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Recruteurs : connaissez-vous les 5 biais cognitifs à éviter ?

Recruteurs : connaissez-vous les 5 biais cognitifs à éviter ?
Publi-reportage publié le 09/01/2012 Tendances de la pensée humaine à commettre des erreurs de jugement et à prendre de mauvaises décisions, les biais cognitifs sont le lot de tous, même des recruteurs. Ces raccourcis mentaux peuvent être d’influence sociale, des préjugés ou des facteurs de motivation. Si nous ne pouvons nous en affranchir, nous pouvons essayer de les reconnaître afin de réduire leur influence sur notre prise de décision. Il en existerait une soixantaine. Dans l’univers du recrutement, Patrick Leguide, fondateur de Central Test, identifie cinq principaux biais cognitifs, dont sont souvent victimes les professionnels de l’embauche. Le biais de naïveté Si nos émotions ont leur rôle à jouer dans notre processus de prise de décision, ces derniers ne doivent toutefois pas prendre le pas sur notre esprit critique. Le biais de l’entomologiste Le biais de confirmation Cette tendance nous pousse à rechercher des informations confirmant nos idées préconçues, nos hypothèses.

RH et Seniors, où en est-on ? A quel âge est-on Senior ? Il serait bien difficile de donner une seule réponse mais plusieurs indices nous donnent des pistes: En Ressources Humaines: L’entretien professionnel de fin de carrière est obligatoire pour les salariés qui ont plus de 45 ans. Les recrutements dans les plans Seniors visent les 50 ans et le maintien dans l’emploi s’intéresse aux 55 ans et plus. Pour les professionnels de la santé, c’est en moyenne vers 73 ans que les 1ers accidents sérieux surviennent. En marketing, arriver à l’âge de 50 ans marque un tournant dans le mode de consommation. A 35 ans, un sportif de haut niveau prend sa retraite. Et… La moyenne d’âge à l’Assemblée Nationale est de 59,5 ans ! L'enjeu des Seniors et l’emploi en quelques chiffres : En France, l’emploi des seniors est de 38% contre 43% en Europe et 70% en Suède ! L’emploi des 60-64 ans est de moins de 16% en France pour un taux moyen de 42% dans l’OCDE. Et demain ? Comment en est-on arrivé là en France? Le dispositif du contrat de génération :

Discrimination à l’embauche : un mal français La discrimination est réprimée par la loi en tant que rupture d’égalité arbitraire, elle porte atteinte à la dignité de la personne. Combien de candidats ont ressenti une injustice au moment des entretiens sans pouvoir reprocher quelque chose de bien précis. La discrimination à l’embauche est sournoise, pratiquement invisible, la loi en fait un délit, la Halde veille à son application, la jurisprudence vient rappeler à l’ordre les employeurs. Article L1132-1 du code du travail : la discrimination à l’embauche est illégale L’âge : la discrimination la plus importante Un candidat de 48-50 ans reçoit 3 fois moins de réponses positives qu’un candidat de 28-30 ans. L’apparence physique dans les métiers de contact L’apparence physique compte nettement pour les professions de la vente, pour ceux qui sont en relations avec l’extérieur de l’entreprise, diminuant par 2 les chances de décrocher un entretien d’embauche. Le Défenseur des droits/La Halde

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