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Ils cherchent “les trucs bizarres qu’il y a dans vos téléphones” : rencontre avec des traqueurs de trackers

Ils cherchent “les trucs bizarres qu’il y a dans vos téléphones” : rencontre avec des traqueurs de trackers
Tout a commencé par une phrase lue dans un livre ... Finalement, des recherches extraordinaires dues à l'association à but non lucratif française Exodus Privacy et à Yale Privacy Lab documentèrent la prolifération exponentielle de logiciels de tracking. Ca, c’est la phrase. A priori, pas de quoi se taper le cul par terre. Sauf que c’est la grande Shoshana Zuboff qui l’a écrite, à la page 191 de L’Age du capitalisme de surveillance, son extraordinaire livre qui vient de sortir en français. Donc, au détour d’une phrase, Zuboff parle des “recherches extraordinaires” d’une association française dont je n’ai jamais entendu parler : Exodus Privacy. D’abord je suis vexé. Pour le dire vite, Exodus Privacy met au jour les trackers qui sont dans les applications de nos téléphones. Evidemment ça m’intrigue. Les invités MeTal_PoU, présidente d’Exodus Privacy et Lovis_IX, membre fondateur L'équipe Réalisation : Hélène BizieauMixage : Jean-Philippe Jeanne

https://www.franceinter.fr/emissions/le-code-a-change/ils-cherchent-les-trucs-bizarres-qu-il-y-a-dans-vos-telephones-rencontre-avec-des-traqueurs-de-trackers

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Détectez les pisteurs sur Android avec exodus-standalone Des bibliothèques tierces appelées pisteurs sont souvent présentes dans les applications mobiles, parfois au dépit des législations en vigueur, de la sécurité de ces applications ou des droits des personnes les utilisant. Voyons ensemble ces problématiques plus en détails et comment s’en prémunir, en particulier sur Android. Qu’est-ce qu’un pisteur et quels problèmes posent-ils ? “Pisteur”, “traceur”, “traqueur”, plusieurs termes peuvent être utilisés pour parler de la même chose. Le fichier des « gens honnêtes » repasse à l’Assemblée Les députés débattront, ce mardi 13 décembre en fin d'après-midi et dans la nuit, de la création du "fichier des gens honnêtes" (sic), du nom donné par le rapporteur (UMP) de la proposition de loi relative à la protection de l'identité. L'objectif affiché est de lutter contre l'usurpation d'identité, et donc de ficher l'état civil, l'adresse, la taille et la couleur des yeux, les empreintes digitales et la photographie de 45 à 60 millions de "gens honnêtes". Le sujet est "tendance" : l'usurpation d'identité en ligne est en effet devenue un délit, en janvier, à l'occasion de l'adoption de la LOPPSI2. Le mois dernier, le gouvernement a par ailleurs créé un fichier relatif à la lutte contre la fraude documentaire et l'usurpation d'identité, qui fichera usurpateurs et victimes «présumés». Mais pourquoi, dès lors, créer un fichier de 45 à 60 millions de "gens honnêtes" ?...

Lutte contre les usurpations d'identité: L'Assemblée nationale vote définitivement la proposition de loi ce mardi Le Parlement adoptera définitivement, ce mardi, par un vote de l'Assemblée, la proposition de loi visant à lutter contre les usurpations d'identité en instaurant un mégafichier des données biométriques de tous les Français, et dont les députés ont débattu fin février. L'objet principal de cette proposition de loi est la mise en place d'une carte d'identité biométrique qui sera adossée à un fichier centralisé afin de lutter contre le phénomène d'usurpations d'identité qui touchent plusieurs milliers de personnes par an. Au cours de la discussion, la cinquième que l'Assemblée consacrait au sujet, Eric Ciotti (UMP) a cité un chiffre de l'Observatoire national de la délinquance donnant plus de 52.000 signalements d'usurpation d'identité entre 2005 et 2010, soit, a-t-il dit, une augmentation de 110% en 5 ans.

Le « vrai » visage des « gens honnêtes » MaJ, 06/03/2012, 16h56 : par 285 voix pour, 173 contre, sur 458 suffrages exprimés, le fichage des "gens honnêtes" a été adopté à l'Assemblée. Jean-Jacques Urvoas (PS) a déclaré qu'il allait dès demain déposer un recours au Conseil Constitutionnel. La proposition de loi sur la protection de l'identité, qui entraînera la création d'un de fichier de 60M de "gens honnêtes" et qui sera adoptée ce mardi 6 mars 2012 à l'Assemblée, dernier jour de la session parlementaire, permettra aussi de déployer des systèmes de reconnaissance biométrique faciale, alors même que Claude Guéant, entre autres partisans de ce projet, avaient pourtant déclaré avoir interdit cette possibilité.

Le logiciel espion vendu à Kadhafi devait "chasser le pédophile", pas l'opposant - FTVi C'est un logiciel conçu pour "chasser le pédophile, le terroriste, le narcotrafiquant" qui a finalement servi à traquer l'oppposant politique libyen. En 2008, la société française Amesys livre au régime de Mouammar Kadhafi un système de surveillance et d'interception des communications électroniques et numériques. Baptisé Eagle, il a permis à la Libye d'espionner les e-mails de sept personnalités de l'opposition en exil, résidant au Royaume-Uni ou aux Etats-Unis.

La CNIL constate un recul du respect de la vie privée sur les moteurs de recherche La CNIL est sortie de sa réserve. Cela aura pris plusieurs semaines cependant. L’autorité française vient en effet de réagir à l’annonce de Yahoo de rallonger considérablement la durée de conservation des logs sur son moteur, passant de 3 à 18 mois. Privacy and the Internet Log in or Become a Member Job Opening Research and Data Visualization Associate - National Journal for Atlantic Media See more openings on the FlowingData Job Board Les français et la vie privée sur le Net : un "paradoxe de la co Microsoft a dévoilé ce matin les résultats de la première édition de son baromètre « Enjeux Numériques ». L'étude, consacrée à la façon dont les Français perçoivent le respect de la vie privée sur Internet, dévoile une inquiétude évidente, mais également une désinvolture certaine. Ainsi, si 75% des Français s'avouent inquiets concernant la façon dont leur vie privée est divulguée sur Internet, 48% d'entre eux considèrent qu'il est néanmoins facile de contrôler les informations personnelles qui transitent sur le Web. Ce pourcentage monte même jusqu'à 70% chez les 15-24 ans. Mais curieusement, seul 4% des internautes français pensant maîtriser leur image font régulièrement des recherches sur eux-mêmes sur Internet. 53% ne l'ont même jamais fait. Les principales sources de méfiances pour les internautes, vis-à-vis de la façon dont elles peuvent utiliser les données personnelles sur Internet, sont les pirates informatiques (79%), les entreprises (61%) et les pouvoirs publics (53%).

Vie privée : 75% des Français inquiets du traitement de leurs do Les Français se méfient de leurs informations sur Internet mais les vérifient peu. C’est le résultat du premier volet du baromètre « Enjeux numériques » de Microsoft et TNS Sofres portant sur la vie privée des Français. L’enquête a été menée sur 1 200 personnes dont 200 entre 15 et 17 ans 1 000 de 18 ans, fin avril. When security matters                                           Supported languages:English/United States of America (Germanic family)English (Germanic family) Time on your computer : 07:19:31Date on your computer : Wednesday, March 23, 2016Time got from the nearest GPS satellite : 23/03/2016 06:19:31 GMT Sites visited during this session : 2 Browser platform : Linux x86_64 Available window size : 1600x1200 Screen resolution : 1600x1200 Color depth : 24 bit (High Color) JavaScript : enabledJava : disabled

Les internautes sociaux se livrent encore trop sur les réseaux Les membres des réseaux sociaux n'ont pas conscience des risques qu'ils prennent en dévoilant leur identité sur les plates-formes collaboratives. Et leur imprudence a de lourdes conséquences. Sur les réseaux sociaux, les internautes se montrent encore trop peu prudents en ce qui concerne leurs informations personnelles, révèle l'étude annuelle du Consumer Reports. Plus d'un tiers des internautes sociaux publient en ligne leur date de naissance (jour, mois et année). 20% partagent sur les réseaux sociaux les photographies de leurs enfants, en mentionnant leurs noms dans la plupart des cas.

FauxCrypt rend la lecture impossible aux machines Ce programme open source laisse accessible à la lecture humaine des informations issues de fichiers textes, en évitant que ces données soient indexées automatiquement. Les fichiers textes stockés sur un serveur ne sont pas à l'abri d'indexations de leurs informations par le système qui les héberge. Pour éviter cela et tous les traitements automatisés qui pourraient en découler, Devlin Gualtieri, chercheur à l’IEEE du New Jersey propose un programme baptisé FauxCrypt et qui rend des données illisibles pour un système. La méthode qu’il utilise pour "obscurcir" les données s’inspire d’un message censé avoir été posté sur le net.

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