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Etes-vous nomophobe?

Etes-vous nomophobe?
La nomophobie? C’est une nouvelle «maladie», ou au moins déviance, dont le diagnostic est le suivant: souffrir de ne pas avoir son téléphone portable à portée de main. Une enquête britannique très sérieuse, reprise par le Los Angeles Times, vient de révéler, en effet, que 66% des personnes interrogées reconnaissaient être nomophobes, c’est-à-dire craindre de perdre leur mobile ou de le voir trop loin d’eux. Il y a quatre ans, le même sondage avait enregistré un taux de seulement 53%. Dans le détail, les femmes s’avéreraient plus nomophobes (70%) que les hommes (61%) sachant que les 18-24 ans seraient les plus sérieusement atteints avec un total de 77% devant les 25-34 ans (68%). Selon le site allaboutconselling.com, la nomophobie peut se traduire par des attaques de panique, une respiration qui deviendrait courte, des nausées, des tremblements ou un rythme cardiaque accéléré. Comment en guérir? Photo: Le nouveau Windows Phone, octobre 2010.REUTERS/Jessica Rinaldi publicité Devenez fan sur

Comment devient-on accro au numérique ? Atlantico : Portables, tablettes, ordinateurs, les nouvelles technologies nous entourent. Elles sont partout : au bureau, à la maison, dans les magasins… Nous en avons tous un usage régulier, à partir de quel moment pouvons-être considérés comme addicts aux nouvelles technologies ? Comment cette addiction se traduit-elle au quotidien ? Michael Stora : Cela ne se traduit pas tant en terme d’heures passées sur les nouvelles technologies qu’en termes de rupture des liens sociaux réels. L’addiction se manifeste par un décrochage de la vie sociale : refus de participer à des repas de famille, moins de sorties en couple, abandon de ses responsabilités de parent... Pour les enfants cela commence par l’absence de présence au repas du soir et cela peut aller jusqu’à la déscolarisation. Les nouvelles technologies mettent la vie sociale au second plan petit à petit. Pour lire les autres épisodes de notre série de la semaine sur les Nouvelles addictions, consultez notre dossier : ici. Je m'abonne

Quelques articles de vulgarisation mais qui sont intéressants... Lost memories Des blogs portant, plus ou moins,  sur les addictions... Des articles, trouvés chez des tiers, portant sur de... Des articles intéressants sur le sujet, par ordre croissant... (20+) Cyberdépendance : un enjeu en ligne de mire Vingt-cinq millions de Français jouent aux jeux vidéo. Et selon un rapport sur la cyberdépendance, rédigé en 2008 par deux députés UMP, entre 600 000 et 800 000 personnes (adultes ou jeunes) seraient victimes d’une «conduite addictive». Fiable ? Préoccupant ? Assez pour que le phénomène fasse l’objet d’une conférence-débat à la Sorbonne mardi soir, organisé par l’Union régionale des associations familiales (Uraf) et des rectorats d’Ile-de-France, en présence d’un spécialiste de la question, le psychiatre et médecin chef à l’hôpital Marmottan, Marc Valleur. Thème de la discussion : «Dépendance aux écrans. Dépendance et pas addiction. «Le problème de la dépendance aux jeux en ligne est certes préoccupant, explique Olivier Gérard, de l’Union nationale des associations familiales, mais moins que celui de l’addiction aux drogues ou à l’alcool.» Victor Matet

Journée sans téléphone mobile, et si on décrochait? Jeux vidéos: entre nouvelle culture et séductions de la "dyade numérique" Réalité virtuelle et incarnation numérique L’étude des figures héroïques d’une culture dévoile ses fondements imaginaires. Dans cette perspective, l’étude du phénomène de l’héroïsation dans les jeux vidéo est instructive. Tout commence par une connexion. Le sujet, le plus souvent un jeune adolescent, ouvre une session sur un jeu vidéo en ligne à monde persistant (un mmorpg) [1][1] Acronyme de l’expression « Massively Multiplayer Online..., choisit son avatar, une figurine virtuelle dont il va diriger les actions par des interfaces de commande, puis pénètre dans un univers constitué d’objets virtuels. Parfois ce sont des géographies imaginaires aux paysages flamboyants, parfois ce sont des simulations d’univers réels. À l’intérieur de ces mondes virtuels, le sujet va rencontrer par la médiation de son avatar d’autres sujets représentés par d’autres avatars. Les scénarios des jeux vidéo sont souvent décriés pour leur simplisme. Une troisième caractéristique intéressante des jeux vidéo est celle du combat.

Dépendance au jeu vidéo Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes »(février 2013). Améliorez sa vérifiabilité en les associant par des références à l'aide d'appels de notes. La dépendance au jeu vidéo désigne un éventuel trouble psychologique caractérisant un besoin irrésistible et obsessionnel de jouer à un jeu vidéo. Elle est reconnue depuis le 18 juin 2018 comme maladie par l'OMS. Définition par l'établissement d'une relation de « dépendance »[modifier | modifier le code] En mars 2012, l'Académie nationale de Médecine considère préférable de parler de « pratique excessive » plutôt que d' "addiction" aux jeux vidéo et avance deux raisons[1],[2] : Plus récemment, des auteurs, revenant à des travaux pourtant anciens sur l'addiction, en viennent à considérer comme centrale le phénomène de rencontre entre un individu et un support potentiel à l'addiction.

Serge Tisseron Posté par Serge TISSERON le 7 avril 2014. La revue Canard PC a consacré récemment un numéro à la question de l’addiction aux jeux vidéo, bien évidemment titré « Tous addicts ? ». Les addictions sans substances L’idée qu’il puisse exister une addiction aux jeux vidéo est inséparable de la définition qu’Aviel Goodman a donné, au début des années 1990, de ce qu’il a appelé « les addictions sans substance ». Des arguments cliniques et biologiques contre le modèle de l’addiction Mais pourquoi la communauté internationale a-t-elle renoncé à parler d’addiction aux jeux vidéo ? Addiction ou toxicité ? Toutes ces raisons incitent à établir une distinction nette entre toxicité et addiction. Des interactions sensori motrices et des interactions narratives Revenons aux jeux vidéo.

Bonjour,
J'ai beaucoup aimé cet article, et tout particulièrement l'idée qu'il m'a donnée : tenter l'expérience!!! Je réalise alors que je réfléchis au "bon moment" pour tenter cette expérience; preuve que je ne suis pas du tout prête à le faire. Je suis nomophobe!
Cordialement,
Jeanne Gautier-Bouillaud by gautierbouillaud_groupee_psy Mar 6

Bonjour, à travers mes recherches avec le moteur de recherche Google sur la cyberdépendance, je n'étais pas tombée sur cette addiction appelée" nomophobie "; addiction liée à la relation téléphone/utilisateur qui se traduit par la peur excessive d'être séparé de son téléphone mobile. Merci pour cette perle, je partage. Cordialement.Peggy by desplains_groupe5_psy Apr 10

Je ne connaissais pas la "nomophobie". Merci de partager vos connaissances. Bien cordialement. Cindy by petitprez_groupe4_psy Apr 8

Merci de partager avec nous cet article qui nous fait découvrir cette nouvelle phobie qui apparaît au sein de nombreux articles sur internet. Je ne connaissais pas du tout. by vassy_groupe4_psy Apr 7

Chiffres effrayants mais qui n'étonnent plus. Encore une nouvelle maladie, une autre cause de mal-être, de stress... et surtout d'autres patients pour les psychologues!! by xuan_psy Apr 5

Le site Slate.fr nous présente une nouvelle maladie: la nomophobie.On y trouve des informations telles que sadéfinition,ses symptômes,comment en guérir ainsi qu'une expérience réelle. by gangloff_groupe4_psy Apr 1

Je ne connaissais pas non plus ce concept. Ravie de partager
Nolwenn by lecollen_groupe2_psy Mar 27

Bonjour, j'ignorais que cette nouvelle "déviance", s'appelait la nomophobie. Merci pour le partage. Bonne continuation. Dominique by dereux_groupe1_psy Mar 19

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