Les musées en partage
Avec Google Art Project, lancé cet hiver, on peut avoir accès, dans le confort de son foyer, à des reproductions de grandes oeuvres d’art de musées célèbres avec un niveau de détails incroyables (jusqu’à 7 milliards de pixels). Mais les musées ne se limitent pas à montrer simplement des oeuvres, car, selon la définition de l’ICOM, un musée est aussi « une institution au service de la société et de son développement ». Voilà pourquoi il y a, aujourd’hui, comme chaque année depuis 1977, la Journée internationale des musées. Les musées cherchent constamment à redéfinir leur rôle pour rester au service de cette mission. Les musées se sont transformés au même titre que la société. La relation avec le public reste pour eux un souci omniprésent. Une question de voix Mais comment une institution peut-elle en fait s’insérer dans un canal conçu comme un lieu de conversation entre des personnes authentiques? Les visiteurs-participants L’esprit de partage Traces
Museum 2.0
The Museum of the Future
On a vécu Museomix au musée des Arts décoratifs
Museomix c’était les 11, 12 et 13 novembre 2011 au musée des Arts décoratifs. Trois journées pour imaginer, créer et vivre une expérience muséale nouvelle à l’heure du numérique. Je vous l’avais annoncé ici, vous avez du en entendre parler autour de vous ou sur le groupe Facebook. Nous étions une petite centaine de participants et d’organisateurs, et nous l’avons vécu. Cette expérience est l’une des plus enrichissante et fabuleuse que Buzzeum ait pu vivre. Pour revivre un peu en direct ces trois journées, je vous conseille de parcourir trois sélections de moments choisis : Jour 1 / Jour 2 / Jour 3 . Trois journées entières, de 8h à minuit, où 11 équipes ont conçu de nouvelles expériences de visite au sein même des collections permanentes du musée des Arts décoratifs telles que la chambre de Valtesse de la Bigne, le cabinet des Fables, la chambre Art Nouveau signée Majorelle, l’appartement de Jeanne Lanvin ou encore la salle des frisages. crédits photos : Lorena Biret
Enlaces entre accesibilidad y participación. Múltiples voces en el Museo de Diseño de Helsinki.
1. Introducción: el caso de estudio La vida secreta de los objetos, un mapa interactivo del diseño finlandés (1) fue una exposición temporal (18 de Marzo al 1ro de Junio de 2008) en el Museo de Diseño de Helsinki, Finlandia, que recopiló una selección de objetos de diseño, que pertenecen a la colección permanente. Con esta exposición buscamos reinterpretar los objetos a través de la participación activa de los visitantes del museo, fomentada por una serie de recursos diseñados para tal fin. 2. Las estrategias que se usaron para lograr una activa participación y apropiación de la exhibición fueron de diferente índole. 2.1 ACENTUADA PRESENCIA EN LA EXPOSICIÓN. 2.2 USO DE RECURSOS EN LA EXPOSICIÓN Y REMOTOS. 2.3 INTEGRACIÓN CON LAS PRÁCTICAS DEL MUSEO. 2.4 COLABORACIÓN ENTRE MUTIPLES VOCES Y MODOS DE EXPRESIÓN. 2.5 INCLUSIÓN DE MINORIAS LINGUISTICAS. 2.6 USO DE VOCABULARIO CASUAL. 2.7. 2.8 USO DE NUEVAS TECNOLOGÍAS BASADAS EN VIEJOS HÁBITOS. 3. Conclusiones Agradecimientos
The Los Angeles Review of Books
musée participatif
Pour ce premier article de fond, je souhaitais vous faire partager une des lectures qui m’a tenue en haleine tout l’été. Certain d’entre vous l’auront deviné, puisque je n’ai pu résister à en partager quelques phrases sur Twitter et Tumblr, ce livre n’est autre que « The participatory museum » de Nina Simon. Je ne vous ferais pas, même si la tentation est grande, une synthèse de tout l’ouvrage, mais en détacherais les points essentiels et vous inciterais vivement à le lire dans son intégralité ; les exemples et les études de cas que vous y trouverez formant autant de piste pour les musées et institutions culturelles futures. Je ne vais pas non plus vous présenter en détail son auteur, que j’ai souvent eu l’occasion de citer dans ce blog et que vous connaissez déjà très bien. L’essor du Web 2.0 fait entrer la question de la participation, du dialogue, dans le quotidien. « dépendent de la valeur et du comportement que l’institution souhaite promouvoir ».
Insumissia - Cómo realizar una Acción Directa Noviolenta y no ...
Os presentamos la guía teórico-práctica "Cómo realizar una Acción Directa Noviolenta y no sucumbir en el intento", elaborada por el Grupo Antimilitarista de Carabanchel y la Asamblea Antimilitarista de Madrid como apoyo a los talleres de Acción Directa Noviolenta (ADN) que impartimos. Además, también encontraréis una unidad didáctica para impartir dicho taller. Esperemos que sea de utilidad a todas las personas y grupos que quieren que la noviolencia y la ADN forme parte de su acción transformadora. Si tienes este texto en tus manos, lo más probable es que hayas –o hayáis– decidido tomar parte en una Acción Directa Noviolenta (ADN). Al realizar una ADN debes tener en cuenta que estás realizando un acto de desobediencia civil. Este texto es una guía de ayuda para realizar una ADN. La Asamblea Antimilitarista de Madrid aúna a activistas que, procedentes del MOC y de otras luchas, trabajan el antimilitarismo desde hace años. Asamblea Antimilitarista de Madrid Guía completa: Unidad didáctica:
Artist Aganetha Dyck Collaborates with Bees to Create Sculptures Wrapped in Honeycomb
Photo by William Eakin Photos by William Eakin In North America, Europe and many other parts of the world, bee populations have plummeted 30-50% due to colony collapse disorder, a fact not lost on artist Aganetha Dyck who for years has been working with the industrious insects to create delicate sculptures using porcelain figurines, shoes, sports equipment, and other objects left in specially designed apiaries. As the weeks and months pass the ordinary objects are slowly transformed with the bees’ wax honeycomb. It’s almost impossible to look at final pieces without smiling in wonder, imagining the unwitting bees toiling away on a piece of art. Born in Manitoba in 1937, the Canadian artist has long been interested in inter-species communication and her research has closely examined the the ramifications of honeybees disappearing from Earth.
useum
The third and final day of Eyeo was no exception to the inspiration I’ve come to expect from the festival. The day was a bit shorter than the previous two, lacking an afternoon workshop and evening sessions, but the morning and midday were jam-packed without any break, so it was still a full day. Up first was Nicholas Felton, who goes by the online moniker “Feltron” (I’d always thought his last name was Feltron, but it isn’t). He talked about the data collection process he goes through to create his annual reports and I found it comforting to see how laborious the process is for him. After Nicholas, Mark Hansen, who I first heard about at a conference back in 2008 and have even exchanged a few experimonth-related emails with, spoke about programming people instead of pixels through a project he’s collaborating with the Elevator Repair Service. After Mark, Jer Thorp spoke about several projects he’s done in the year he’s lived in New York.