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Judaïsme

Judaïsme
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article traite de la religion des Juifs. Pour un aperçu de ceux-ci dans leur ensemble, voir Juifs. Pour l'Encyclopedia Britannica, le mot judaïsme recouvre la religion des Juifs, ainsi que la théologie, la loi et les traditions culturelles du peuple juif[1],[2], constitué des descendants des Israélites provenant de l'antique terre d'Israël et des quelques minorités les ayant rejoints par la conversion et s'étant mélangées à eux au fil de leur diaspora de deux millénaires[3],[4]. Selon ses textes fondateurs, en particulier le Tanakh[6], la foi des anciens Israélites et de leurs descendants les Juifs, serait basée sur une alliance contractée entre Dieu et Abraham[7], qui aurait ensuite été renouvelée entre Dieu et Moïse[8]. Le judaïsme est l'une des plus anciennes traditions religieuses du monothéisme exclusif encore pratiquées aujourd'hui. Fondements du judaïsme[modifier | modifier le code] Pureté familiale[modifier | modifier le code]

Bahaïsme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page contient des caractères spéciaux ou non latins. Si certains caractères de cet article s’affichent mal (carrés vides, points d’interrogation…), consultez la page d’aide Unicode. Le bahaïsme Le mausolée de Bahāʾ-Allāh à Acre. Histoire[modifier | modifier le code] Le Bāb[modifier | modifier le code] Au début des années 1790 en Perse naît un mouvement chiite ésotérique et mystique sous la conduite de Šayḫ Aḥmad Aḥsāʾī. À la mort de Sayyid Kāẓim, le successeur de Šayḫ Aḥmad à la tête de l’école, certains de ses disciples partirent à la recherche d’un nouveau maître pour prendre la direction du mouvement. À son arrivée, le 23 mai 1844, Mullā Ḥusayn est accueilli par un habitant qui l’invite chez lui. Mullā Ḥusayn est le premier disciple du Bāb. Le cœur du message du Bāb est l’arrivée imminente de « Celui que Dieu rendra manifeste » (man yuẓhiruh Allāh), le promis annoncé par des religions du passé. Bahāʾ-Allāh[modifier | modifier le code]

Hindouisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vous lisez un « bon article ». La particularité de l'hindouisme est de n'avoir ni prophètes ni dogmes centraux[7]. Cependant, les hindous contemporains croient en l'autorité du Veda, qui, selon la tradition, fut révélé aux hommes, grâce à la « vision » des Rishi[8]. L'hindouisme se présente comme un ensemble de concepts philosophiques issus d'une tradition remontant à la protohistoire indienne[9], la pratique hindouiste étant sans doute issue d'une tradition orale très ancienne, proche de l'animisme[10]. Au-delà du syncrétisme théologique, l'hindouisme d'avant les invasions islamiques et le colonialisme européen qui soumirent l'Inde à leur autorité[11] était un vecteur pour toutes les sciences : le droit, la politique, l'architecture, l'astronomie, la philosophie, la médecine, etc., comme d'autres savoirs qui avaient en commun le substrat religieux. Étymologie[modifier | modifier le code] Histoire de l'hindouisme[modifier | modifier le code]

Protestantisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le protestantisme est l'une des principales familles du christianisme avec le catholicisme romain et l'orthodoxie. Entendu largement, le protestantisme est l'ensemble des groupements "issus, directement ou non, de la Réforme et qui rejettent l'autorité du pape" [1] Selon cette perspective, le protestantisme englobe des mouvements disparates allant des luthériens jusqu'aux quakers. Introduction[modifier | modifier le code] La Réforme est le résultat du rejet des orientations prises par le catholicisme pendant le Moyen Âge (et qui ont été définitivement réaffirmées par Rome au concile de Trente.) Origine du mot protestant[modifier | modifier le code] Ce sont les adversaires de la Réforme qui, les premiers, utilisèrent ce quolibet en 1529, en Allemagne, en désignant les princes protestants et les villes libres [4][5]. Plutôt attribué de façon péjorative, cet adjectif fut ensuite adopté comme substantif par les adeptes de la Réforme.

Islam Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ne pas confondre l'islam (et l'adjectif islamique) avec l'islamisme (et l'adjectif islamiste). L'islam (arabe : الإسلام) est une religion abrahamique[1] articulée autour du Coran, que le dogme islamique considère comme le recueil de la parole de Dieu (arabe : الله, Allah) révélée à Mahomet, considéré par les adhérents de l'islam comme le dernier prophète de Dieu[2], au VIIe siècle en Arabie. Un adepte de l'islam est appelé un musulman. L'islam a pour fondement et enseignement principal le tawhid (monothéisme, unicité), c'est-à-dire qu'elle revendique le monothéisme le plus épuré où le culte est voué exclusivement à Dieu. Outre le Coran, la majorité des musulmans se réfère à des transmissions de paroles, actes et approbations de Mahomet, récits appelés hadîths. L’islam se répartit en plusieurs courants, notamment le sunnisme, qui représente entre 80 et 85 % des musulmans[13], et le chiisme rencontré principalement en Irak et en Iran. Étymologie

Catholicisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le catholicisme est une confession chrétienne en même temps qu'il est une aspiration à l'unité de la foi, de l'Église catholique et par delà, de toute l'humanité dans le Christ. Le terme catholicisme est apparu à la fin du XVIe siècle, à la suite de la naissance des confessions protestantes, pour désigner la religion des chrétiens reconnaissant l'autorité du pape et des évêques[1]. D'un autre côté, l'adjectif « catholique » dont dérive le terme « catholicisme », renvoie aux origines même du christianisme. Ainsi, si l'usage du terme a une histoire qui remonte au XVIe siècle, c'est dans l'affirmation de la continuité d'une tradition bimillénaire de recherche d'unité et de « catholicité » que se situe aujourd'hui le catholicisme[2]. Le catholicisme renvoie a ce qui est appelé, sans uniformité, « Église », « Église catholique » ou « Église catholique romaine ». Définitions[modifier | modifier le code]

Jaïnisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une statue d'Ajitnath, deuxième Tîrthankara, « créateur de chemin », du cycle du temps jaïn actuel. Le jaïnisme ou jinisme (du sanskrit Jina, « vainqueur ») est une religion qui aurait probablement commencé à apparaitre vers le Xe siècle ou IXe siècle avant notre ère[1], dont les origines sont peu connues, qui serait venue de l'animisme et qui prend ses racines dans la plus haute antiquité[2]. Histoire[modifier | modifier le code] La communauté[modifier | modifier le code] Si d'époque en époque les Acharyas jaïns ont enseigné la foi, cette religion vit surtout à travers ses rituels religieux réunissant laïcs et moines-ascètes itinérants. La philosophie jaïne[modifier | modifier le code] Symbole officiel du Jaïnisme représentant la Cosmographie jaïne et sa devise : Parasparopagraho Jivanam (« les vies se doivent un mutuel respect »). Symbole Jaïn ; le svastika est un symbole majeur du jaïnisme. Les cinq vœux majeurs des jaïns sont :

Sikhisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Khaṇḍā est le symbole du sikhisme. Le mot « sikh » est dérivé du mot sanskrit शिष्यः (śiṣya) signifiant disciple ou étudiant, ou de शिक्ष (śikṣa), signifiant étude ou instruction[1]. Histoire[modifier | modifier le code] Gurû Nanak (1469-1539), fondateur du sikhisme, est né dans le village de Talwandi, nommé maintenant Nankana Sahib, près de Lahore, dans l'actuel Pakistan. Après plusieurs années de voyage, Guru Nanak réunit une communauté et fonde un village, Kartarpur - la Ville du Créateur. Avant son décès, le gurû complète l'Âdi Granth des œuvres de son prédécesseur, le renommé Siri Guru Granth Sahib, et commande qu'il soit dorénavant l'autorité spirituelle définitive et que l'autorité temporelle passe au Khalsa Panth - la Communauté des Sikhs. Guru Arjan construisit également le mondialement célèbre Gurdwârâ - Darbar Sahib, à Amritsar, qui est le centre du Sikhisme. Religion et philosophie[modifier | modifier le code] Ainsi Nanak dit:

Bouddhisme Le bouddhisme est une religion et une philosophie dont les origines se situent en Inde aux VIe – Ve siècles av. J.-C. à la suite de l'éveil de Siddhartha Gautama à Bodhgaya dans le Bihar et de la diffusion de son enseignement. Les notions de dieu et de divinité dans le bouddhisme sont particulières : bien que le bouddhisme soit souvent perçu comme une religion sans dieu créateur[n 1], cette notion étant absente de la plupart des formes du bouddhisme[n 2], la vénération et le culte du Bouddha historique Siddhartha Gautama en tant que bhagavat jouent un rôle important dans le Theravāda tout comme dans le Mahāyāna, qui voient en ce personnage un être éveillé doté d’un triple corps[n 3]. Le bouddhisme, à travers ses différentes écoles, présente un ensemble ramifié de pratiques méditatives, de rituels religieux (prières, offrandes), de pratiques éthiques, de théories psychologiques, philosophiques, cosmogoniques et cosmologiques, abordées dans la perspective de la bodhi, « l'éveil ». Origines

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