Passer des écrans aux urnes : pas si facile ! Nouvelle étape pour notre « guide de la web-campagne » dédiée cette fois à la mobilisation politique en ligne. Jusqu'où les candidats utilisent-ils Internet pour parler aux électeurs ? Avec quels résultats ? Début de réponse dans ce billet. A chaque parti politique son dispositif web. Quand le PS veut former des militants de terrain avec toushollande.fr, la plate-forme des volontaires de François Bayrou mise sur le jeu. Si tous viennent chercher des voix, il ne suffit pas d’être présent sur Internet pour séduire les électeurs connectés. 1 - La légitimité. 2 - La visibilité. 3 - Le dialogue. #1 - Légitimité : quid de la culture numérique des élus ? Un constat s’impose : les élus sont beaucoup plus âgés que la moyenne des Français. Nos hommes et femmes politiques sont donc loin d’être nés avec une souris dans la main. Dès lors, comment réussir à mobiliser en ligne, quand on ne maîtrise pas, ou peu, les arcanes du Web ? #2 - Visibilité : « likez, twittez, imprimez », les bases sont là
Réseaux sociaux et collectivités territoriales (dossier) L’hebdomadaire papier La Gazette des Communes datée du 28 novembre 2011 consacre sa une et un dossier de 6 pages à l’utilisation des médias sociaux par les collectivités territoriales : Réseaux sociaux : Adopter le bon profil. Deux chiffres marquants : 50 % des moins de 30 ans habitant le plus souvent en Ile-de-France et dans des villes de plus de 100 000 habitants s’informent sur la vie locale via les réseaux sociaux. De 2009 à 2011, le taux de lecture des publications territoriales (magazines municipaux…) a chuté de 89 % et l’audience des réseaux sociaux et blogs a crû de 23 % (baromètre CSA-Epiceum). Aujourd’hui, les collectivités locales s’emparent des médias sociaux (majoritairement Facebook et Twitter) en terme de communication externe. Cibler les communautés pour valoriser un territoire : Toulouse et Rennes sont pionnières en la matière pour les grandes villes. La Gazette des communes fait un focus sur le métier de community manager en collectivité territoriale : qui est-il ?
Collectivité sur les réseaux sociaux : seule ou en meute ? Aujourd’hui, la question de savoir si une collectivité (territoriale en l’occurrence, et ce terme inclura ici les intercommunalités) doit être présente sur les réseaux sociaux est réglée. Pratiquement. La réponse est oui, quasiment dans tous les cas. Pourtant, une fois cette réponse posée, arrivent invariablement d’autres questions. En particulier, quid des services de la collectivité et quid de ses établissements, notamment culturels et sportifs ? Une tradition dans ce secteur veut que les dits établissements aient quelques velléités d’autonomie et quelques propensions à contourner – certes sympathiquement mais contourner quand même – le centralisme (toujours démocratique) édifié par la direction, dite “centrale”, de la communication de la collectivité. 1 – Les motivations globales Tout d’abord, rappelons les motivations principales des collectivités à être sur les réseaux. - Veiller sur l’e-réputation de la collectivité en étant là où l’on parle d’elle aujourd’hui ; - la diffamation ;
Réseaux sociaux : les 10 freins à lever chez les collectivités Sur son blog, Vagabondages, Thomas Chaimbault, bibliothécaire et responsable de formations dans un établissement d’enseignement supérieur lyonnais, reprend, en français, les enseignements d’un article de Phil Mershon du Social Media Examiner, qui décrit 9 raisons pour lesquelles un contenu ne remonterait pas sur les réseaux sociaux. « Vos usagers n’ont pas confiance en vous »« Vos usagers se moquent éperdument de vous »« Vos publications sont ennuyeuses »« Les gens s’intéressent plus à de grandes causes qu’à des marques »« Les gens partagent du contenu pour construire des relations avec autrui »« Les usagers veulent être reconnus »« Les gens partagent pour gérer l’information »« Vous méconnaissez votre public »« Les gens sont encore attachés aux mails ».
Marketing Participatif : Les Conseils Pour Unir Les Marques Et Les Internautes En ces temps de Saint Valentin, le couple marque-consommateurs est à l’honneur avec le marketing participatif. Faire participer activement les consommateurs autour de projets variés, via des plateformes de co-création, est une technique de séduction efficace pour les marques. En effet, quoi de mieux pour créer une relation solide et durable que d’intégrer les internautes et de les impliquer dans divers projets autour de votre marque, allant de la recherche de nouvelles idées, à la création d’un design ou d’un prototype produit ? Voici donc quelques conseils pour mettre en place efficacement une campagne de marketing participatif. Savoir faire les bons choix En amour, nous sommes parfois confrontés à certains dilemmes qui nécessitent de faire appel à notre entourage pour trouver de l’aide. En marketing, le principe est le même. Chérir le principal engagé Le marketing participatif est né sous l’impulsion des consommateurs désireux de prendre la parole auprès des marques.
Réseaux sociaux : collectivités, mieux vaut en être l'initiateur ! « Aujourd’hui, toutes les collectivités ont intérêt à avoir un compte Facebook », estime Franck Confino, expert en réseaux sociaux et en communication des collectivités locales. Voilà qui est dit ! Pourtant, on a toujours mille et une bonnes raisons pour ne pas franchir le cap ! Aux collectivités qui pensent que le débat va dégénérer, que c’est un effet de mode, que c’est chronophage, que cela ne concerne pas toute la population, qui craignent de ne pas avoir la maîtrise de leur e-reputation etc. écoutez plutôt ce conseil de Franck Confino : « Si vous ne vous lancez pas dans les réseaux sociaux, ils vous rattraperont d’une façon ou d’une autre. Donc mieux vaut en être l’initiateur ! 1 collectivité sur 2 sur les réseaux – Sachant que seule 1 collectivité sur 2 a intégré les médias sociaux dans sa stratégie de communication internet, il y a du pain sur la toile. Le community manager – Une fois établie, la stratégie va certainement prévoir de recruter le fameux « community manager ».
Actualité de la distribution et du matériel informatique Pour la majorité des acteurs du marché, les entreprises cherchent aujourd'hui à urbaniser leurs réseaux sociaux pour les rendre utilisables par touts leurs collaborateurs. Sur un marché encore morcelé, elles hésitent entre des acteurs spécialisés et les grands noms de l'informatique, qui mettent en avant le caractère global de leurs solutions. Un marché encore complexe où les VARS, entre connaissance du métier et problématiques d'intégration, ont un nouveau rôle à jouer. Sommaire du dossier : 1 Les réseaux sociaux d'entreprise entrent en phase de généralisation Après une phase d'expérimentation, les entreprises sont aujourd'hui convaincues de l'intérêt des réseaux sociaux d'entreprise pour favoriser les échanges de pair à pair au sein de l'organisation.
Les réseaux sociaux d'entreprises face aux défis de l'intégration Crédit Photo: D.R Après une phase d'expérimentation, les entreprises sont aujourd'hui convaincues de l'intérêt des réseaux sociaux d'entreprise pour favoriser les échanges de pair à pair au sein de l'organisation. Pour un nombre croissant d'entreprises comme pour les éditeurs spécialistes, le principal défi à relever désormais est celui de l'intégration. Selon l'étude publiée le 31 janvier dernier par le cabinet français spécialiste du domaine, Lecko, anciennement Useo, le marché national des solutions de services logiciels (SaaS) de RSE (Réseaux Sociaux d'Entreprise) a franchi en 2011 la barre des 9 millions d'euros, soit un bond de 60% par rapport à l'année précédente. « Le marché hexagonal n'a rien de comparable en volume avec le marché américain, mais ses caractéristiques sont assez proches », analyse Arnaud Rayrolle, PDG de Lecko. Les RSE pour suivre le rythme d'évolution des savoirs Cette attente des entreprises n'est pas nouvelle. Une multitude d'offres spécifiques
Facebook va lancer les comptes vérifiés et les pseudonymes Evolutions en cours chez Facebook ! Selon Techcrunch, le réseau social a intégré aujourd’hui les « utilisateurs vérifiés », ainsi que la possibilité pour ces membres d’opter pour un pseudonyme à la place de leur « vrai nom ». Cela peut sembler anodin, mais c’est un petit bouleversement pour Facebook, qui jusque là ne dérogeait pas à sa règle du vrai nom, et uniquement du vrai nom… Ceux d’entre vous qui utilisaient un pseudo sur Facebook ont d’ailleurs peut-être la désagréable surprise de voir leur compte suspendu. Car les conditions générales d’utilisation sont très fermes là-dessus : sur Facebook, ta véritable identité tu utiliseras. Facebook introduit donc une (légère) dérogation à sa règle de l’identité, pour les célébrités au moins. Selon Techcrunch, Facebook introduit cette procédure afin que les utilisateurs ne soient pas dupés, et s’abonnent vraiment aux célébrités dont ils souhaitent suivre les mises à jour, et non à des imposteurs.
Rédaction, blogues et curation J'ai eu le privilège de donner une conférence/formation à près de 70 bibliothécaires, archivistes et agents de recherche de Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ) à la mi-février 2012. Il s'agit d'un condensé, voire d'un ersatz de trois heures d'une formation pratique de 12 heures que je donne chez Technologia: Atelier de rédaction Web. Voici donc ma présentation à partir de SlideShare. Contrairement à toutes les autres, on ne peut pas la télécharger. Bien entendu, il manque la partie orale "in-vivo" qui fait toujours cruellement défaut à ce type de présentation... Enfin, les pages du cahier auquel je fais référence dans certaines diapos ne sont pas disponibles; le cahier en question est réservé exclusivement aux participants. B an q_redacweb_pleroux View more presentations from Patrice Leroux/FEP/Université de Montréal J'y souligne donc certains principes reconnus de la rédaction web tout en insistant sur l'importance du blogue, de Twitter et de la curation. Patrice Leroux
Panorama des médias sociaux 2012 (The english version of this article is here: Social Media Landscape 2012) Il y a quelques années une analyste disait que dans cinq ans, les médias sociaux seront comme l’air (omniprésents). Nous sommes en 2012 et les médias sociaux n’ont jamais occupé une place aussi importante sur le web, à tel point que l’on en vient à se demander dans quelle mesure il est encore pertinent de dissocier les médias sociaux et le web. Pourtant, si l’on s’en tient à la définition que j’ai donnée (“Les médias sociaux désignent un ensemble de services permettant de développer des conversations et des interactions sociales sur internet ou en situation de mobilité”), il existe bien une différence entre un site web classique et les médias sociaux, surtout si l’on étudie de plus près les différents types de médias sociaux. Un écosystème toujours aussi dense Nous retrouvons ainsi au centre de ce schéma trois acteurs qui proposent une large palette de fonctionnalités (Facebook, Twitter et Google+).
Les 3 étapes de l’évolution digitale de votre entreprise On lit sans cesse que nous sommes en train de vivre une révolution digitale, sociale et mobile. De nouveaux acronymes comme le SOLOMO (SOcial LOcal MObile) apparaissent pour définir cette interconnexion entre la géolocalisation, les interactions digitales au sein de lieux physiques (magasins, restaurants, musées, …), les usages sociaux et participatifs, les nouveaux services que sont les médias sociaux et les terminaux mobiles. Sauf que Facebook n’est pas la révolution, la vraie révolution est celle qui doit, et qui en train d’avoir lieux au sein des entreprises, comme je l’avais précédemment écrit (La révolution, ce n’est pas Facebook : c’est la digitalisation de l’entreprise). Digitalisation et social business Cette révolution digitale est ce passage des entreprises vers le monde digital. Certaines n’ont déjà pas survécu, faute d’avoir su faire leur mutation à temps, face à des nouveaux entrants ou des usages qui ont bouleversé leur univers. Savoir se tenir prêt
Pinterest : le nouveau réseau social visuel qui progresse exponentiellement Pinterest, ce nom bizarre que notre cerveau a du mal à lire, ne vous dit sans doute rien. Enfin, pas encore. Pourtant il a été créé en 2010 et fonctionne toujours sur invitation… Aux Etats-Unis c’est déjà une mini-tornade parmi les réseaux sociaux et reddit-like illustrés. Il s’agit d’un mélange de Delicious (favoris), Reddit (buzz en tous genres) et Google+. Ce tableau de bord est en quelque sorte un classeur dans lequel on range ses trouvailles favorites et on découvre celles des autres. Le site permet de commenter, repiner, liker, retweeter, récupérer un code embed ou rapporter un spam pin. Fait non anodin, le réseau social a la préférence de ces dames : 60% des visiteurs sont de sexe féminin. De grandes marques américaines sont déjà sur Pinterest : c’est le cas de Martha Stewart ou Whole Foods par exemple. Si tout ce que je viens de vous raconter vous tente, entrez votre email sur pinterest.com et attendez l’invitation.