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Compte rendu du TICE Déj n°2 : connaître et utiliser les réseaux sociaux » UPTice

Compte rendu du TICE Déj n°2 : connaître et utiliser les réseaux sociaux » UPTice
On entend par réseau social, une communauté d’individus partageant des centres d’intérêts, des points de vue, ainsi que les interactions mises en place à l’intérieur de cette communauté, et le site web qui fédère ces individus et facilite leurs échanges d’informations. Il en existe différents types. Le plus important à ce jour est évidemment Facebook qui compte 500 millions de membres (environ le nombre d’habitants en Amérique du Nord). Il s’agit du 2e site le plus visité après Google. En France, nous connaissons aussi Copains d’avant, le réseau social qui permet de retrouver d’anciens camarades ayant partagé notre scolarité (école primaire, collège, lycée, cursus universitaires), ainsi que nos activités associatives et professionnelles (entreprises, administrations). Linkedin et Viadéo sont ce que l’on appelle des « réseaux sociaux professionnels ». Twitter est un réseau social de « microblogging ». Idée reçue n°2 : « Les réseaux sociaux ne servent à rien ». Oui et non. Oui et non. Oui.

Réseaux sociaux : Quelles sont les pratiques de nos enfants ? Quel est le rôle des parents ? Principaux constats de l'étude Près de 20% des moins de 13 ans ont un compte 48% des enfants de 8-17 ans sont connectés à un réseau social (Facebook). 18% des moins de 13 ans sont déjà connectés, et leurs parents sont au courant à 97%. Le déclic a lieu au collège : 57% des élèves du collège sont connectés / 11% des élèves du primaire. Les jeunes se connectent souvent seuls : depuis leur ordinateur personnel (50%) et leur mobile (23%). Les parents sont assez peu associés à cette pratique Seule la moitié (55%) des 8-17 ans discutent avec leurs parents des réseaux sociaux, principalement du temps d’utilisation plus que des usages… Une moitié (49%) d’entre eux sont "amis" avec leurs parents. Les enfants et les adolescents livrent leurs identités et beaucoup d’informations personnelles Pour les enfants et les adolescents, la relation sur le réseau n’est pas virtuelle. Un tiers des enfants ont été choqués ou gênés par des contenus Conseils aux parents Dialogue et partage 1. 2. 3. 4. 1. 2. 3.

Trouver sa voie, les 5 étapes de la réalisation de soi - Dossier Songer à se soucier de son propre accomplissement est peut-être la meilleure chose à faire en ces temps incertains. En temps de crise, seuls comptent l’essentiel et le sentiment de suivre son élan vital. Plus le monde qui nous entoure est dur, plus il nous est nécessaire de nous battre pour devenir ce que nous voulons être. Reste à savoir ce pour quoi nous sommes faits. Anne Laure Gannac La mauvaise Face de Facebook «C'est un outil très puissant que Facebook a en sa possession et la façon dont tout cela fonctionne n'est pas encore claire. Ils ont des photos de centaines de millions de personnes. Ce que possède Facebook dans ses bases de données est un sujet de discussion que nous devons aborder avec eux.» Bjorn Erik Thon, le commissaire de l' Autorité norvégienne de protection des données , s’interroge sur le fonctionnement et l’utilisation de la technologie de reconnaissance faciale utilisée par le réseau social aux 900 millions de membres et plus. L'équivalent norvégien de la Cnil a ainsi annoncé en fin de semaine dernière qu’une enquête sera ouverte sur ce sujet à l’automne. Cette annonce survient seulement quelques semaines après l’acquisition par le géant californien de Face.com , une société israélienne spécialisée dans les systèmes de reconnaissance de visages. Une fenêtre dans les paramètres de confidentialités y va aussi de ses indications. Lire les réactions à cet article.

Le web, plus qu’un bavardage, un vrai lieu «d’interaction politique» Dominique Cardon, chercheur au laboratoire des usages de France Télécom revient pour Nonfiction.fr sur les usages web, battant en brèche les commentaires méprisant pour élever Internet au rang de vrai lieu de débat et d'échange démocratique. Nonfiction.fr : Est-ce que vous pensez que la société de conversation qui s’est développée sur Internet peut s’élever au débat d’idées ? Dominique Cardon- Il faut d’abord s’entendre sur ce que l’on entend par “idée”. Dans l’imaginaire de l’Internet participatif, on a souvent considéré que, par un brusque renversement, tous, amateurs et professionnels, allaient produire de l’information et des idées créatives. Après observation, et avec un peu de recul, on se rend compte que les internautes produisent peu d’informations, au sens où on l’entend dans l’espace médiatique traditionnel. Beaucoup se gaussent, et se rassurent, en se disant qu’il ne s’agit finalement que d’un immense bavardage de commentateurs insatisfaits et obsessionnels.

Startpage Web Recherche Pourquoi il nous faut un revenu de base En complément à mon article sur les 10 mauvaises objections au revenu de vie, voici la traduction d’un texte de C.A. L’Hirondelle & J.S. Larochelle paru sur le site Livable for all. Merci à l’équipe de traducteurs grâce à qui la diffusion de ce texte a été possible rapidement, et merci également aux auteurs pour leur autorisation de republication. 1. Un revenu de vie garanti épargnerait la destruction de notre environnement naturel, conséquence inéluctable de la quête de toujours plus de croissance économique sensée assouvir la promesse chimérique du plein emploi. Le revenu garanti signifie la fin de la guerre entre l’emploi et l’environnement. Équilibre de population : Un revenu de vie n’est ni pro-nataliste, ni anti-nataliste. 2. Un revenu de vie garanti éviterait aux gens de voir leur vie raccourcie ou misérable du fait de la pauvreté et des maladies qu’elle génère. 3. Des millions d’emplois dépendent des conflits armés. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. Illustration Shayne Kaye

« La première vision positive du XXIème siècle » D’où vient le revenu de base et pourquoi est-il plus que jamais pertinent à l’heure du XXième siècle ? Dans cet article phare, Mona Chollet et Thomas Lemahieu retracent l’histoire récente du mouvement pour le revenu de base. Article publié initialement sur Périphéries.net Après avoir vécu douze ans dans une roulotte de cirque, pour être libre et pour économiser un loyer, Susanne Wiest s’est installée à Greifswald, dans le nord de l’Allemagne. Une réforme fiscale, qui l’appauvrit en intégrant les allocations de ses enfants à son revenu imposable, augmente encore son exaspération et son sentiment d’absurdité. Quel travail feriez-vous si votre revenu était assuré ? Derrière la carte – et la question -, il y a Enno Schmidt, un artiste allemand établi en Suisse alémanique, et Daniel Häni, qui dirige à Bâle Unternehmen Mitte, une ancienne banque reconvertie en centre social et culturel (une exception notable à la règle qui veut que seules les usines désaffectées connaissent ce destin).

La société idéale peut-elle naître dans le cyberespace ? Qu'est-ce qui change dans un monde où l'espace disparait ? C’est la question posée par Nils Aziosmanoff, président du Cube, à l’occasion du lancement du second numéro de la revue du centre de création numérique d’Issy les Moulineaux. Organisé autour de la notion de territoires numériques, cet échange co-animé par le journaliste et écrivain Pierre de la Coste réunissait le physicien, philosophe et informaticien Jean-Gabriel Ganascia, l’anthropologue Jacques Lombard et l’artiste numérique Hugo Verlinde. Au cœur des débats, l’idée selon laquelle Internet a ouvert une nouvelle dimension du réel : le cyberespace, qui véhicule un idéal de cité où tout le monde peut communiquer avec tout le monde. En examinant quatre utopies et autant de contre-utopies, les intervenants nous livrent leurs visions de cet espace d'un nouveau genre. > L’utopie de l’« infosphère » Ainsi, pour Hugo Verlinde la promesse de la cité idéale serait de rendre visible l'invisible, et de nous connecter à ce qui nous entoure.

Notre cerveau à l’heure des nouvelles lectures Maryanne Wolf, directrice du Centre de recherche sur la lecture et le langage de l’université Tufts est l’auteur de Proust et le Calmar (en référence à la façon dont ces animaux développent leurs réseaux de neurones, que nous avions déjà évoqué en 2009). Sur la scène des Entretiens du Nouveau Monde industriel au Centre Pompidou, la spécialiste dans le développement de l’enfant est venue évoquer « la modification de notre cerveau-lecteur au 21e siècle » (voir et écouter la vidéo de son intervention)… Image : Maryanne Wolf face au public sur la scène du Centre Pompidou, photographiée par Victor Feuillat. Comment lisons-nous ? « Le cerveau humain n’était pas programmé pour être capable de lire. La présentation de Marianne Wolf via l’IRI. Pour autant, le circuit de la lecture n’est pas homogène. Ce qui stimule le plus notre cerveau, selon l’imagerie médicale, c’est d’abord jouer une pièce au piano puis lire un poème très difficile, explique Maryanne Wolf. Notre avenir cognitif en sursis ?

Comment internet modifie notre cerveau "Mon vieux cerveau me manque." Nicholas Carr, 52 ans, essayiste américain, n'a rien d'un réac allergique au web. Les nouvelles technologies, au contraire, c'est sa spécialité. Au Ve siècle av. Google rend-il Alzheimer ? "Le cerveau humain est un ordinateur obsolète qui a besoin d'un processeur plus rapide et d'une mémoire plus tendue." Surfer nous rend-il hyperactifs ? Scène de famille ordinaire. Tous hyperactifs, hyperconnectés... et hyper-impatients ? "Je ne supporte plus d'écouter des messages vocaux sur mon téléphone, je n'utilise plus que les SMS. Mais où se réfugierait aujourd'hui un moine copiste irlandais ? "Notre mémoire de travail est souvent en surchauffe, dit Jean-Philippe Lachaux. Pour l'instant, n'en déplaise aux utopistes des nouvelles technologies, notre cerveau ne s'est pas encore adapté aux tâches simultanées. Internet drogue-t-il notre cerveau ? Il y a ceux qui frénétiquement relèvent leurs mails toutes les deux minutes. Eh oui ! (1) "Internet rend-il bête ?

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