background preloader

Accueil Flipbook.info

Accueil Flipbook.info

L'animation de papier découpé (cut-out) expliquée simplement La technique d’Animation en Papiers Découpés : explications L’animation cut-out est une technique d’animation avec laquelle on utilise des éléments prédécoupés ayant la forme désirée et que l’on fait bouger image par image afin de recréer l’illusion du mouvement. Prenons un exemple concret : Dans le cas de l’animation d’un personnage, on divisera donc tout le personnage par autant d’éléments découpés afin de les animer. Donc par ex, si je veux animer le bras de mon personnage et que ma marionnette est « rigguée » proprement. Ce genre d’animation s’apparente à de la Cinématique Inverse (Inverse Kinematics en anglais). Ci-dessous, voici un exemple de marionnettes préparées pour faire de l’animation cut-out. Les pionniers de l’animation cut-out Parmi les premiers à avoir utilisé cette technique d’animation de façon traditionnelle, on trouve Lotte Reiniger. Cette réalisatrice allemande se spécialisa dans l’animation de silhouettes en papier découpé. Bien sûr, cette technique a ses limites.

Papier découpé, photos découpées, différentes utilisations du papier, carton… | Cinéma d'animation Papier découpé (soie, papier opaque, carton) sur table lumineuse Exemples de la cinquième secondaire 2010-2011: [youtube] [youtube] [youtube] [youtube] [youtube] [youtube] Exemple d’un film réalisé à partir de découpures de revues et journaux: Ceci est un message enregistré, Jean-Thomas Bédard, 1973 Papier découpé sur fond bleu On peut utiliser Final Cut Express. Pour Vivre pour Mourir, nous avons utilisé Final Cut. Voici la balle de neige en début de film, après le prologue: [flv] Autre exemple où les cheveux bougent de façon aléatoire. [flv] Autre exemple en association avec la technique du dessin animé: Photos découpées Ombres chinoises Année 2011 Premiers pas en animation Après les exercices de dessins engagés pendant les premières semaines de l'année, les étudiants se sont lancés dans un nouveau défi : celui de l'animation. Cette fois nous leur avons demandé de mixer stop motion (à partir de cubes et autres éléments de jeux d'éveil) et dessin animé, et même de créer leur propre générique basé sur la typographie... un projet ambitieux pour ce premier trimestre, mené en petits groupes avec beaucoup d'enthousiasme, et de trouvailles aussi bien plastiques que techniques :

Qu'est-ce que l'ombro-cinéma ? - iPaginablog L’ombro-cinéma est une technique ancienne d’animation qui consistait à dessiner et découper des silhouettes en plusieurs positions, afin que ces dernières apparaissent à travers la trame d’un écran. L’effet stroboscopique provoqué créait alors l’illusion du mouvement. Le clip formidable que nous vous proposons pour visualiser cette technique, est réalisé par John Mayer qui reprend les illustrations de Virginia Mori. Le plein de poésie… Né à Cattolica en 1981. Dans le même temps Virginia Mori produit des vidéos de musique et de l’animation, en collaboration avec l’association culturelle de Cesena Aidoru à la création du spectacle «Landscape» et participe à diverses expositions collectives avec ses illustrations dont la dernière à Rome en Novembre 2011 à la galerie Mondo Bizzarro. Source : Le site de Virginia Mori. Articles similaires Paperman par John Kahrs / Court métrage L'histoire se passe au milieu du 20ème siècle à New York. 8 avril 2013 Dans "La littérature dans tous ses états"

wiki:tutoriels:ombrocinema:ombrocinema [TONER KEBAB WIKI] Porteurs du projet : Clara Delmon Date : 03/05/2016 Licence : libre Contexte : Routine (prototype) L’Ombro-cinéma ou Scanimation est une technique ancienne d’animation, utilisée pour les “jouets d’ombres animées” du début du 20e siècle. Cette technique a été reprise dans plusieurs petits cinémas-jouets jusque dans les années 1950 et également dans des livres animés de cette période baptisés Albums Télévision ou Livres de Télévision. Le système utilisé repose sur la persistance rétinienne comme les Zootropes, Praxinoscopes ou Phénakistiscopes (inventions du 19e siècle), ici, le procédé de restitution du mouvement est dit “à trames”.Les silhouettes dessinées en plusieurs positions apparaissent à travers la trame de l’écran. Références: *Michael Leblond et Frédérique Bertrand, Moi en pyjamarama (aux éditions Rouergue) ou encore New-York en pyjamara, Paris en Pyjamara … *Takahiro Kurashima, Poemotion 1 & 2 (aux éditions Lars Muller) 1. 2. 3. 4. ! 4.

albums en pyjama et en ombro-cinéma – Ma petite Médiathèque Ombro-cinéma ? Mais qu’est-ce donc ça ? J’ai découvert cette technique sur le blog de Laurette où elle parlait de l’album New York en Pyjamarama, malgré son avis mitigé j’avais été intriguée par la technique. Puis j’ai oublié… Et c’est par hasard je suis tombé sur les 2 autres albums de pyjamarama à la bibliothèque. Je les ai proposé à Mimiko qui est immédiatement tombée sous le charme. L’intérêt de ces 2 albums réside vraiment dans la découverte de cette technique, l’ombro-cinéma qui permet de donne vie aux images. En dehors de son aspect technique l’album n’a pas grand intérêt. Voyez plutôt : Par Michaël Leblond et Frédérique Bertrand aux éditions du Rouergue

Images en relief et images changeantes L’auteur tient à remercier Michèle Bonnet, Gérard Lévy, Pierre Parreaux et le Stéréo-Club français, Hélène Pradel, Françoise Reynaud, Catherine Tambrun, le personnel de l’Institut national de la propriété industrielle et tout particulièrement Michel Frizot, pour leur précieux concours. Fig. 1. E. 1La photographie en relief avait été soumise à l’utilisation de dispositifs nécessaires au visionnement, tels qu’un stéréoscope ou une paire de lunettes rouge et verte. 1 Le réseau est l’élément permettant d’identifier ce procédé. 2Le principe du réseau ligné est simple : il s’agit d’une “grille” (le plus souvent sur verre) formée alternativement de lignes opaques et transparentes1 (fig.1). 3Même si elles n’atteignent jamais le niveau de diffusion – ou de reconnaissance – des vues stéréoscopiques (véritable phénomène de société au Second Empire et au début du xxe siècle), les images à réseau bouleversent la conception de la photographie en relief. 2 A. Fig. 2 et 3. Fig. 4. Fig. 5. 19 L. 20 A.

Effet phi Exemple d'effet phi : une succession d'images donne l'illusion que la balle est en mouvement C'est sur ce principe que fonctionnent de nombreux néons, guirlandes, panneaux indicateurs : en allumant successivement les ampoules composant l'ensemble, on donne l'impression qu'un point se déplace. « Un bon exemple d’effet phi est donné par les flèches géantes lumineuses fixes décalées l’une derrière l’autre, en cascade, qui signalent sur les autoroutes un resserrement de la circulation ou une déviation, et qui s’allument et s’éteignent les unes après les autres, donnant l’illusion d’une flèche unique qui se déplacerait dans le sens indiqué[1] ». Exemples[modifier | modifier le code] Fonctionnement[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Neurosciences et philosophie: le cas de la vision [archive].

BDnF, la fabrique à BD Dans les coulisses du film d'animation "Le secret des mésanges", réalisé en papier découpé C'est un travail d'orfèvre, et l'expression n'est pas galvaudée. À Valence dans la Drôme, le studio Folimage, salué plusieurs fois par la critique pour ses productions dont La Prophétie des Grenouilles en 2003, travaille sur sa prochaine merveille : un long-métrage d'animation réalisé uniquement avec du papier découpé. Le Secret des Mésanges, dont la sortie est prévue pour 2024, raconte l'histoire d'une petite fille qui accompagne sa mère lors de fouilles archéologiques. Une fragilité difficile à transposer à l'écran. Une tonne de papier est utilisée pour fabriquer Le Secret des Mésanges. L'idée première, c'est d'avoir une immersion dans le papier découpéSamuel Ribeyronchef décorateur "C'est assez rigoureux. Nager dans une piscine de papier Canson La difficulté est ensuite de créer, grâce à l'animation, une véritable immersion du spectateur dans l'histoire.

Saul Bass, l’art du générique. | typomanie* Saul Bass révolutionne le générique de cinéma. D’une fonction purement informative et légale, il donne à celui-ci une dimension narrative et artistique, réalisant de véritable courts-métrages qui font partie intégrante du film en tant qu’œuvre. Bass souligne la thématique visuelle et dramatique du film, expose le caractère des personnages : Mon idée de départ était qu’un générique pouvait mettre dans l’ambiance et souligner la trame narrative du film pour évoquer l’histoire de manière métaphorique. Je voyais le générique comme une façon de conditionner le public de façon à ce que, lorsque le film commence, il ait déjà un écho émotionnel chez les spectateurs. J’étais convaincu que le film commence vraiment dès la première image. La qualité originale de Bass réside dans sa capacité à identifier le détail qui résume à lui seul le film et à le restituer de manière graphique et moderne. C’est cette approche très graphique qui marque la rupture avec les habitudes en vogue.

Related: