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Sur les docks

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Noosfera Origem: Wikipédia, a enciclopédia livre. A Noosfera pode ser vista como a "esfera do pensamento humano", sendo uma definição derivada da palavra grega νους (nous, "mente") em um sentido semelhante à atmosfera e biosfera. Na teoria original de Vernadsky, a noosfera seria a terceira etapa no desenvolvimento da Terra, depois da geosfera (matéria inanimada) e da biosfera (vida biológica). Assim como o surgimento da vida transformou significativamente a geosfera, o surgimento da conhecimento humano, e os conseqüentes efeitos das ciências aplicadas sobre a natureza, alterou igualmente a biosfera. No Conceito da Noosfera do filósofo francês Teilhard de Chardin, assim como há a atmosfera, existe também o mundo das idéias, formado por produtos culturais, pelo espírito, linguagens, teorias e conhecimentos.

Emmanuel Levinas : Eros, littérature et philosophie A : Thèmes et structure générale de l’ouvrage Le dernier tome des Œuvres d’Emmanuel Levinas [1], publié sous la responsabilité de Jean-Luc Nancy et de Danielle Cohen-Levinas, regroupe des textes inédits, littéraires et philosophiques, sur le thème de l’éros. L’on y trouve les deux ébauches de roman de Levinas, des notes philosophiques sur l’éros, ainsi que des textes de jeunesse traduits du Russe. Si la préface de Jean-Luc Nancy traite de manière plus générale des relations de la littérature et de la philosophie, ce volume reste destiné à un public de spécialistes. Les textes regroupés dans ce volume forment une unité à la fois thématique et stylistique, puisqu’il y est question tout à la fois du thème de l’éros et des écrits littéraires de Levinas. Au-delà de sa forme apparente, l’ouvrage semble néanmoins se composer comme une intrigue autour de trois désirs : littéraire, érotique et métaphysique. B : La Préface de Jean-Luc Nancy : « L’intrigue littéraire de Levinas »

Philosopher en primaire : avec quelles exigences ? La philosophie à l'école fait couler l'encre à flots : collections pour enfants, livres de conseils pour enseignants et parents, rubriques spécialisées dans les revues, documents et commentaires font florès dans les milieux de la pédagogie scolaire et extra-scolaire. Ce nouvel ouvrage de Jocelyne Beguery, professeur agrégée de philosophie, docteure en sciences de l'éducation et en esthétique, tranche dans ce large courant par l'exigence de rigueur et de fondement. A l'opposé des épigones rigides de telle ou telle « méthode », mais aussi contre l'imaginaire sagesse infuse de « l'enfant-philosophe », elle rétablit quelques principes fondamentaux de pédagogie, en interrogeant des exemples précis d'application en classe de la DVPh (discussion à visée philosophique). Contre le consensus ambiant Jocelyne Beguery s'interroge en philosophe sur la demande sociale omniprésente d'une pratique philosophique dès la petite enfance. Pourquoi philosopher ? Des exemples et des conseils précis

Morale à l’école : (re)fonder une gouvernance éthique de l’éducation ? La lettre des ministres adressée aux personnels de l’éducation nationale le 7 septembre[1] pour les inciter à « participer et faire partager à nos concitoyens leur expérience et leurs idées pour la refondation de l'École » s’inscrit parfaitement dans un processus de gouvernance, qui associe notamment tous les acteurs d’une organisation à la réflexion préparant les prises de décisions politiques. Les ministres rappellent que « cette initiative est l'occasion de rassembler toute la Nation - parents d'élèves, organisations représentatives des personnels, responsables associatifs, mouvements d'éducation populaire, collectivités locales, milieux économiques - autour de son École et de sa jeunesse ». Les vingt groupes de travail ont été composés à l’image de la diversité des parties prenantes de l’éducation. Les ministres évoquent aussi le contenu du site internet dédié www.refondonslecole.gouv.fr. [2] Morin, Edgar, Ma gauche, François Bourin éditeur, 2010, p. 107

Mylène Botbol-Baum et Anne-Marie Roviello (coord.) : Arrachement et évasion : Levinas et Arendt face à l’histoire (partie 2) Cet article constitue la suite de celui-ci. VI) « Le visage et le langage : variations iconoclastes sur le Mitsein » Dans la contribution de Françoise Collin qui signait ici son dernier texte, la progression du texte n’est pas très structurée, et comme son sous-titre l’indique, il s’agit plus de variations, de remarques mêlées que de la démonstration d’une thèse précisément défendue. Après le rappelle de points communs entre les deux penseurs, Françoise Collin remarque que « tous deux partent de la réalité de l’ « être avec » - du Mitsein qui n’est pas seulement un fait – une structure – mais un acte permanent – et leur philosophie est une philosophie pratique plus qu’une métaphysique ou une ontologie. C’est à l’élucidation et à la repensée de ce Mitsein, décliné respectivement en termes d’altérité ou en termes de pluralité, et confronté à ses formes déviantes qu’ils s’attachent l’un et l’autre. » (p. 94) Puis, F. VII) « Hannah Arendt : Amor mundi penser et agir après le totalitarisme »

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