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La théorie de "la gravité quantique à boucle" de Lee Smolin : Autres théories

La théorie de "la gravité quantique à boucle" de Lee Smolin : Autres théories
GAIA a écrit:Je trouve intéressante l'idée de Lee Smolin que le temps existait avant le Big BangMais si le temps existait avant, l'espace aussi existait alors...donc le big bang n'est pas le commencement de l'espace temps ! Je pense que l'espace n'existait pas forcément, l'espace a commencé a existé à partir de l'ouverture de la clef de cid, le temps dans une nouvelle dimension (BB) a commencé à s'écouler créant l'espace-temps. Le temps précédait forcément l'espace. La dimension ou notre univers, à titre d'exemple, était sans histoire cosmologique. Le Big Bang créé une nouvelle dimension mais n'est pas forcément le début du Temps, mais un temps parmi les temps, puisque le BB aurait pu se reproduire. Justement bonne question, est ce que le trou noir jouerait un rôle de régulation de notre univers et est il à l'origine d'autres big-bangs créant d'autres univers ? Qu'est ce que le temps par essence ? Nous sommes à la fois observateur - observé (vie extra-terrestre) et intra. Related:  Quantique

Gravité quantique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La gravité quantique est une branche de la physique théorique tentant d'unifier la mécanique quantique et la relativité générale. Problématique[modifier | modifier le code] La plupart des difficultés rencontrées lors de cette unification proviennent des suppositions radicalement différentes de ces théories sur le fonctionnement de l'univers. Une difficulté supplémentaire vient du succès de la mécanique quantique et de la théorie de la relativité générale. La mécanique quantique est basée sur les particules de médiation des différentes forces utilisées dans l'espace-temps plat de la mécanique newtonienne ou de la relativité restreinte tandis que la théorie de la relativité générale modélise la gravité comme une courbure de l'espace-temps dont le rayon se modifie lorsque la matière se déplace. Effet de la gravité en mécanique quantique[modifier | modifier le code] Approches candidates[modifier | modifier le code] Portail de la physique

De la mécanique quantique à échelle humaine | Planet Techno Science La languette placée en état de superposition quantique. (O'Connell et al., Nature, Advance Online Publication) D e la physique quantique, oui, mais visible à l’œil nu! D’après la théorie quantique de la matière, les objets microscopiques se comportent à la fois comme des ondes et des particules. Ce constat est connu par les physiciens depuis des décennies, mais jusqu’ici, il n’avait pu être observé qu’à des échelles atomiques. Pour placer un objet de 30 micromètres dans un état quantique, Andrew Cleland et son équipe ont utilisé un circuit électrique supraconducteur qui obéit aux lois de la mécanique quantique. En raison de sa soumission aux lois quantiques, les chercheurs ont pu placer leur circuit électrique dans un état de superposition quantique, c’est-à-dire lui ordonner de bouger tout en restant immobile. A voir également:

Un monde sans temps ni espace Recensés : Carlo Rovelli, Quantum Gravity, Cambridge, Cambridge University Press, 2004 et Carlo Rovelli, Qu’est-ce que le temps ? Qu’est-ce que l’espace ?, Paris, Bernard Gilson Éditeur, 2008. Les entreprises scientifiques et épistémologiques, c’est un lieu commun, seraient avant tout des démarches de taxonomie. Il s’agirait de classer, d’ordonner, de séparer. C’est très exactement en faux par rapport à ces schèmes fort répandus, que Carlo Rovelli s’inscrit dans ces deux ouvrages magistraux. Carlo Rovelli, éminent physicien théoricien et acteur majeur de la science contemporaine, est l’un des inventeurs de la gravitation quantique à boucles. La proposition est vertigineuse. La gravitation quantique à boucles [2] propose de considérer l’Univers comme une sorte de superposition de gigantesques réseaux abstraits (dits « de spin ») dont les nœuds constitueraient des « grains d’espace » et les arrêtes des relations de contiguïté entre ces grains.

Leonard Susskind Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Susskind. Leonard Susskind Leonard Susskind en 2009 Leonard Susskind (né le [1]) est un physicien américain. Susskind est considéré comme l'un des pères de la théorie des cordes avec Yoichiro Nambu et Holger Bech Nielsen pour leurs contributions au modèle de physique des particules de la théorie des cordes[2]. En 1998, il obtient le Prix Sakurai. Jeunesse et éducation[modifier | modifier le code] Susskind est né dans une famille juive très modeste dans le Bronx[3] et réside aujourd'hui à Palo Alto, en Californie. « Quand j'ai raconté à mon père que je voulais être physicien, il m'a dit : « Ah ça non, tu vas pas aller travailler dans une pharmacie ». N. Il étudia ensuite à l'université Cornell sous la direction de Peter A. Carrière[modifier | modifier le code] Contributions[modifier | modifier le code] Susskind a apporté sa contribution dans les domaines suivants de la physique : Livres[modifier | modifier le code]

Gravitation et mécanique quantique Pour unifier la gravitation aux autre interactions fondamentales il est nécessaire de parvenir à décrire la gravitation dans le formalisme de la physique quantique. La seule description théorique de la gravitation dont nous disposons aujourd’hui est celle fournie par la relativité générale. Or la relativité générale et la mécanique quantique ne font pas bon ménage. Sur de nombreux points fondamentaux, le monde de la relativité générale et celui de la physique quantique ont une vision totalement divergente Pour unifier la gravitation aux autre interactions fondamentales il est nécessaire de parvenir à décrire la gravitation dans le formalisme de la physique quantique. La seule description théorique de la gravitation dont nous disposons aujourd’hui est celle fournie par la relativité générale. Cela tient peut être du fait que la relativité générale tente d’expliquer l’infiniment grand alors que la physique quantique s’intéresse à l’infiniment petit.

CSM : Contexte, système et modalités. Une nouvelle ontologie pour la mécanique quantique. | Karl Joulain Deux chercheurs français, Alexia Auffèves et Philippe Grangier proposent un nouveau cadre conceptuel pour la mécanique quantique permettant de mieux l’appréhender. Ces deux chercheurs ont fait l’objet d’un entretien dans le numéro Hiver 2016 du Journal du CNRS. Leurs travaux ont été publiés dans Foundations of Physics et peuvent être trouvés sur Arxiv ici et là. A propos de la mécanique quantique, Richard Feynman disait « Je pense qu’il vaut mieux dire tout de suite que personne ne comprend la mécanique quantique. Si vous le pouvez, évitez de vous dire : mais comment peut-il en être ainsi ? La mécanique quantique heurte, il est vrai, le sens commun. Pourtant, depuis plus d’un siècle, cette théorie physique n’a reçu aucune contradiction expérimentale et décrit parfaitement tous les phénomènes à l’échelle nanométrique comme les atomes, les molécules… Dit comme cela, cette théorie semble donc rendre compte parfaitement de la réalité. En physique classique, on cherche à étudier un système.

Susskind's Blog: Physics for Everyone Équation de Dirac Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'équation de Dirac est une équation formulée par Paul Dirac en 1928 dans le cadre de sa mécanique quantique relativiste de l'électron. Il s'agit au départ d'une tentative pour incorporer la relativité restreinte à des modèles quantiques, avec une écriture linéaire entre la masse et l'impulsion. Explication[modifier | modifier le code] Cette équation décrit le comportement de particules élémentaires de spins demi-entiers, comme les électrons. Dirac cherchait à transformer l'équation de Schrödinger afin de la rendre invariante par l'action du groupe de Lorentz, en d'autre termes à la rendre compatible avec les principes de la relativité restreinte. Cette équation prend en compte de manière naturelle la notion de spin introduite peu de temps avant et permit de prédire l'existence des antiparticules. Formulation mathématique[modifier | modifier le code] la véritable équation : où m est la masse de la particule, c la vitesse de la lumière, et

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