Littérature : le jour où Romain Gary a dit non au Goncourt Cet article date de plus de deux ans. Publié le 17/11/2020 16:09 Mis à jour le 17/11/2020 17:30 Durée de la vidéo : 3 min. Article rédigé par France 2 - L. Hakim, P. Guény France Télévisions Le 17 novembre 1975, Emile Ajar, écrivain inconnu, recevait le prix Goncourt pour son roman "La Vie devant soi". En 1975, Emile Ajar, écrivain mystère, provoque la surprise en décrochant le prix Goncourt pour La vie devant soi. L'écrivain joue alors à cache-cache avec la presse, signant ses écrits tantôt Fosco Sinibaldi, tantôt Shatan Bogat. Partager l'article sur les réseaux sociaux : Partager :
Il est temps - L'écologie, un truc de riches ? - Regarder le documentaire complet Cette série présente les résultats de l’enquête participative "Il est temps" sur la perception de l'écologie des Français et des Allemands. Ce premier épisode fait voler en éclats le cliché de l'écolo bobo. Tous milieux et générations confondus, la majorité des personnes interrogées estiment que l'urgence écologique est à son maximum. Tout le monde se sent concerné, même ceux qui peinent à boucler leurs fins de mois. 75 % des ouvriers à revenus modestes déclarent ainsi manger bio régulièrement ou systématiquement. Nouveaux choix de vie En France et en Allemagne, les 400 000 participants à l’enquête "Il est temps", lancée en mai 2020, ont répondu en ligne à 133 questions, permettant à un collectif de sociologues d’analyser plus de 42 millions de réponses.
La novlangue, instrument de destruction intellectuelle George Orwell était écrivain, penseur, mais aussi praticien du langage. Dans son roman «1984», il invente la «novlangue», un langage dont le but est l’anéantissement de la pensée, la destruction de l'individu devenu anonyme, l'asservissement du peuple. Réflexions sur le pouvoir des mots. Syme (du Service des recherches au Ministère de la Vérité) : « Nous détruisons chaque jour des mots, des vingtaines de mots, des centaines de mots. George Orwell n’a pas été seulement, en tant qu’écrivain, un praticien du langage. Bien sûr, c’est dans son fameux roman 1984, avec la trouvaille géniale de la « novlangue », que cette dénonciation du trucage de la langue que culmine cette entreprise de démystification. avec : Françoise Thom, historienne et soviétologue, auteure de l’ouvrage La Langue de bois aux éditions Julliard, et Jean-Jacques Rosat, professeur de philosophie et éditeur Quand on s’exprime mal, on pense mal ou pas du tout.
Inde : les "Intouchables", toujours victimes du système de castes Cet article date de plus de trois ans. Publié le 20/11/2020 16:29 Durée de la vidéo : 3 min Les "Intouchables" représentent près de 15% de la population indienne. Dans les campagnes indiennes, les castes régissent encore la vie de centaines de millions de personnes. Par exemple, une petite fille de huit ans ne va plus à l'école, alors que c'est obligatoire. Partager : l'article sur les réseaux sociaux La Quotidienne Monde Retrouvez tous les jours à 19h les événements marquants de l’actualité internationale France Télévisions collecte votre adresse e-mail pour vous adresser la newsletter "La Quotidienne Monde". les mots-clés associés à cet article
Violences sexistes : quand les femmes prennent la parole - Agenda Féminicides, viols, harcèlement : les violences faites aux femmes sont multiples et révèlent une organisation du monde centrée sur le pouvoir des hommes. Par leurs paroles, leurs actions, leurs écrits, de nombreuses femmes s’élèvent contre cet état de fait pour en dénoncer et en démonter les mécanismes. Mais à l’ère #MeToo, cette parole est-elle bien entendue ? Comment peut-on encore lutter contre les violences sexistes ? En partenariat avec Causette, le site de l’actualité féministe, société, écologie, intime, culture et la newsletter Les Glorieuses qui réunit la première communauté féministe en France avec plus de 150 000 abonné·e·s en ligne. Avec Ovidie, réalisatrice, journaliste, écrivaine et actriceAnaïs Bourdet, fondatrice du projet Paye Ta Shneck, co-animatrice du podcast YesssValérie Rey-Robert, écrivaine, créatrice du blog Crêpe Georgette Animé par Elsa Dorlin, philosophe, professeure à l'université Paris 8
Résumé - La Ferme des Animaux George Orwell, Eric Blair de son vrai nom, né le 25 juin 1903 et mort le 21 janvier 1950, est un écrivain anglais, dont l'œuvre porte la marque des engagements. Il a notamment combattu avec véhémence toutes formes d'impérialisme et de totalitarisme, surtout à travers ses livres. La ferme des animaux, paru en 1945, est l'un de ceux-là. L'auteur y décrit une ferme dans laquelle les animaux se révoltent pour chasser les hommes et prendre le pouvoir. Il s'agit en fait d'un apologue (c'est-à-dire un court récit en prose ou en vers, dont on tire une instruction morale, d'après la définition du Larousse) sous la forme d'une fable animalière : Orwell fait de cette société une satire de la Révolution russe de 1917 et une critique du régime stalinien, alors en place depuis 1927. Les meilleurs professeurs de Français disponibles 4.9 (86 avis) 1er cours offert ! 5 (65 avis) 4.9 (34 avis) 5 (98 avis) 5 (148 avis) 5 (46 avis) 5 (37 avis) 5 (205 avis) C'est parti Résumé du roman par chapitre Chapitre 1 Chapitre 2
Rosa Parks, pas celle que vous imaginez - Ép. 1/2 - Rosa Parks, "la femme qui s’est tenue debout en restant assise" Dans les livres d’histoire, nous savons que le 1er décembre 1955, elle a refusé de céder son siège à un blanc parce que noire. Elle a été immortalisée dans des photos, la plupart des reconstitutions. Elle est assise dans le bus, isolée. Épisode 1 : Rosa Parks - Pas celle que vous imaginez ! Les gens racontent que j'ai refusé de céder mon siège parce que j'étais fatiguée, mais ce n'est pas vrai. Nous remontons le cours des luttes de Rosa Parks, des organisations de femmes et des mouvements de lutte pour les droits civiques qui cherchent à ouvrir une brèche dans l’escarcelle des lois Jim Crow qui, selon la formule de l’historien Comer Vann Woodward, accordèrent "à la violence raciale la majesté de la loi". Le 2 mars, Claudette Colvin, quinze ans, est arrêtée pour violation de l’ordonnance municipale sur la ségrégation. Un documentaire de Nedja Bouakra, réalisé par Véronique Lamendour. Intervenants Avec les voix de Joëlle Marelli (voix et traduction partielle) et Hélène Lausseur Musique Liens
“Meufs de (la) cité” sur France 2 : “Le pays d’origine de ces filles, c’est la banlieue” Télérama et des tiers selectionnés, notamment des partenaires publicitaires, utilisent des cookies ou des technologies similaires. Les cookies nous permettent d’accéder à, d’analyser et de stocker des informations telles que les caractéristiques de votre terminal ainsi que certaines données personnelles (par exemple : adresses IP, données de navigation, d’utilisation ou de géolocalisation, identifiants uniques). Ces données sont traitées aux fins suivantes : analyse et amélioration de l’expérience utilisateur et/ou de notre offre de contenus, produits et services, mesure et analyse d’audience, interaction avec les réseaux sociaux, affichage de publicités et contenus personnalisés, mesure de performance et d’attractivité des publicités et du contenu. Pour plus d’information, consulter notre politique de confidentialité.
Journée internationale des Droits des Femmes 2021 : genèse d'un combat A l'occasion de la Journée internationale des Droits des Femmes, celles-ci sont à l'honneur chaque année le 8 mars. Mais connaissez-vous l'origine de cette journée ? Retour aux sources d'un combat qui vient de loin, état des lieux de la situation des femmes dans le monde et des actions à mener durant cette journée. [Mis à jour le vendredi 5 mars à 9h50] Mais qui a donc permis la reconnaissance de cette Journée internationale des droits des femmes en France? On le sait peu, mais en 1982, la psychanalyste et militante MLF Antoinette Fouque a œuvré pour convaincre le président de la République de l'époque, François Mitterrand, de reconnaître le 8 mars comme la Journée des droits des femmes. Elle souhaitait même à l'époque que cette journée soit chômée, fériée et payée! r trois livres afin d'en savoir davantage sur la lutte qu'elle a menée jusqu'à sa mort en 2014. L'égalité des sexes : quelle priorité pour les citoyens ? Brigitte Macron, Kamala Harris... Genèse du combat
Docurama : “Meufs de (la) cité”, troisième volet d’une histoire des quartiers au féminin Après “Nos Mères Nos Daronnes” et “On nous appelait beurettes”, le troisième film de la réalisatrice Bouchera Azzouz “Meufs de (la) cité” boucle ce travail inédit d’analyse de l’histoire de l’immigration maghrébine mais aussi de nos quartiers via le prisme féminin. À voir sur France 2. Critique de Meufs de (la) cité – C’est l’histoire et le parcours, au départ commun, de quatre « meufs de cité » : Camilya, 29 ans, a grandi à la cité du Luth, à Gennevilliers, tandis que Sarah, Imane et Kamba, encore adolescentes, vivent à Corbeil-Essonnes. Diffusé en unitaire sur France 2, Meufs de (la) cité est le troisième volet d’une trilogie. Porté par une photographie très lumineuse, ce dernier volet explore la quête de liberté de jeunes filles toutes nées en France. Suivi d’un débat animé par Marie Drucker, avec la réalisatrice du documentaire Bouchera Azzouz.