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Qu'est-ce que la résilience?

Qu'est-ce que la résilience?
Le concept de résilience est central dans ce livre. En écologie, le terme résilience fait référence à la capacité d’un écosystème à s’adapter à des évènements (chocs) extérieurs et des changements imposés.Walker et ses collaborateurs la définissent comme: “La capacité d’un système à absorber un changement perturbant et à se réorganiser en intégrant ce changement, tout en conservant essentiellement la même fonction, la même structure, la même identité et les mêmes capacités de réaction.” Dans le contexte des communautés humaines, il renvoie à leur capacité de ne pas disparaître ou se désorganiser au premier signe d’une pénurie par exemple de pétrole ou de produits alimentaires mais, au contraire, de répondre à ces crises en s’adaptant. La contestation des chauffeurs de camion au Royaume-Uni en 2000 offre, à ce sujet, un bel exemple. Le concept de résilience est différent de celui de subsistance qui est plus fréquemment utilisé. Traduction du chapitre 3 : "What is resilience ?"

What is resilience? Top video: senior research fellow Brian Walker explains the concept of resilience. Download "What is resilience?" Download "Vad är resiliens?" Swedish version Resilience is the long-term capacity of a system to deal with change and continue to develop. Increased knowledge of how we can strengthen resilience in society and nature is becoming increasingly important in coping with the stresses caused by climate change and other environmental impacts. Why resilience? The resilience approach focuses on the dynamic interplay between periods of gradual and sudden change and how to adapt to and shape change. Research at the Stockholm Resilience Centre will address these challenges in order to generate a deeper understanding of interdependent social-ecological systems for improved governance and policy. Video below: science director Carl Folke explains resilience.

Résilience urbaine Responsables : Géraldine Djament-Tran, Magali Reghezza-Zitt Chercheurs associés : Antoine Le Blanc (Université du Littoral), Samuel Rufat (Université Cergy-Pontoise), Céline Pierdet (Université de Compiègne), Serge Lhomme (EIVP). S1-S2, 3 crédits Présentation Le séminaire de recherche pluridisciplinaire mensuel « résilience urbaine » proposera une réflexion sur le concept de résilience. Nous continuerons à faire dialoguer sciences de l’environnement et sciences humaines et sociales. L’objectif du séminaire est double : envisager les différents sens du concept de résilience, ses usages en fonction des disciplines et les méthodologies qui lui sont associées ; dégager des facteurs de résilience et les organiser dans une grille méthodologique. Le séminaire adoptera en outre une approche critique de la résilience afin d’éprouver la pertinence heuristique, méthodologique et pratique de la notion. Fonctionnement du séminaire Comptes-rendus des séances et présentations des intervenants : Contacts et

Anne Steiner : « Pour les en-dehors, l’émancipation individuelle n’est pas seulement le moyen de parvenir à un monde meilleur, elle est à elle-même sa propre fin » - Amélie Macé Le 4 octobre dernier, Anne Steiner, sociologue à l’université Paris Ouest Nanterre, donnait une conférence dans le cadre de l’université populaire de Saint-Denis1. Le thème ? L’anarchisme individualiste. Anne Steiner, auteure d’un très bon livre sur le sujet, Les En-dehors, anarchistes individualistes et illégalistes à la Belle Époque (éditions l’Échappée)2, retrace ici l’enthousiasmant essor d’un mouvement qui ne tardera pas à perdre de sa force de frappe, entre répression et avènement de la Première Guerre mondiale, mais dont les fondamentaux restent au cœur de l’idéal anarchiste. Rirette pour fil conducteur « J’évoquerai pour commencer le parcours d’une jeune femme née en 1887 et connue sous le nom de Rirette Maîtrejean. Cette femme naît en Corrèze en 1887, d’un père paysan devenu maçon, qui a réussi à créer sa propre entreprise mais qui est mort dans la misère du fait de la maladie. La trajectoire de cette jeune femme est le fil conducteur de mon livre Les En-dehors.

On Resilience In the 1930s the American art collector Albert Barnes commissioned Henri Matisse to produce a major painting for his private gallery in Merion, outside Philadelphia. Matisse was ecstatic: He rented an old cinema in Nice, where he lived at that time, and spent the entire next year completing the work, a dance triptych. He was pleased with the result. But when the piece arrived in Merion, Barnes wrote to Matisse explaining an unfortunate oversight: His collaborators had taken the wrong measurements, so the painting did not fit on the gallery wall. The difference in size was marginal, and Matisse could easily have tweaked the triptych to fit the wall, a technical fix. But instead he rented the cinema for another 12 months to complete a new painting with the right dimensions. The French master’s ad hoc ingenuity captures the essence of an emerging concept known as resilience. Resilience theory, first introduced by Canadian ecologist C.S.

La vulnérabilité territoriale : une nouvelle approche des risques en milieu urbain 1 Quito, capitale de l’Equateur, est située à 2 800 mètres d’altitude au pied du volcan Pichincha. L (...) 2 Suivant la Loi de Sécurité Nationale (Ley de Seguridad Nacional), cette fonction était jusqu’alors (...) 1Le District Métropolitain de Quito (DMQ)1 compte près de 2 millions d’habitants sur une superficie de 4 350 km² (figure 1) et son territoire est exposé à de nombreux aléas d’origine naturelle (éruptions volcaniques, séismes, inondations, glissements de terrain et laves torrentielles) et anthropique (stockage et transport de combustibles notamment). Dans ce contexte marqué par la variété et la gravité des aléas, le nombre d’habitants et l’importance économique et politique de ce territoire, la question de la réduction des risques est devenue primordiale pour la municipalité du DMQ, et ce d’autant plus que la réactivation du volcan Pichincha en 1998 a montré la fragilité du système urbain (D’Ercole et Metzger, 2000). Figure 1 : le District métropolitain de Quito

performance responsable Résilience psycho « La résilience, c'est l'aptitude des individus et des systèmes (les familles, les groupes et les collectivités) à vaincre l'adversité ou une situation de risque. Cette aptitude évolue avec le temps ; elle est renforcée par les facteurs de protection chez l'individu ou dans le système et le milieu ; elle contribue au maintien d'une bonne santé ou à l'amélioration de celle-ci(1). » 1. Résilience, Pertinence dans le contexte de la promotion de la santé, Document de travail - Analyse détaillée présentée en 1995 à Santé Canada par Colin Mangham, Ph.D., Patrick McGrath, Ph.D., Graham Reid, Ph.D., Miriam Stewart, Ph.D., Atlantic Health Promotion Research Centre, Université Dalhousie. "La Résilience définit La capacité à se développer quand même, dans des environnements qui auraient dû être délabrants." Docteur BORIS CYRULNIK Psychiatre Directeur d'enseignement en éthologie à la faculté des lettres et des sciences humaines de Toulon in

PACIVUR Programme Andin de Formation et de Recherche sur la Vulnérabilité et les Risques en milieu urbain - Bolivie, Equateur, Pérou / Département Sociétés / Projets de recherche / Recherche / Bolivie / IRD - Sites de représentation / IRD - Bolivie Le programme PACIVUR a officiellement été lancé depuis avril 2006 avec la signature d’une convention entre l’IRD et la CAN (Communauté Andine). Il concerne trois pays andins : la Bolivia, le Pérou et l’Equateur, pays où l’IRD dispose d’une représentation permanente. Un accord de collaboration a également été établi avec l’IFEA -Institut Français d’Etudes Andines) et avec le programme européen PREDECAN (Prévention des Désastres dans la Communauté Andine) d’appui institutionnel à la CAN. Principaux axes de recherche Les principales questions auxquelles le programme PACIVUR tentera d’apporter des réponses dans les années à venir, dans le cadre de plusieurs projets de recherche, s’articulent autour de cinq axes complémentaires : © Jean Jacques Lemasson Vue du centre ville de La Paz et de maisons construites à flanc de colline 1. Il s’agit ici d’analyser les politiques urbaines de gestion des risques et les moteurs qui guident ces politiques et leurs applications concrètes. 2. 3. 4. 5.

2012 n°4 - novembre-décembre Les Jeunes et le Travail Comité de rédaction : Martine BRASSEUR, Mario CORREIA et Ariel MENDEZ Comité d'évaluation et de lecture du numéro (cliquez ici) Editorial : Les jeunes et le travail ou l’intergénérationnel en question - Martine BRASSEUR, Mario CORREIA et Ariel MENDEZ Le développement du couple attractivité-fidélisation des organisations auprès des jeunes entrants sur le marché du travail : éléments de réponse aux problématiques générationnelles -Renaud PETIT Perception des mutations du monde du travail : les jeunes ouvriers s’opposent-ils à leurs aînés ? n°3 - août-septembre-octobre Entrepreneuriat Martine BRASSEUR et Joseph NGIJOL Editorial : Entrepreneuriat social et changement entrepreneurial : Un retour aux sources ? Dossier : L'ENTREPRENEURIAT SOCIAL La Société Coopérative et Participative : Outil de gestion pour l’entrepreneur social ou hypocrisie managériale ? Dossier : LE CHANGEMENT ENTREPRENEURIAL n°2 - mai-juin-juillet Varia Editorial : n°1 - mars-avril

La résilience au travail... c'est possible ! L'impérieuse nécessité de trouver une solution aux problèmes en tous genre nous a jusqu'à présent privé de chercher des ressources dans le positif, c'est-à-dire dans ce qui fonctionne correctement. C'est bien connu : en France, on se méfie de l'esprit bisounours. Habitués à utiliser nos facultés intellectuelles pour pallier aux défaillances, nous omettons de considérer les qualités et les ressources des individus et des systèmes. Pire : l'approche traditionnelle du changement se focalise sur les problèmes à résoudre, réduisant du même coup le champ des perspectives aux erreurs survenues dans le passé. A la recherche des mauvais élèves Corollaire managérial : on recherche les coupables et les mauvais élèves de la classe. Une posture appréciative de l'équipe " Le Manager Appréciatif est dans une posture appréciative de son équipe. La confiance, une denrée trop rare dans les organisations "Catalyseurs de souffrance" "Vivre dans une civilisation de l'empathie, c'est ne pas être parfait"

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