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Armes made in Israel pour les Contras syriens de l’Oncle Sam ?

Armes made in Israel pour les Contras syriens de l’Oncle Sam ?
Le fait mérite d’être noté :jusqu’à une date récente, l’État hébreu ne s’était guère fait remarquer sur le volet syrien de ce que nos media ont – un peu abusivement, il est vrai – appelé les « révolutions arabes ». La (relative) prudence hiérosolymitaine n’était pas infondée. Les Israéliens estimant notamment le comportement de Washington sur le sujet comme essentiellement « ostentatoire ». Le veto russe a, semble-t-il, passablement durci la position israélienne. Au bout du compte, Tel-Aviv reste beaucoup plus prudent que bien des Européens jouant les Rodomonte. Simple vœu pieux ? Interrogé, lui aussi, sur le dossier syrien, le député Yitzhak Herzog a reconnu avoir des « contacts avec l’opposition syrienne », notamment des éléments appartenant au pro-américain CNS. Est-ce tout ? Qu’est-ce qui me permet d’être aussi formel ? De son côté, Tsahal a adopté le FAL en remplacement du Mauser-CZ, au lendemain de la crise de Suez (1956). Tsahal n’en gardât pas moins ses FAL. Notes Partager !

Avis positif pour la culture du maïs MON 810, les moratoires vont tomber... A la demande de la Commission européenne, l’Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (EFSA) vient de rendre son avis sur le renouvellement de l’autorisation de culture du maïs MON 810 de la multinationale Monsanto. Comme à son accoutumée, lorsqu’il s’agit d’OGM, l’EFSA s’est prononcée en faveur de l’autorisation de culture, considérant une fois de plus qu’aucun élément scientifique pertinent, en terme de risques pour la santé humaine ou animale, ou pour l’environnement, n’avait été avancé pour justifier un refus. A la ‘décharge’ de l’EFSA, il est vrai qu’il doit être difficile de trouver de tels éléments dans un dossier présenté par Monsanto. Néanmoins, l’EFSA est coutumière de ce genre de décision, puisque sur les 42 fois qu’elle a été saisie pour les OGM, son avis a été systématiquement rendu en leur faveur. Lorsqu’elle sera effective, cette nouvelle autorisation verra de fait les six interdictions nationales de culture du maïs MON 810 disparaître. Pascal Farcy

« Contras » et « compas », une même amertume, par Raphaëlle Bail Héros national de la lutte anti-impérialiste des années 1920, Augusto Cesar Sandino les appelait les « frontières oubliées du Nicaragua ». Quatre-vingts ans après, les régions du nord se consolent de leur isolement en occupant une place essentielle dans l’imaginaire collectif du pays : elles furent, dans les années 1980, le théâtre des combats les plus acharnés entre l’Armée populaire sandiniste (EPS) et la Résistance nationale, dernière appellation des contre-révolutionnaires, plus connus sous le nom de contras. Témoins de luttes fratricides, las montañas, zone montagneuse pelée aux forêts mutilées par les coupes sauvages et au sol noirci par les brûlis, abritent désormais des démobilisés des deux camps. Redevenus paysans, ils cultivent un peu de terre et attendent toujours la construction des logements, écoles et centres de soins promis... il y a plus de dix ans. Taille de l’article complet : 2 228 mots. Vous êtes abonné(e) ? Vous n'êtes pas abonné(e) ? Accès sans abonnement

13 décembre 2007 Traité de Lisbonne Le traité de Lisbonne Le traité de Lisbonne est entré en vigueur le 1er décembre 2009[2], soit le premier jour du mois qui suit l'achèvement du processus de ratification dans les vingt-sept États signataires de l'époque, avec dépôt des instruments de ratification à Rome. Généralités[modifier | modifier le code] Le texte du traité a été approuvé par le Conseil européen de Lisbonne, le 19 octobre 2007, et signé le 13 décembre de la même année[3] par les 27 chefs d'État ou de gouvernement, également à Lisbonne, pour être ensuite ratifié par chaque État membre selon ses propres procédures de ratification. Le mandat donné à la « CIG 2007 » résulte du « projet de mandat pour la CIG », un document de quinze pages[4], annexé aux conclusions du Conseil européen de Bruxelles du 23 juin 2007. « Traité modificatif » plutôt que « traité simplifié » ou « mini-traité »[modifier | modifier le code] De plus, sa complexité rédactionnelle est très élevée. Calendrier[modifier | modifier le code]

Les gangs armés par des puissances étrangères tuent des civils On voit les dépouilles de nos martyrs sortir des maisons et des hôpitaux. On leur jette des fleurs et du riz. On voit des cortèges les accompagner vers leurs villes et villages pour y être enterrés. On voit des paysans et des villageois dont beaucoup sont très pauvres les entourer. On voit le long de villages verdoyants et d’autres montagneux, le cortège des dépouilles tracer son chemin dans les herbes du printemps précoce et des pins. Hier nous avons assisté aux funérailles de deux sœurs druzes à Jaramana, [banlieue de Damas]. Les plus imposantes funérailles ont eu lieu à Alep, avec la participation de religieux chrétiens et musulmans. A cette noble expression d’union nationale, le chef d’Al-Qaïda, Ayman al Zawahiri, répond, lui, en appelant ses hommes à venir en Syrie combattre l’armée gouvernementale syrienne ; la seule armée arabe dont la foi est basée sur l’inimitié avec l’occupant israélien. Fayrouz H Damas, le 11 février 2011.

Filterman Ancien de l'armée de l'air et des télécoms, 10 ans de recherche sur les radars 30 ans de recherche sur les risques des champs électromagnétiques et sur la manipulation du climat Tableau de bord Cet auteur n'a pas encore publié d'article Derniers commentaires Sondage Que pensez-vous de l’inversion de la courbe du chômage annoncée par le gouvernement ? Les vidéos pop du web Résister aux milices armées soutenues par l’étranger est une question de survie pour le peuple syrien Victime de milices islamistes violentes qui terrorisent les gens, la population syrienne craint ces opposants armés qui sèment la peur et le chaos. L’écrivaine syrienne Nadia Khost — auteur de nombreux ouvrages d’essais et de nouvelles portant sur l’histoire, l’architecture, la conservation et la protection du patrimoine de la Civilisation Arabe — vit à Damas. Ce qu’elle nous dit ici, sur ce qui se passe véritablement en Syrie, doit être pris très au sérieux. Il n’y a plus de fioul à Alep… les vendeurs ne peuvent que crier leur détresse aux observateurs délégués par la Ligue Arabe : « Nous sommes des travailleurs démunis, les bandes armées coupent les routes, volent le fioul, dérobent ou détruisent nos véhicules… quand ils ne nous tuent pas ! Pendant ce temps, les télévisions syriennes filment à distance et restituent des images d’horreurs, de massacres, que les Syriens ne pouvaient imaginer se produire sur leur sol. C’est ainsi que l’on brise la vie des citoyens. Que faire ?

Régimes multilatéraux de contrôle des exportations Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les régimes multilatéraux de contrôle des exportations (ou RMCE) sont nés de la volonté des principaux États producteurs et exportateurs d'armements et de technologies à double usage, d'une part, d'harmoniser leurs politiques d'exportations de ces biens et, d'autre part, de compenser les lacunes des traités internationaux en la matière. L'objectif ultime de ces RMCE est donc d'empêcher la prolifération incontrôlée de ces biens. En pratique, les RMCE sont des réunions informelles et volontaires d'États qui définissent une politique commune de contrôle des exportations de biens et technologies nucléaires afin de prévenir et d'empêcher leur prolifération incontrôlée. À l'heure actuelle, il existe cinq RMCE ayant pour objectif la régulation de la prolifération : Adhésion[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Lien externe[modifier | modifier le code]

Le rapport de la Ligue Arabe donne des preuves de l’implication de la CIA, du MI6 et du Mossad derrière les violences en Syrie Des extraits du rapport des observateurs de la Ligue Arabe en Syrie montrent clairement que les médias ne disent qu’une partie de l’histoire et exagèrent la violence exercée par le gouvernemnt Al-Assad et ses forces de l’ordre. Le rapport mentionne une “entité armée” qui tue des civils et des policiers et perpétue des attaques terroristes ciblant des civils innocents. Les pertes de ces attaques sont ensuite attribuées au gouvernement Al-Assad et utilisées pour construire de toute pièce un cas contre la Syrie aux Nations-Unies. D’après le rapport de la Ligue Arabe, “l’armée libre syrienne” et les “groupes d’opposition armés” sont responsables de bon nombre des meurtres commis. En Janvier, il a été rapporté que le MI6 britannique, la CIA et les forces spéciales du SAS britannique étaient en Syrie et travaillaient avec l’armée libre syrienne et le Conseil National Syrien (CNS) afin de renverser le régime du président Al-Assad. 28. 29. 75. Traduction : Résistance 71

Portail:Relations internationales Un domaine d'excellence des universités britanniques puis américaines Régulièrement, un ouvrage de politiste américain, capture l'air du temps provoque le débat autour d'une nouvelle « grille de lecture » ou théorie unificatrice de la politique internationale. Les plus marquants parmi l'école réaliste assez conservatrice ces dernières années sont : On peut également relever l'article « Les sources de la conduite soviétique » (1947) écrit sous le pseudonyme de « X » par George F. Kennan, qui préconisait la stratégie à adopter par les États-Unis pendant la guerre froide. Affaire Iran-Contra Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’affaire Iran-Contra (ou Irangate, nommée ainsi en souvenir du scandale du Watergate) est un scandale politique survenu aux États-Unis dans les années 1980. L'affaire est toujours voilée de secrets et il est difficile de découvrir les faits. Plusieurs membres de l'administration Reagan ont vendu illégalement des armes à l'Iran, qui était un ennemi avoué des États-Unis, utilisant les profits pour financer secrètement, et malgré l'opposition du Congrès des États-Unis[1],[2], les Contras, un mouvement contre-révolutionnaire nicaraguayen de lutte armée regroupant les opposants au gouvernement sandiniste de Daniel Ortega. Après la révélation de la vente d'armes en novembre 1986, le président Reagan est apparu à la télévision américaine et a nié les faits[4]. L'affaire[modifier | modifier le code] L’affaire met en lien deux sujets disparates : la vente d’armes à l’Iran et le financement de militants Contra au Nicaragua.

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