http://www.youtube.com/watch?v=PIdhbzj_41E
Related: Biais cognitifs, bulles, et filtres informationnels • Biais cognitifs et neuromythes • Neurosciences • InfoxBiais cognitifs : la fabrique des histoires En cette période de « post-vérité », pourquoi est-il si difficile de ré-implémenter de la raison dans notre approche de l’information, démultipliée par les réseaux que nous fréquentons de plus en plus assidûment, peut-être parce que nous sommes, dans ce bombardement informatif, de plus en plus victimes de nous-mêmes, à savoir de nos biais cognitifs et que les pourvoyeurs de fake news jouent, consciemment ou non, sur ces distorsions intérieures qui déforment notre perception du réel. C’est pourquoi nous vous proposons, aujourd’hui, un petit guide pratique pour réapprendre à penser contre soi. Biais cognitifs : la fabrique des histoires : c’est le programme inhibiteur qui est le nôtre pour l’heure qui vient. Penser "vraiment", c'est penser contre soi. Le reportage du jour Wim de Neys dirige le projet Diagnor au sein du Laboratoire de Psychologie du Développement et de l'Éducation de l'Enfant, rattaché à l’Université Paris-Descartes. Écouter 7 min Pour aller plus loin Tous racistes ?
RACCOURCIS ET ALGORITHMES Raccourcis mentaux Texte: Camille Lopez Outil: Alexandre Chenette Les raccourcis mentaux que nous empruntons pour traiter l’information contribuent grandement à la crise de la désinformation. Les reconnaître fait partie de la solution. Biais de confirmation Effet de Halo Biais de popularité Biais de normalité Biais émotionnel monurl.ca/asp Cliquez sur les éléments pour en apprendre davantage... LE BIAIS DE CONFIRMATIONLe biais de confirmation nous pousse à favoriser l’information qui confirme nos croyances. L'EFFET DE HALOL’effet de halo fait en sorte que nous avons tendance àtirer des conclusions sur une personne sur la base d'une seule de ses caractéristiques ou qualités.Par exemple, si nous trouvons qu’une personne est belle ou qu’elle a succès, on aura tendance à penser qu’elle est une bonne personne ou à donner plus de poids à son opinion. LE BIAIS DE POPULARITÉLe biais de popularité se manifeste quand on croit une affirmation parce qu’un grand nombre de personnes la considère comme vraie.
Valider l’information, à la lumière des neurosciences et de la démarche scientifique Suis-je maître de mon cheminement vers l’information? En tant que professeurs-documentalistes soucieux de former nos élèves à la notion de fiabilité, les Sciences de l’Information nous ont apporté des méthodologies afin d’établir la qualité et la véracité d’une information. Ces méthodologies nous ont permis de traiter avec eux les modalités de la recherche documentaire, à évaluer les sites canulars, les infox et autres éléments informationnels qui circulent, à reconnaître l’autorité d’un site par rapport à ceux qui seraient moins sérieux, à observer les algorithmes de recherche et les résultats de nos requêtes. Pourquoi repenser son rapport à l’information ? 1. 2. 3. 4. 5. L’expertise du professeur-documentaliste sur ces enjeux est primordiale. 1. Education et discours pseudo-scientifiques : Plusieurs études, par le passé, ont montré que les enseignants avaient un niveau de croyance au paranormal et aux pseudosciences supérieur à la moyenne française (H. Ces distorsions peuvent être : 2.
La philo pour enfants d’un seul regard Si on veut conduire les enfants à mieux penser (pas seulement plus, mais mieux), si on accepte l’idée que l’objectif de l’éducation est de rendre les enfants capables de penser par et pour eux-mêmes, alors il importe qu’ils s’engagent personnellement dans l’acte de penser et construisent ainsi, avec le temps et la répétition, la puissance de produire eux-mêmes les résultats. Comme on apprend à marcher en marchant, on apprend à penser en pensant. Dans les deux cas, ce qui est central, c’est le mouvement. Un mouvement, disait Lipman (père de la philo pour enfants), ressemblant à celui du voilier qui, naviguant d’une rive à l’autre, progresse vers sa destination finale.
Them@ctu #7 Pour sensibiliser le grand public aux dangers de la désinformation, des chercheurs en psychologie de l'université de Cambridge ont imaginé un jeu sérieux à la croisée du jeu de rôle et du jeu de société. Le jeu, en anglais, vous invite à endosser le rôle de "chef de la désinformation". Votre mission ? Semer le trouble lors des élections d'une petite ville paisible. La partie se déroule en quatre manches. Ce jeu n'est pas s'en rappeler Go Viral ! "Le jeu en lui-même est rapide, facile et ironique mais l'apprentissage par l'expérience qui le sous-tend signifie que les gens sont plus susceptibles de repérer les fausses informations et moins susceptibles de les partager, la prochaine fois qu'ils se connecteront à Facebook ou YouTube" Citation : Dr Jon Roozenbeek, psychologue à Cambridge et auteur principal de cette étude. Pour une séance à mener en collaboration EMI - Anglais Décrypter l'information : jeu info/infox Un atelier info vs infox bien ficelé Le jeu des 52 cartes UX des biais cognitifs
Détecter les biais cognitifs liés à l’environnement - CLEMI Notre cerveau crée des automatismes (heuristiques) qui peuvent induire des erreurs (biais cognitifs) liées à nos sens, notre attention, notre mémoire et notre raisonnement. Face à une situation complexe, il est attiré par des explications intuitives qui s’adaptent à ses croyances (pour mieux comprendre ces mécanismes, se reporter aux ressources). En prendre conscience peut aider l’élève à interroger son rapport à l’information, notamment médiatique, pour gagner en discernement et agir en citoyen éclairé. Cette activité propose de cerner les biais inhérents au traitement médiatique de l’environnement. Déroulement Expliquer l’objectif Explorer les biais du cerveau qui peuvent empêcher de bien informer/s’informer sur les enjeux environnementaux et freinent une action écologique. Découverte des biais cognitifs Découvrir que le cerveau fonctionne par approximation ou intuition pour réagir vite dans un environnement ; mais que cela peut induire des erreurs dans certains cas (biais cognitifs). 1.
#14 Les neurosciences à l'école : une révolution? Depuis quelques années le mot neuroéducation résonne comme une promesse : les neurosciences permettraient enfin de comprendre le cerveau des élèves, et d’améliorer leurs apprentissages. Bien représentées au Conseil Scientifique de l’Education Nationale présidé par Stanislas Dehaene, les neurosciences pour l’éducation ou la neuroéducation se développe aussi dans des diplômes universitaires, des colloques, des formations et fascinent les médias. Mais ces travaux créent aussi la controverse, certaines critiques accusent les neurosciences de réduire l’enfant à un objet biologique, à un cerveau sur pattes, d’autres remettent en question la validité de ces méthodes pour évaluer véritablement les apprentissages des élèves. Alors pourquoi les neurosciences fascinent tant et sont elles utiles pour aider les élèves à mieux apprendre ? la naissance d'une science de l'apprentissage (OCDE, 2007) ? Alors les neurosciences vont-elles révolutionner l’éducation ? Des Neuromythes QUI PERDURENT
Un tableau pour comprendre les comportements inappropriés des enfants Je vous propose un tableau pour comprendre les comportements inappropriés des enfants, basés sur l’approche de la discipline positive. Savoir identifier l’objectif caché derrière le comportement inapproprié d’un enfant peut se révéler utile pour en comprendre les causes et y répondre au mieux. La discipline positive parle d’objectifs mirages, au nombre de quatre. Les objectifs mirages sont des buts vers lesquels les enfants tendent inconsciemment quand ils se sentent découragés. Objectif mirage n°1 : accaparer l’attentionObjectif mirage n°2 : prendre le pouvoirObjectif mirage n°3 : prendre une revancheObjectif mirage n°4 : confirmer sa croyance d’incapacité La discipline positive propose de décoder les objectifs mirages des enfants derrière leurs comportements que nous estimons inappropriés à partir de nos propres émotions face à ces comportements : Le tableau ci-dessous permet ensuite de savoir quoi faire pour accompagner les enfants avec bienveillance, même (et surtout !)
Parution du second volet de la lettre ÉduNum thématique sur la malinformation Évolution des CDI : des démarches pédagogiques pour développer les compétences... Le cadre de référence des compétences numériques, Pix et le professeur... Continuité pédagogique pour les professeurs documentalistes Les réseaux académiques en documentation L’hybridation en documentation - Académie de Lille Lettre ÉduNum Documentation Créer un projet en sciences numériques et technologie Continuité pédagogique en arts plastiques Nation apprenante : les cours Lumni arts - histoire - sciences et technologie... Dominique Cardon : « Ce ne sont pas les réseaux sociaux qui ont créé des bulles informationnelles » La menace de la désinformation en ligne est largement médiatisée depuis l’élection de Donald Trump, en 2016. Le gouvernement porte même deux projets de loi controversés pour lutter contre ce phénomène, notamment en période électorale. Les fausses informations qui circulent en ligne sont-elles vraiment un risque de premier plan pour les démocraties ? Les médias traditionnels sont-ils réellement menacés par la concurrence des sites ultrapartisans ? Entretien avec le sociologue Dominique Cardon, directeur du Médialab de Sciences Po. Comment expliquez-vous le recul des sites de désinformation observé depuis plusieurs mois, selon les données analysées par Les Décodeurs du « Monde » ? Parmi les explications possibles, on peut faire l’hypothèse qu’il y a une forme d’apprentissage collectif qui se met progressivement en place. Selon vous, les médias ont-ils accordé trop d’importance à la menace des fausses informations ? « C’est un vieux mythe de l’Internet que d’annoncer la fin du journalisme »
Biais cognitifs : quand notre cerveau nous joue des tours - KnowledgeOne Nous sommes tous assez familiers avec le phénomène d’illusions d’optique, mais moins avec celui des biais cognitifs. Pourtant, ces distorsions perceptives qui sont à notre mental ce que les illusions d’optique sont à notre système visuel nous incitent au quotidien à porter des jugements erronés ou à prendre de mauvaises décisions… Ces raccourcis de l’esprit qui permettent au cerveau de simplifier le traitement de l’information sont inévitables, mais on peut apprendre à mieux les détecter, en commençant par en avoir une meilleure connaissance. À vos méninges Je vous invite d’entrée de jeu à répondre spontanément à la devinette qui suit : « Je suis la sœur de deux athlètes olympiques. Vous pouvez aller voir la solution qui se trouve plus loin dans l’article. Les dessous des biais cognitifs Tel que nous l’expliquons dans l’article Les 3 vitesses de la pensée, lorsque ces pensées intuitives nous induisent en erreur, on les qualifie de « biais cognitifs ». Un échantillon L’excès de confiance.
Pourquoi notre cerveau a besoin de silence ? Chaque année, 10 000 morts prématurées en Europe sont associées au bruit. Deux minutes de silence par jour suffisent à ralentir les battements cardiaques. Avec Michel Le Van Quyen, analyse des besoins du cerveau en silence pour sa régénération. Le neuroscientifique Michel Le Van Quyen était l’invité de La Tête au carré pour parler du pouvoir du silence. Suite à une paralysie faciale, le chercheur se fait arrêter. C’est ainsi qu’il prend conscience du besoin de silence du cerveau et se consacre à l’écriture de son nouveau livre Cerveau et silence. Évacuer les toxines et se régénérer Quand le cerveau fonctionne à plein régime, il consomme beaucoup de glucose. La manière dont le cerveau évacue les toxines a été découverte en 2012 par la chercheuse américaine Maiken Nedergaard. Cellules qui par le biais du liquide cephalo-rachidien évacuent ces fameuses toxines. Une "douche" du cerveau très importante en particulier dans le cas de la maladie d’Alzheimer. Se concentrer et se construire
Méfiance : cette vidéo de Mars avec du son ne vient pas de Perseverance Une très belle vidéo avec du son, publiée sur Twitter le 18 février, montre la planète Mars en couleur. Attention : il ne s'agit pas des premières images de Perseverance sur Mars, mais d'une animation d'un panorama immortalisé par le rover Curiosity en 2019. Et ce dernier n'a pas de micro pour enregistrer de son. Vous avez peut-être vu une vidéo beaucoup tourner sur les réseaux sociaux, depuis le 18 février 2021. La vidéo est bluffante : il s’agit d’un panorama qui balaie de droite à gauche la surface de Mars, du point de vue d’un rover, et en couleur. Mais attention, cette image n’a pas été prise par le robot Perseverance, contrairement à ce que beaucoup d’internautes peuvent être tentés de croire. Amazing Mars (Sound On 🔊) pic.twitter.com/6ZGc6bLBrN— Science Club (@IrfanKh65232660) February 18, 2021 Une animation d’un panorama pris par Curiosity en 2019 Alors, d’où vient cette vidéo ? Ce panorama a encore, à ce jour, de la plus haute définition d’une image prise sur Mars.
Les algorithmes – Outil Ultime cookie barfermer Ce site utilise des cookies pour améliorer l'expérience de navigation et fournir des fonctionnalités supplémentaires. Ces données ne seront pas utilisées pour vous identifier ou vous contacter. Ce site utilise des cookies de tiers. Vous pouvez en savoir plus dans la politique de confidentialité. En cliquant sur le bouton Autoriser les cookies, ou en faisant défiler la page, vous consentez à ce que ce site sauvegarde quelques petits blocs de données sur votre ordinateur. En cliquant sur le bouton Ne pas autoriser les cookies vous refusez votre consentement, éliminant tous les cookies et les données localStorage déjà présents (certaines parties du site peuvent cesser de fonctionner correctement). Pour en savoir plus sur les cookies et le localStorage, visitez le site de la Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés. Pour désactiver tous les cookies dans votre navigateur, cliquez sur l'icône correspondante et suivez les instructions :