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La Charte du Monde Libre (The Free World Charter): Lire et signer la Charte

La Charte du Monde Libre (The Free World Charter): Lire et signer la Charte
Voici le texte intégral de la Charte. Veuillez le lire attentivement et cocher la case située à côté de chaque principe si vous êtes d'accord avec. Saisissez ensuite votre nom, votre email, votre pays et cliquez sur "Signer". Chaque principe est exprimé de manière succincte pour éviter toute ambiguité, et est accompagné d'une brève déscription et d'une explication des raisons pour lesquelles il est nécessaire. En cas de doute sur l'un des principes ou sur toute autre chose, rendez-vous sur notre page FAQ qui apportera peut-être une réponse à votre question. En cette année, 2014, nos libertés individuelles, l'environnement et la biodiversité ont été gravement mis en péril par notre mauvaise gestion des ressources mondiales. Cette charte propose dix principes fondamentaux sur lesquels fonder une toute nouvelle société mondiale reposant sur l'équité, le bon sens et la survie.

Code is Law - Traduction française du célèbre article de Lawrence Lessig Le 5 mars dernier, Tristan Nitot se pose la question suivante sur Identi.ca : « Je me demande s’il existe une version française de Code is Law, ce texte sublime de Lessig ». Monsieur Nitot qui évoque un texte sublime de Monsieur Lessig… Mais que vouliez-vous que nos traducteurs de Framalang fassent, si ce n’est participer à modifier favorablement la réponse de départ étonnamment négative ! Écrit il y a plus de dix ans, cet article majeur a non seulement fort bien vieilli mais se serait même bonifié avec le temps et l’évolution actuelle du « cyberespace » où neutralité du net et place prise par les Microsoft, Apple, Google et autres Facebook occupent plus que jamais les esprits et nos données[1] Bonne lecture… Le code fait loi - De la liberté dans le cyberespace Code is Law - On Liberty in Cyberspace Lawrence Lessig - janvier 2000 - Harvard Magazine(Traduction Framalang : Barbidule, Siltaar, Goofy, Don Rico) À chaque époque son institution de contrôle, sa menace pour les libertés.

Libriste Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme libriste désigne une personne attachée aux valeurs éthiques véhiculées par le logiciel libre et la culture libre en général. En matière d'œuvres ou de logiciels, le libriste défend les quatre libertés fondamentales des utilisateurs finaux telles que définies par Richard Stallman pour le logiciel. Libristes connus[modifier | modifier le code] En mai 2012, le Framablog (blog du site Framasoft) fait un appel à ses lecteurs pour déterminer quels sont les libristes français les plus populaires[1]. Articles connexes[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : libriste, sur le Wiktionnaire L’open source : l’esprit du don La propriété intellectuelle libre (open source) ne se limite pas à l’informatique. Plusieurs réalisations de projets en agriculture, production d’énergie ou dans l’industrie prouvent que l’auto-construction, les licences libres et le partage de savoir-faire sont efficaces, moins coûteux et à la portée de tous. “Dis Joseph, cela te dirait qu’on édite un livre et qu’on monte des formations ? ” C’est ainsi qu’un beau jour, au milieu des champs, Fabrice Clerc propose à Joseph Templier de se lancer dans l’écriture d’un guide collectif sur l’auto-construction d’outils pour le maraîchage biologique ; Une aventure de deux ans et demi. Fabrice est technicien en maraîchage et responsable du pôle machinisme de l’Adabio, association pour le développement de l’agriculture biologique dans le sud-est dela France. Diffusion des savoirs par la propriété intellectuelle libre Issue de l’agriculture biologique, Adabio n’accompagne les producteurs qu’en agrobiologie. Eoliennes écossaises Sources Web :

Michel BAUWENS- Et si la ville anticipait l’émergence d’une économie peer-to-peer ? Propos recueillis par Emile Hooge-Octobre2012. Michel Bauwens est le fondateur de la Foundation for Peer-to-Peer Alternatives. Il est chercheur associé en sciences de l’information à l’Université d’Amsterdam, et expert auprès de l’Académie Pontificale des Sciences Sociales. Il est également administrateur de l’Union des Associations Internationales (Bruxelles). Il a commencé sa carrière dans l’industrie pour British Petroleum et Belgacom et créé plusieurs start-up dans le domaine de l’Internet. On entend de plus en plus souvent parler d’échanges p2p (peer-to-peer ou pair-à-pair) et de modèles open source dans d’autres domaines que celui des médias numériques et du logiciel. Il y deux tendances lourdes qui font du modèle p2p une réalité tangible et durable. La première tendance c’est l’horizontalisation de la communication à grande échelle permise par internet. Ces tendances conduisent à l’émergence de deux types de modèles économiques.

L’avenir de l’industrie est-il dans l’open source Les signaux s’accumulent. L’industrie « traditionnelle » serait de plus en plus tentée par l’open source. C’était déjà le cas dans l’électronique, avec notamment la carte Arduino. La santé et l’automobile y trouveraient aussi aujourd’hui un relais d’innovation crédible, voir incontournable. Un article de The Economist intitulé « When code can kill or cure » (dans le cahier spécial technologie du N° du 2 juin 2012) explique qu’utiliser un modèle « open source » à la conception des équipements médicaux promet d’accroître la sécurité et l’innovation. Basés aujourd’hui sur des systèmes ultra-propriétaires, les équipements médicaux, défibrillateurs, pompes à insulines sont parfois soumis à des défaillances bien plus graves qu’un simple plantage d’ordinateur. Les fabricants n’ont pas accès aux meilleures des techniques pour les sécuriser, avance l’article. L’automobile aussi s’y met.

Open Source HardWare : Version 1.0 de sa définition par Cet article a été publié il y a 2 ans 11 mois 16 jours, il est donc possible qu’il ne soit plus à jour. Les informations proposées sont donc peut-être expirées. A l’instar des logiciels, le matériel veut aussi se libérer. Tout comme les logiciels libres ou open source, il est possible de trouver sur internet les spécifications de toute sorte d’objets. Ces spécifications sont placées sous diverses licences qui précisent leurs conditions d’utilisation. Bien souvent il s’agit de licences Creatives Commons ou encore de licence comme la GNU Free Documentation License. On trouve souvent pour décrire ces objets “ouverts” le terme d’open source hardware ou matériel open source. Même si le terme reste anglais, je préfère personnellement employer le vocable d’open hardware. En voici la déclaration de principes que je vous ai partiellement traduite : En voici la version anglaise plus complète : Au final cette définition apporte-t-elle une réelle plus-value par rapport aux pratiques actuelles ?

Déclaration de principes - 2011 Comment fabriquer des biens communs en open source ? Il y a aujourd’hui une vraie déferlante selon les secteurs. Voiture, vélo, alimentation / semences /AMAP sont déjà en place, après le logiciel libre. Comment cela peut-il s’élargir en prenant appui sur les vagues du hacking, de la consommation et l'économie collaborative ? Elinor Ostrom prouve qu'une autre logique économique est possible. Peut-on appliquer ses principes à l'économie de la connaissance ? Pages liées : * Quelles alternatives en termes de modes de vie durables ? Repères et définitions Tous publics : En visionnant ces 2 vidéos de Monsieur Bidouille vous devriez rapidement vous faire une idée de quoi nous allons parler dans cette page : Des biens communs au libre... et inversement ! Alors que la notion de propriété intellectuelle nous a complètement fait oublier la notion du bien commun, est il encore possible d'imaginer, concevoir, créer et développer des produits, des services et des outils qui n'appartiennent qu'à ceux qui les utilisent et les entretiennent ? Libre Open source

L'open source, clef d'un monde plus équitable? Et si on appliquait le principe de Wikipédia à la création d'objets et de projets qui changent le monde? Car une conception libre et ouverte à tous permet d'agréger autour de soi une communauté de contributeurs qui apportent leur pierre à un édifice dont chacun peut bénéficier. C'est au volant d'une voiture de sport, en 2008, que l'entrepreneur américain Joe Justice prend conscience de la quantité de pétrole qu'il envoie dans l'atmosphère. En 2010, il profite d'un concours du Progressive Insurance X-Prize pour imaginer un véhicule consommant peu d'essence et dont l'ensemble des composants est modulable à souhait. Une quarantaine de bénévoles travaille ensuite pendant trois mois sur un prototype fonctionnel aux performances défiant les standards de l'industrie et la conformité aux tests de sécurité routière. L'écologie open source Wikispeed Compter environ 25 000 dollars pour acquérir une Wikispeed (coût de fabrication de 14 000 dollars). Goteo Protei Safecast

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