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Obésité infantile - Inpes

Obésité infantile - Inpes
L’obésité et le surpoids concernent respectivement 3,5 % et 4,5 % des enfants, le double par rapport à une dizaine d’année, même si ce chiffre semble se stabiliser. Pour aider les professionnels concernés dans leur pratique de dépistage et en complémentarité avec la recommandation professionnelle de la HAS sur la prise en charge, l’Inpes édite plusieurs documents. La prévalence de l’obésité et du surpoids chez les enfants et les adolescents a fortement augmenté entre les années 1980 et 2000 en France comme dans la majorité des pays industrialisés (Afssa, 2008). Une prévention pertinente Les recommandations de bonne pratique de la Haute Autorité de santé réactualisées en 2011 rappellent ainsi aux professionnels l'importance d'un suivi de l'IMC et de la courbe de poids chez l'enfant et l'adolescent. L’Inpes a aussi publié un dépliant qui synthétise les recommandations du Plan national nutrition-santé pour les enfants et les adolescents. Pour en savoir plus

Le petit-déjeuner équilibré aiguise l'appétit des collégiens Magali Antona, infirmière scolaire, a convié jeudi dernier au collège Laure-Sendrès, diététicienne à l'Institut régional d'éducation et de promotion de la santé de Poitou-Charentes. Les sixièmes l'ont écouté attentivement. Vendredi matin, ils ont mis cet enseignement diététique en pratique en dévorant à pleine dent un petit-déjeuner équilibré proposé au restaurant scolaire par le chef cuisinier Philippe Fédix. Beaucoup se sont levés avant 7 heures et ont zappé le petit-déjeuner familial. «On voulait être certaines d'avoir faim en arrivant au collège», justifie un groupe de filles. «Quatre types d'aliments sont importants le matin: les féculents, les produits laitiers, les fruits et légumes, les boissons comme le lait ou les jus de fruit», explique la diététicienne. Laure Sendrès est intervenue une heure dans chacune des trois classes de sixième.

AFERO - Association Française d'Etude et de Recherche sur l'Obesité Le programme SCOPE constitue un projet conjoint des associations internationale et européenne d'étude de l'obésité. Son but est de proposer une approche cohérente de la prise en charge de l'obésité. Les objectifs de ce programme sont : Reconnaître des experts dans le traitement des personnes en surpoids ou obèses et créer ainsi un registre de membres du programme SCOPE ;Augmenter la qualité des programmes d'enseignements concernant l'obésité en développant des événements de formation professionnelle et un système de cours on-line* en complément des activités nationales existantes ;Améliorer la prise en charge (prévention et traitement) des patients en surpoids et obèses. *La traduction en français de ce programme par des experts de l'AFERO est en cours. Site Internet : www.scope-online.org/index.htm

Paul-Savage-Anzman-Frasca-BirchFRxp1.pdf Prévention du surpoids et l’obésité : Les recommandations de la HAS - Plan obésité - Dossiers Afin de prévenir le surpoids et l’obésité, les recommandations pour la prise en charge médicale de l’obésité et surpoids datant de 1998 ont été actualisées. Elles ont été présentées par la HAS le jeudi 6 octobre dernier. La prise en charge initiale et le suivi du sujet en surpoids ou obèse relevant de la médecine de premier recours, deux recommandations de bonnes pratiques (sur l’adulte et sur l’enfant) sont donc à présent publiées à l’attention des médecins généralistes et pédiatres. Les principaux axes de ces recommandations sont les suivantes : un changement durable des habitudes plutôt que la recherche de la perte de poids à tout prix un accompagnement diététique et un suivi régulier l’augmentation de l’activité physique, et pas uniquement du sport un accompagnement psychologique la non recommandation de l’usage des médicaments. Pour plus d’informations, consultez le site de la Haute Autorité de Santé (HAS)

Obésité infantile : le comportement alimentaire n'explique pas tout Obésité infantile : le comportement alimentaire n'explique pas tout © Digital Vision Alors qu'est organisée en France ce dimanche la journée nationale de dépistage de l’obésité infantile, le docteur Jean-Michel Borys, endocrinologue, nutritionniste et codirecteur du programme Epode (Ensemble, prévenons l’obésité des enfants) revient sur les causes de cette épidémie pour laquelle il n'existe pour l’heure aucun traitement thérapeutique. Eclairage. Terrafemina : A quel moment considère-t-on qu’un enfant n’est plus en surpoids mais est obèse ? Jean-Michel Borys : C’est l’indice de masse corporelle (IMC) qui permet de déterminer le seuil de l’obésité. TF. : Vous dirigez le programme Epode. J-M. TF. : Comment expliquez cette soudaine mobilisation contre l’obésité ? J-M. TF. : La malbouffe est régulièrement pointée du doigt comme principale responsable de l’obésité ? J-M. TF. : L’obésité infantile semble être devenue un enjeu de santé publique. J-M. J-M. TF. : Un conseil aux parents ? J-M.

agriculture.gouv.fr/IMG/pdf/avis_cna_54.pdf Epifane - Etude nationale 2011-2013 / 2011 / Maladies chroniques et traumatismes / Rapports et synthèses / Publications et outils L'importance de l'alimentation dans la petite enfance a été largement démontrée en ce qui concerne la morbidité qui lui est associée, tant à court terme qu'à long terme. Depuis la naissance, la période d'alimentation exclusivement lactée, suivie par celle de l'introduction d'autres aliments pour atteindre une diversification adaptée aux besoins nutritionnels du jeune enfant, semble impliquée dans les risques d'infections, d'allergie ou encore de certaines maladies chroniques telles que le diabète. Le bénéfice de l'allaitement maternel pour la prévention du cancer du sein chez les mères a aussi été souligné dans le cadre du rapport 2007 du World Cancer Research Fund (WCRF). En France, des recommandations ont été diffusées par la Haute autorité de santé et dans le cadre du Programme national nutrition santé (PNNS).

Les données sur l'obésité et le surpoids en France Selon la 6e édition de l'étude trisannuelle ObEpi-Roche, l'obésité touche, en 2012, 15 % de la population adulte, correspondant à un peu plus de 6,9 millions d'obèses, soit environ 3,3 millions de plus qu'en 1997. Selon la 6e édition de l'étude trisannuelle ObEpi-Roche, l'obésité touche, en 2012, 15 % de la population adulte, correspondant à un peu plus de 6,9 millions d'obèses, soit environ 3,3 millions de plus qu'en 1997. >> Lire aussi : Obésité, un facteur social de plus en plus marqué >> Lire également l'interview de Catherine Grangeard, psychologue et psychanalyste : "L'alimentation peut révéler des blessures" >> "Nous dînons en famille et cela n'a pas de prix", compte-rendu de notre appel à témoignage en direction des 15-25 ans L'enquête ObEpi-Roche a été réalisée, en collaboration avec l'Inserm, l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière et Kantar Health, auprès de plus de 25 000 personnes âgées de plus de 18 ans en France. Vue globale Evolution de l'obésité Source : ObEpi-Roche 2012

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