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Pearltrees: 3 years and €8.5 million later, there's finally talk of a business model

Pearltrees: 3 years and €8.5 million later, there's finally talk of a business model
In Europe, as many of you may already know, people tend to talk about business models much earlier in the game than they do in the US. In fact, it’s a widely-held belief that European investors don’t tend to invest in companies that aren’t generating cash (which many believe explains the French VCs’ love for e-commerce). While US companies like Instagram, Pinterest, Quora and the likes are busy amassing millions upon millions of non-paying users prior to even talking about their business models (oh wait, Pinterest actually does make money?) While many European entrepreneurs swear by Susan’s “the business model can wait” approach, the ones who actually practice it often get a little flack. The startup just announced it’s 4th round of funding since it’s launch in 2009, having raised over €8.5 million to date. So, if the business model has been on hold for the last few years, the company must have naturally spent its time focusing on the product and user acquisition. Related:  Elements de réflexion

Les arbres de connaissances Publié par PedagoGeeks le 30 juin 2011 | Dans les catégories suivantes Compétences, Innovation, Innovation, Projet Professionnel Tout le monde sait quelque chose, personne sait tout ! C’est un postulat simple mais qui plaide pour les méthodes actives et collaboratives en apprentissage : la connaissance collective est supérieure à la somme de ses partie. Une difficulté vient alors d’identifier, de visualiser et de valoriser les connaissances collectives d’un groupe de personnes, d’apprenants. En 1991, Edith Cresson alors premier ministre a chargé Michel Serrès de mener des travaux sur l’université en France et les compétences. Plus la couleur va vers le rouge et le marron plus la connaissance est partagée : ces zones constituent le socle commun de connaissances du groupe, donc le tronc. Plus la couleur est vert clair voire blanche, plus la connaissance est portée par un minimum de personne : elles sont visualisées par les feuilles de l’arbre. Les arbres de connaissances sur WikiPédia

Le re-design d’Instagram, le Flat de trop ? Hey Le designer qui se cache derrière le concept de refonte du design propre et élégant de la page Web de Google+ vient de publier son dernier exercice de style avec le re-design d’Instagram. Shadman Ahmed, c’est son petit nom, s’est appliqué à rendre l’interface d’Instagram plus carrée, plus bleue, plus blanche, plus propre sur certains aspects. L’inspiration graphique est dans la tendance « Modern UI » (anciennement Interface Metro de Microsoft) – voire – « flat design ». Si je vous montre tout ceci c’est également pour y apporter un regard critique. Je les cherche encore… source Ces articles peuvent aussi vous intéresser:

Business ecology and the four customer currenci Lately, I’ve been rethinking the concept of “business model” for startups, in favor of something I call “business ecology.” In an ecosystem, each participant acts according to its own imperatives, but these selfish actions have an aggregate effect. Some ecosystems are stable, others malign, and others grow and prosper. A successful startup strives for this latter case. I think this concept is necessary in order to answer the truly vexing startup questions, like: “Should startups charge customers money from day one?” Let’s begin with the four customer currencies. If players with more money than others can simply buy their way to the top of the heap, a multiplayer game fails – because this makes the game un-fun for other players. Each of these four currencies represents a way for a customer to “pay” for services from a company. Here’s the ecosystem we built at IMVU, just to give one example. Having a balanced ecosystem is what game designers strive for.

Pearltrees : la bibliothèque aux 100 milles curateurs Lorsqu’on lui demande quel est son parcours, il pousse un soupir “j’ai fait pas mal de choses” : ingénieur, chercheur en sociologie, consultant en stratégie dans les médias…. L’idée de Pearltrees lui serait venue alors qu’il publiait un papier dans la revue française de sciences politiques en 2006 sur la théorie des réseaux mais qui “n’avait rien à voir avec le web”. A l’époque, on se demandait si des initiatives comme Wikipedia et Youtube allaient fonctionner. Deux ans plus tard, Pearltrees, est “un petit projet dans un appart en 2008”. Il part de ce constat simple : il y a énormément de contenu sur le Web, comment laisser l’internaute se l’approprier en l’organisant à sa guise ? Une bibliothèque augmentée Tout d’abord Pearltrees permet d’organiser le contenu que vous visitez sur le Web. Le pearltrees de TedX Paris Rajoutez y une pointe de curation et l’on obtient cette nouveauté qui fait mouche. « Organiser le contenu comme une bibliothèque, mais ouverte .»

Monétisation des applications mobiles : les clés de succès Pearltrees lance une version premium Pearltrees est un outil de curation visuelle que l’on ne présente plus. L’outil vient cependant de lancer une version premium qui offre une véritable valeur ajoutée au service. Si vous n’êtes pas encore utilisateur, je vous invite à aller découvrir les perles et les arbres Pearltrees pour votre curation. Le service propose un système original pour organiser vos découvertes sur le Web sous la forme de cartes thématiques. Chaque page Web ou ressource que vous souhaitez conserver correspond à une perle qu’il est ensuite possible de déplacer et de classer du bout de la souris dans des dossiers de perles ou arbres de perles (pearltrees). On est pas trés loin d’une carte heuristique. Ce qui fait la force de Pearltrees c’est la possibilité d’interconnecter chaque perle de vos arbres avec les cartes d’autres utilisateurs via des perles communes. Pearltrees né en France a à peine plus de deux ans et c’est fait une place dans l’univers trés concurrentiel des outils de curation.

Pearltrees plate-forme 5 millions d’euros : c’est la somme que vient de lever l’une des icônes françaises de la curation, Pearltrees, auprès du fonds d’investissement Accueil, nous révèle le site FrenchWeb. Un quatrième tour de table pour la jeune société démarrée en 2009 qui a récolté quelque 8,5 millions d’euros en levée de fonds depuis sa création. La société serait par ailleurs valorisé quelque 10 millions d’euros, et compte dans son actionnariat Pierre Kosciusko-Morizet, le fondateur de Priceminister. Pearltrees est un service de curation dite sociale à travers lequel les utilisateurs collectent, classent, hiérarchisent et partagent du contenu pioché sur le Web. Cet apport devrait permettre à la start-up de mettre en place son modèle économique. regroupés les documents et les fichiers de chacun. Cette levée servira également à industrialiser les développements du service, en se focalisant notamment sur la diversification dans les tablettes (Pearltrees est déjà disponible sur iOS).

Etudes - L’avenir appartient aux marques HumanKind Publié le 14 février 2013 Après le quotient intellectuel, le quotient émotionnel et même... le quotient sexuel, voici le quotient HumanKind. Lancé par Leo Burnett, il analyse les marques capables d'inspirer des actes changeant le comportement des individus. Coup de projecteur sur celles qui sont tapageuses, paresseuses, rêveuses ou ont une raison d'être. « Ce qui intéresse les individus, ce n'est pas de savoir ce que font les marques, mais pourquoi elles le font. Pour comprendre qui sont ces marques, le réseau a lancé, avec Research Now, une grande étude mondiale - dans 11 pays auprès de 37 900 personnes à partir de 70 questions - portant sur leur capacité à agir, et à exprimer leur raison d’être, posées sur un échantillon représentatif de la population, trié selon sa fréquentation des marques (778 marques, 155 catégories). En France, le high-tech et le secteur culturel sont le plus HumanKind Petit tour d’horizon : - Les marques paresseuses : Petit exemple de « paresse » : KFC.

LinkedIn et Viadeo sont-ils vraiment efficaces pour trouver du travail? Se créer un CV en ligne sur LinkedIn ou Viadeo fait aujourd'hui figure de passage obligé pour qui cherche à maximiser ses chances de taper dans l'oeil d'un recruteur: le premier compte 2 millions d'inscrits en France, quand le second atteint les 4,5 millions de membres. Un sondage réalisé cette semaine par Piana HR Group, spécialiste de recrutement et de gestion de carrière, confirme cette frénésie: 67,3% des candidats se sont inscrits sur Viadeo et 48,3% sur LinkedIn, à 69,7% pour trouver un emploi. Et c'est là que le bât blesse, puisque seuls 20,4% affirment y être parvenus grâce aux réseaux. Autrement dit la recherche d'emploi via LinkedIn ou Viadeo reste un échec pour... 80% d'entre eux. Des profils laissés en friche Comment expliquer un tel décalage? La tendance est à la baisse constate même la consultante, pour qui les "profils sont de moins en moins créés dans un objectif précis et sont pour la plupart obsolètes." Des réseaux chronophages "Le modèle est tourné vers l'avenir"

Ergonomie : Pearltrees reçoit 320.000 euros d'Oséo Starting your first business in France? Here are the steps, and some great tips! | Cole Street Starting a business in France is an adventure. Ever heard the horror stories of Italian bureaucracy? Well – France has it too! Company creation – the statuts When you start a company in France, you must write what are called ‘Statuts’ – the basic laws of your company. What’s in them? So how does one obtain these statuts? Choosing the address – choose wisely! In France, each business has a ‘siege social’ – their official company address. You can use your home address – if you rent, you’ll have to inform your owner, but they cannot say no. The social capital – what money the founders put in The social capital is part of the company creation – it’s what all the shareholders put in as the starting capital of the company. Step one: find a bank! The first actual step in the creation process is to set up a special bank account that holds the social capital. Step two – more stamps, this time from the tax office Step three – the real deal Post-creation cleanup tasks Final step – find an accountant

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