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Les collectivités à l'assaut des médias sociaux

Les collectivités à l'assaut des médias sociaux
Cet article a été publié il y a 3 ans 8 mois 19 jours, il est donc possible qu’il ne soit plus à jour. Les informations proposées sont donc peut-être expirées. La croissance des collectivités présentes sur les médias sociaux est très difficile à jauger, mais il est clair qu’elles se multiplient et que l’usage de ces nouveaux médias devient de plus en plus mature. Dans cet article, nous allons nous appuyer sur l’exemple du conseil général de la Vienne. On est à la fin d’une période d’apprentissage et on commence à entrevoir de vraies stratégies de communication en ligne, ne se limitant pas à une présence passive sur Facebook. Les collectivités ne peuvent plus négliger les médias sociaux Il y a une réelle prise de conscience qu’il ne faut pas passer à côté des nouveaux médias… On est en plein dans les usages et les pratiques des internautes. Sur la forme Il s’agit de : Cette liste est naturellement incomplète, les avantages peuvent être multiples. Sur les chiffres Sur le fond Sources :

Le baromètre des régions sur les réseaux sociaux Cet article ne donne pas les chiffres les plus récents. La plus récente des éditions du baromètre des Régions sur les réseaux sociaux est disponible ici. Les Régions sont des acteurs de plus en plus importants en matière d’animation du territoire. Quelle présence assurent-elles sur les réseaux sociaux ? 18 des 26 régions françaises ont une page Facebook, 14 ont un compte Twitter. Présence sur Facebook, présence sur Twitter, dans les deux cas, je vous propose un palmarès « brut » (nombre de fans, nombre d’abonnés) et un palmarès affiné en fonction du nombre d’habitants. Présence sur Facebook : la Picardie en tête Pour la Picardie, c’est le réel dynamisme d’une région et une animation efficace sur les réseaux sociaux qui montrent ses effets ici. Mise à jour : Suite à la remarque de Claude BECHU dans les commentaires, il faut lire ci-dessous 'Rapport nombre habitants / nombre de fans' Présence sur Twitter : les bonnes performances de la Bretagne Seules 14 régions ont un compte Twitter.

Evaluation des fanpages de collectivités : dépasser le concours de la plus grande liste de fans | Le blog de Benjamin Teitgen Alors que l’investissement des ré seaux sociaux, a tendance à se généraliser dans les collectivités, nombre d’entre elles en sont aujourd’hui à se poser la question de l’évaluation, cette culture de l’évaluation des politiques publiques faisant elle aussi, doucement mais sûrement, son chemin dans le mode de fonctionnement des collectivités territoriales. Et là, le moins que l’on puisse écrire est que l’établissement de critères objectifs est loin d’être une chose aisée. Intéressons-nous au cas le plus largement partagé, à savoir celui de la collectivité ayant lancé une fanpage sur Facebook. Le premier réflexe, le plus immédiat et le plus évident, serait de se baser sur le nombre de fans… et ce serait une erreur, tant le concours de celui qui a la plus grande… liste de fans est une supercherie totale. Quels critères pertinents pourrait-on alors observer ? 2e critère à observer : la qualité de l’interaction . 3e critère : le dépassement de la relation institution-citoyen .

L'Open Data, véritable opportunité pour les collectivités L'ouverture des données au public est une obligation pour les collectivités territoriales. C’est surtout un moyen de redynamiser leurs territoires et de renforcer la démocratie locale. Si toutefois le projet est bien mené. L'open data n'est pas seulement une obligation légale. C’est aussi, selon une étude de Lecko sur le sujet, une véritable opportunité pour les différents acteurs concernés. Une analyse empirique Lecko a étudié différents projets nationaux et internationaux, de Paris à la Communauté urbaine de Bordeaux (CUB) en passant par des conseils généraux ou New York, selon deux types d’usage. Cinq étapes au développement Pour monter un projet efficace, une collectivité doit suivre cinq étapes. L’animation numérique de territoire étend sa toile avr182012 Lundi matin, c'était en PACA que se lançait une promotion d'Animateurs numériques de territoire. Il y a deux semaines, c'était en Auvergne. En deux ans, ce nouveau métier des offices de tourisme a conquis la majorité des régions françaises : il ne reste plus que quatre régions métropolitaines à ne pas être concernées par le mouvement. Ce sont à ce jour 500 ANT formés ou en cours de formation sur tout le territoire national. Dernière actualité de l'animation numérique de territoire : la sortie depuis quelques jours du fameux site national tant attendu : expliquer ce qu'est l'animation numérique de territoire, et répondre ainsi aux très nombreuses questions et à l'intérêt suscité par cette fonction radicalement nouvelle. être un lieu ressources pour les fourmis de l'animation numérique, parce que le site regorge de powerpoints, tutoriaux, liens prompts à alimenter les ateliers locaux. Cet article vous a plu?

Auvergne, René souchon, Point visio-public Sur un territoire où la densité est deux fois moindre que la moyenne nationale, cette expérience a été pensée par les élus de la région comme « un levier de l’aménagement du territoire », souligne René Souchon, président du Conseil régional d’Auvergne. 63 PVP sont désormais installés en Auvergne, couvrant ainsi 629 communes. Une couverture amenée à évoluer avec le temps, en fonction des évolutions techniques et attentes fonctionnels. « Ce n’est pas un service statique », précise l’élu. Qui insiste sur l’importance de l’implication de ses homologues, présidents de conseil général et maires pour assurer le succès de l’opération. Une vingtaine de services administratifs sont concernés, tels que la Caisse d’allocations familiales (CAF), la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) ou la Mutualité sociale agricole (MSA). « Pôle Emploi est le principal utilisateur du PVP », détaille René Souchon. Reste que cette solution concrète à la désertification du territoire n’est pas sans coût.

Quels réseaux sociaux choisir pour les collectivités et le service public ?(1) Aujourd’hui, il est facile d’installer des outils communautaires sur votre site. Il deviendra certainement un site communautaire dans les prochaines années. Ceci étant, nous allons voir aujourd’hui, après quelques mois d’absence de ma part, quels sont les réseaux que les collectivités et les services publics doivent investir ! FACEBOOK Il s’agit d’un incontournable. Vous y créerez une page, publierez vos actualités, évènements et bien sûr vous y construirez une communauté. Facebook est un réseau plutôt vie privée, votre cible sera les citoyens. TWITTER Votre actu en 140 caractères. Partage des vidéos YOUTUBE et DAILYMOTION Bien sûr, il y a d’autres réseaux de partage vidéos. Partage des photos FlickR, Google+, TumblR, Pinterest Rien ne vous empêche de publier sur Facebook, vous êtes libre ! Partage de PDF, powerpoint : Calaméo, Issu, Slideshare Pour vos publications format papier à mettre en ligne, je vous invite à découvrir Calaméo et Issuu.

“Un ministère chargé du numérique est indispensable” L’Association des villes et collectivités pour les communications électroniques (Avicca) juge nécessaire de créer, après le 6 mai, un ministère du Numérique. “Les collectivités ont besoin d’un pilotage renforcé” dans ce secteur, estime le président de l’Avicca, le sénateur PS Yves Rome (photo). “Les collectivités ont besoin d’un pilotage national nettement renforcé doté d’une vision et de moyens que la régulation des acteurs ne peut seule assurer.” Créée en 1986 sur le thème des réseaux câblés, l’Avicca regroupe quelque 230 adhérents (villes, intercommunalités, départements, régions, etc.) et travaille en lien avec les grandes associations de collectivités (AMF, ARF, ADF) sur les problématiques liées à l’aménagement numérique des territoires. Les freins des opérateurs La preuve : un décret permettant aux collectivités de connaître les infrastructures et réseaux déployés sur leur territoire entrera en application en juillet 2012, alors qu’il a été institué par une loi… d’août 2008.

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