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Pourquoi le travail et l'emploi vont disparaître

Pourquoi le travail et l'emploi vont disparaître
Selon une étude réalisée par deux chercheurs de Harvard, 47% des emplois pourront être confiés à des ordinateurs d'ici 20 ans. Pis, il faudra trouver des moyens de «s'occuper», de passer le temps. Il y a quelques mois, Le Figaro vous parlait de David Graeber, cet anthropologue américain qui avait écrit une tribune sur des métiers «inutiles»... En 1930 déjà, l'économiste anglais John Maynard Keynes prédisait - dans une fiction - qu'un siècle plus tard, on pourrait se contenter de travailler 15 heures par semaine, et que le principal problème résiderait dans la répartition du travail. LE FIGARO - Que peut-on dire de ce chiffre? Paul Jorion - Disons que la manière dont il a été obtenu - essentiellement à partir de préjugés - est assez discutable. Aujourd'hui, où en sommes-nous de cette «ordinatisation»? Nous sommes évidemment à un stade avancé! Avez-vous un exemple de métier pour illustrer cela? Le métier de trader, par exemple! Travailler moins. Related:  1/ LE FUTUR DU TRAVAIL

Les réseaux nous aident-ils à gérer les transformations du travail L'environnement professionnel dans la plupart des activités est de plus en plus individualisé. La manière même dont les directions des ressources humaines gèrent l'évaluation des compétences des salariés ou l'embauche illustre très bien ce nouveau rapport au travail fondé sur l'évaluation individuelle, la construction de parcours de compétences ou le développement d'objectifs personnels… Le travail est devenu à la fois un ensemble d'opportunités pour l'individu, mais aussi un ensemble de contraintes qui pèsent sur chacun… Reste que la liberté, le choix et les valeurs entrepreneuriales qui sont au coeur de ce nouveau rapport au travail ne sont pas adaptés à tous. Nous ne sommes pas tous égaux face à cette injonction à devenir tous entrepreneur de soi, explique la sociologue Patricia Vendramin sur la scène de la 6e édition de Lift France qui se tenait à la Villa méditerranée à Marseille. Quels collectifs de travail à l'heure de l'individualisation ? Comment vivre sans emploi ?

Combien vaut le travail d’une mère au foyer ? « Combien vaut le travail d’une mère au foyer ? », c’est le titre de l’enquête annuelle réalisée par le site américain Salary. En 2013, plus de 6000 mamans ont détaillé sur le site combien de temps par semaine elles consacraient à l’accomplissement des diverses taches domestiques. Alors ? Cela représente 94 heures de travail hebdomadaire pour une mère au foyer américaine, en moyenne. Ce qui équivaudrait, d’après les calculs de Salary, à un revenu annuel de 83 006,85 euros, soit 6917 euros par mois. Salary permet également de personnaliser ce calcul et de l’adapter à chaque maman. Alors que le débat sur le congé parental agite la France, le site américain permet également de connaître la valeur d’un père au foyer.

Le futur du travail Éducation au numérique : les vrais dangers d'Internet Avertissement liminaire aux lecteurs : vous avez été alertés par le discours convenu et racoleur des médias relayant sans sourciller les campagnes nauséeuses des officines spécialisées, vous êtes donc persuadés que l’Internet est peuplé de terroristes, de pédophiles, de pornographes, de communistes ou d’homosexuels bretons et qu’il convient de protéger les enfants de ces hordes sans foi ni loi par les mesures de filtrage ou de rétorsion idoines. Vous avez sans doute raison. Mais ce billet n’est alors pas pour vous, passez votre chemin. Non, les vrais dangers de la rencontre un peu compliquée du numérique, de l’Internet en l’occurrence, et de l’école ne sont pas là. J’ai toujours honte pour mon école Faut-il que ces gens-là se détestent ! Et puis non, patatras ! Si ce n’est pas une attaque en règle contre l’éducation, d’une part, contre l’image même de l’Internet d’autre part, ça, je ne m’y connais plus en matière de cyberguerre ! Au diable l’internet ! Accéder à Internet sans Internet.

Enjeux 2030 : Le futur du travail, ce n'est pas que la robolution | Usbek & Rica Le monde du travail est en pleine métamorphose. Si les trois précédentes révolutions industrielles ont suscité inquiétudes et progrès, la quatrième questionne davantage, tant la numérisation de l’économie disrupte tous les secteurs. Elle est pourtant porteuse d’opportunités financières, de nouveaux métiers et d’interactions nouvelles, comme l’ont bien compris des start-up miroirs du futur du travail. Génération milléniale, travail nomade, bien-être, big data ou intelligence artificielle : une galaxie de mots gravite autour d’une réflexion accrue sur le futur de l’emploi. La quatrième révolution industrielle, qui comprend des développements dans des domaines tels que l'intelligence artificielle et le machine learning, la robotique, les nanotechnologies, l'impression 3D ou la génétique et les biotechnologies, est en cours. Et les transformations qu’elle porte s’imposeront d'ici 2030, en modifiant profondément les paradigmes du travail. Le futur de l’emploi est donc sur toutes les lèvres.

1500 casiers automatiques de livraisons Le phénomène des casiers de livraisons va connaître un gros coup d’accélérateur. Le réseau Packcity, co-détenu par Geopost (La Poste) et Neopost (un spécialiste de la traçabilité dans la supply chain), annonce ce mardi l’installation, d’ici deux ans, de 1500 consignes automatiques dans les lieux de flux, au plus près des passages des clients : gares, centres commerciaux, centre-villes et, même, dans les magasins, comme Monop' est en train de le tester, avec des casiers installés à l’entrée de deux points de vente parisiens. Carrefour, Nespresso, la Fnac ou Go Sport peuvent déjà livrer leurs clients dans ces casiers chez Monoprix, l'enseigne en tirant en retour un flux supplémentaire de clients. Chaînon onéreux Un mouvement de fond qui s’explique par la rapidité et la simplicité de livraison en casiers : le client compose un simple code reçu par SMS pour que le casier contenant sa commande s’ouvre. 3000 casiers à terme, l'international en ligne de mire Darty, Dia...

Où en est la valeur-travail ? par Dominique Méda - MESHS Sociologue et philosophe, Dominique MEDA est actuellement professeur de sociologie à l’Université Paris Dauphine, après avoir été directrice de recherches au Centre d’Etude et de l’Emploi. Ancienne élève de l'École normale supérieure et de l’École nationale d'administration, agrégée de philosophie, et habilitée à diriger des recherches en sociologie, elle a été professeur à l'Institut d'études politiques de Paris. Elle est également Inspectrice Générale des Affaires Sociales. Végétarien, je revendique le statut de minorité opprimée Tribune Le droit international définit une minorité comme un groupement de personnes liées entre elles par des affinités religieuses, linguistiques, culturelles, ethniques, politiques, englobées dans une population plus importante. Le droit des minorités est reconnu et décrit dans diverses chartes ou déclarations internationales selon les recommandations d’instances comme l’ONU et l’Unesco. Les végétariens, isolés et marginalisés Making of Les deux auteurs de cette tribune sont les fondateurs de All apologies, « mouvement global libre pour unir au niveau international tous les défenseurs des animaux et du vivant ». Sous la dénomination de minorité culturelle, on peut distinguer celle alimentaire des citoyens « qui ne mangent pas comme tout le monde... », et ce, pour des raisons de convictions de tous ordres, religieuses ou par empathie pour les animaux, voire aussi de santé. « Alors vous prendrez du poulet, du poisson ? « Ah bon ! Empreinte écologique, santé publique

Nieuwe vormen van werk niet langer taboe – ManpowerGroup Belgium 87% werknemers bereid in nieuwe werkvorm te stappen (interim, freelance, zelfstandig, platform worker, slasher, …) Gaan we met z’n allen anders werken nu de organisatie van het werk helemaal verandert? Nu er nieuwe vormen van werk ontstaan? En hoe moeten we inspelen op de nieuwe verwachtingen van de medewerkers? Zij streven naar meer autonomie, minder autoriteit. Nieuwe vormen van werk in opmars, bij werkgevers én werknemers Het aantal arbeids(contract)vormen waarmee mensen hun brood verdienen, is sterk toegenomen. Alle generaties staan open voor verandering Uit ons onderzoek blijkt dat 87% van de steekproef bereid is om onder een nieuwe vorm van arbeidsovereenkomst te werken. Het valt op dat die nieuwe arbeidsvormen aanhangers hebben bij alle generaties. Inkomen, inzetbaarheid en vrijheid Wat mensen drijft om in zo’n niet-traditionele werkvorm te stappen? Naar een uberisering en deregulering van de arbeidsmarkt? Zover zal het wellicht niet komen. Total Workforce Management’

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