quelques fois » comme le constate Descartes, est-ce suffisant pour en récuser définitivement la fiabilité ? Pour Aristote, qui a suivi l’enseignement de Platon pendant 17 ans, il n’y a pas d’idée dans notre esprit qui ne trouve son origine dans nos sens. Quant à Descartes, les empiristes lui ont constamment contesté sa théorie des idées innées : toute connaissance a son origine dans l’expérience, disent-ils à leur tour, donc, en dernier ressort, dans la perception. Pour sortir de ce dilemme, il est bon de consulter des sciences qui n’existaient pas encore à l’époque de Descartes. C’est cette manière même d’aborder le problème qui sera contestée par une autre école allemande, au début du 20ème siècle : la psychologie de la Forme ou Gestalt. Marché d'esclaves avec apparition du buste invisible de Voltaire - 1940

Émotion Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une taxonomie non-définitive des émotions existe. Certaines catégorisations incluent : Il faut distinguer, entre l'émotion et les résultats d'émotions, principalement les expressions et les comportements émotionnels. Chaque individu agit (réagit) généralement d'une manière déterminée par son état émotionnel, sa réponse se situant généralement dans l'un des axes combattre - fuir - subir (pleurs, voire rire). Définition générale[modifier | modifier le code] Huit types d'émotions tirées d'un manga, incluant (de gauche à droite) : neutralité, euphorie, joie, tristesse, férocité, déception, gêne et perplexité. L'un des premiers traités sur les émotions est dû au philosophe René Descartes. Une émotion est une réaction psychologique et physique à une situation. Difficulté de définition[modifier | modifier le code] Émotions, perspective évolutionniste[modifier | modifier le code] Les émotions seraient un héritage de nos ancêtres.

Béhaviorisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le béhaviorisme ou comportementalisme est une approche psychologique qui consiste à se concentrer sur le comportement observable[1] déterminé par l'environnement et l'histoire des interactions de l'individu avec son milieu[2]. Par exemple, l'apprentissage y est décrit comme une modification du comportement observable, due à la modification de la force avec laquelle une réponse est associée à des stimuli extérieurs (environnement externe) ou à des stimuli intérieurs (environnement interne) sur l'organisme. Étymologie[modifier | modifier le code] « Béhaviorisme » provient du mot anglais « behavior » (orthographe américaine) qui signifie « comportement ». Histoire du béhaviorisme[modifier | modifier le code] En effet, dans les années 1940 et 1950, Burrhus F. L'expérience de Skinner[modifier | modifier le code] Renforcement positif : Stimulus « Le rat est dans la cage » Réponse (comportement) « Le rat appuie sur le levier » Renforcement négatif : Exemple

Snoezelen Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le snoezelen est une stimulation multisensorielle contrôlée, une pratique visant à éveiller la sensorialité de la personne stimulée, dans une ambiance sécurisante. Définition[modifier | modifier le code] Principes de base[modifier | modifier le code] Le snoezelen est une pratique non-directive. La pratique du snoezelen est avant-tout une affaire de savoir-être sensoriel de la part de la personne stimulante envers la personne stimulée. Les deux pôles[modifier | modifier le code] Pratique dans un contexte thérapeutique[modifier | modifier le code] Le snoezelen est connu pour ses effets positifs sur les personnes atteintes de handicaps mentaux sévères. Outre les personnes atteintes d'autisme, le snoezelen est aussi utilisé avec des patients atteints de handicaps lourds. Pratique en gériatrie[modifier | modifier le code] Une des caractéristiques de la personne âgée, c'est sa distanciation progressive du monde réel.

Représentation — Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La représentation désigne étymologiquement « l'action de replacer devant les yeux de quelqu'un »[1]. La représentation apparaît d'abord comme une présentification : il s'agit de rendre quelque chose d'absent présent (penser à une table fait apparaître en esprit une table). La fonction de vicariance tend à faire de la représentation le substitut habituel de la chose représentée. Cette notion d'origine latine garde tout son sens étymologique mais revêt des acceptions sensiblement distinctes suivant le contexte dans lequel elle est utilisée. Représentation du monde[modifier | modifier le code] Sujet d'étude de la philosophie, la représentation y est décrite comme une idée incomplète et provisoire de ce qu'est la vérité sur un objet donné. Modes de représentation[modifier | modifier le code] Par l'action[modifier | modifier le code] Par le graphisme et l'image[modifier | modifier le code] Par l'abstraction[modifier | modifier le code]

Comportement Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme « comportement » désigne les actions d'un être vivant. Il a été introduit en psychologie française en 1908 par Henri Piéron comme équivalent français de l'anglais-américain behavior. On l'utilise notamment en éthologie (humaine et animale) ou en psychologie scientifique. Généralités[modifier | modifier le code] Le comportement est la partie de son activité qui se manifeste à un observateur. Définitions existantes[modifier | modifier le code] Ci-dessous, quelques définitions du concept de "comportement", extraites de la littérature scientifique actuelle : On observe que ces différentes définitions ne désignent pas tout à fait la même chose, vraisemblablement parce qu'elles ont été définies à partir d'une position externe par rapport à l'objet étudié, et que leurs auteurs proviennent de différents domaines scientifiques. Problématique centrale du concept[modifier | modifier le code] Définition synthétique[modifier | modifier le code]

Sciences cognitives Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les six disciplines scientifiques constituant les sciences cognitives et leurs liens interdisciplinaires, par l'un des pères fondateurs du domaine, G. A. Miller[1]. En France, où la tradition disciplinaire est forte, la question de leur statut entre en résonance avec des problématiques liées à la structuration de la recherche. à une science fondamentale, dite science de la cognition, dont les spécialistes, parfois appelés cogniticiens[3], sont réunis en sociétés savantes et publient dans des revues scientifiques internationales transdisciplinaires.à un secteur applicatif industriel du domaine de l'ingénierie de la connaissance : la cognitique. Il est à noter que le singulier cognitive science est d'usage courant dans les pays anglophones. Histoire des sciences cognitives[modifier | modifier le code] Il est d'usage de dater la naissance des sciences cognitives de 1956. Disciplines[modifier | modifier le code] Mémoire[modifier | modifier le code]

Le Mantra de « l’Adieu aux Douzièmes dans les écoles Steiner-Waldorf | «La Vérité sur les écoles Steiner-Waldorf La fin de la scolarité dans une école Steiner-Waldorf est marquée par une impressionnante cérémonie : « l’Adieu aux douzièmes« . A première vue, il s’agit juste d’une sorte de moment collectif où les élèves d’une promotion qui est arrivée à la fin du dernier « cycle » sont rassemblés pour recevoir l’au-revoir de leurs professeurs. Parfois, cette cérémonie a lieu en présence de toute l’école rassemblée, parfois seulement avec les élèves concernés et le Collège de tous les professeurs, réuni pour l’occasion. Je me souviens encore de cette cérémonie lorsque arriva le moment de partir de la Libre École Rudolf Steiner de Verrières-le-Buisson. Nous étions rassemblés dans la salle où se réunissent habituellement les professeurs. Ceux-ci formaient autour de nous un cercle. Puis vint le moment solennel où nous fut remis à chacun une carte. « Que se reflète sur les vastes chemins de la vie Ce qui a pénétré le cœur au cours des années de jeunesse Comme un sceau essentiel d’humanité. Rudolf Steiner

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