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Read Online – The Participatory Museum

Read Online – The Participatory Museum
The Participatory Museum A book by Nina Simon Skip to content Read Online Welcome to the online version of The Participatory Museum. This book is licensed under a Creative Commons Attribution-Noncommercial license. And now, onto the show. Table of Contents Preface: Why Participate? Part 1: Design for Participation Chapter 1: Principles of ParticipationChapter 2: Participation Begins with MeChapter 3: From Me to We Chapter 4: Social Objects Part 2: Participation in PracticeChapter 5: Defining Participation at Your InstitutionChapter 6: Contributing to InstitutionsChapter 7: Collaborating with VisitorsChapter 8: Co-creating with VisitorsChapter 9: Hosting Participants Chapter 10: Evaluating Participatory Projects Chapter 11: Managing and Sustaining Participation Imagining the Participatory Museum Acknowledgements Bibliography About the Author

Les musées en partage  Avec Google Art Project, lancé cet hiver, on peut avoir accès, dans le confort de son foyer, à des reproductions de grandes oeuvres d’art de musées célèbres avec un niveau de détails incroyables (jusqu’à 7 milliards de pixels). Mais les musées ne se limitent pas à montrer simplement des oeuvres, car, selon la définition de l’ICOM, un musée est aussi « une institution au service de la société et de son développement ». Voilà pourquoi il y a, aujourd’hui, comme chaque année depuis 1977, la Journée internationale des musées. Les musées cherchent constamment à redéfinir leur rôle pour rester au service de cette mission. Les musées se sont transformés au même titre que la société. La relation avec le public reste pour eux un souci omniprésent. Une question de voix Mais comment une institution peut-elle en fait s’insérer dans un canal conçu comme un lieu de conversation entre des personnes authentiques? Les visiteurs-participants L’esprit de partage Traces

On a vécu Museomix au musée des Arts décoratifs Museomix c’était les 11, 12 et 13 novembre 2011 au musée des Arts décoratifs. Trois journées pour imaginer, créer et vivre une expérience muséale nouvelle à l’heure du numérique. Je vous l’avais annoncé ici, vous avez du en entendre parler autour de vous ou sur le groupe Facebook. Nous étions une petite centaine de participants et d’organisateurs, et nous l’avons vécu. Cette expérience est l’une des plus enrichissante et fabuleuse que Buzzeum ait pu vivre. Pour revivre un peu en direct ces trois journées, je vous conseille de parcourir trois sélections de moments choisis : Jour 1 / Jour 2 / Jour 3 . Trois journées entières, de 8h à minuit, où 11 équipes ont conçu de nouvelles expériences de visite au sein même des collections permanentes du musée des Arts décoratifs telles que la chambre de Valtesse de la Bigne, le cabinet des Fables, la chambre Art Nouveau signée Majorelle, l’appartement de Jeanne Lanvin ou encore la salle des frisages. crédits photos : Lorena Biret

musée participatif Pour ce premier article de fond, je souhaitais vous faire partager une des lectures qui m’a tenue en haleine tout l’été. Certain d’entre vous l’auront deviné, puisque je n’ai pu résister à en partager quelques phrases sur Twitter et Tumblr, ce livre n’est autre que « The participatory museum » de Nina Simon. Je ne vous ferais pas, même si la tentation est grande, une synthèse de tout l’ouvrage, mais en détacherais les points essentiels et vous inciterais vivement à le lire dans son intégralité ; les exemples et les études de cas que vous y trouverez formant autant de piste pour les musées et institutions culturelles futures. Je ne vais pas non plus vous présenter en détail son auteur, que j’ai souvent eu l’occasion de citer dans ce blog et que vous connaissez déjà très bien. L’essor du Web 2.0 fait entrer la question de la participation, du dialogue, dans le quotidien. « dépendent de la valeur et du comportement que l’institution souhaite promouvoir ».

useum The third and final day of Eyeo was no exception to the inspiration I’ve come to expect from the festival. The day was a bit shorter than the previous two, lacking an afternoon workshop and evening sessions, but the morning and midday were jam-packed without any break, so it was still a full day. Up first was Nicholas Felton, who goes by the online moniker “Feltron” (I’d always thought his last name was Feltron, but it isn’t). He talked about the data collection process he goes through to create his annual reports and I found it comforting to see how laborious the process is for him. After Nicholas, Mark Hansen, who I first heard about at a conference back in 2008 and have even exchanged a few experimonth-related emails with, spoke about programming people instead of pixels through a project he’s collaborating with the Elevator Repair Service. After Mark, Jer Thorp spoke about several projects he’s done in the year he’s lived in New York.

Club Innovation & Culture CLIC France — L'innovation technologique au service de la culture HDA-BO et HDA-Lab Le site « HDA-Lab » est né d’une collaboration entre l’Institut de Recherche et d’Innovation (IRI) et le Département des Programmes Numériques (DPN) du Ministère de la Culture et de la Communication. Ce projet de recherche et développement est destiné à montrer le potentiel heuristique du tagging sémantique. Le corpus Histoiredesarts Le corpus utilisé pour les besoins de ce projet est extrait d’Histoiredesarts. Il compte actuellement quelque 5000 notices descriptives renvoyant, par des liens profonds, vers autant de ressources en ligne. Chaque notice d’Histoiredesarts contient des mots-clés, initialement produits comme de simples tags. Le programme de Recherche et Développement impliquant l’IRI et le DPN prévoit la réalisation de deux outils : « HDA-BO » (Back-Office) et « HDA-Lab » (Laboratoire) « HDA-BO », module de tagging sémantique Cet outil offre une fonctionnalité de liaison avec Wikipédia. Cette approche offre de nombreux avantages, notamment : « HDA-Lab », preuve de concept

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