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Collapsing Cooling Towers

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Vidéo L'homme le plus tatoué au monde de noriko (Animaux - noriko Voici Matt Gone, l’homme le plus tatoué au monde. Il estime que 98% de son corps est tatoué. Les seules parties de son corps qui ne sont pas tatouées sont ses plantes de pieds. Pour parvenir à un tel exploit, 75 artistes ont participé à la création de ses tatouages. Matt Gone s'était jusqu'ici contenté de tatouer sa peau, mais il lui a fallu aller plus loin puisqu'il a désormais fait tatouer... monde, insolite, mondial, tatouage, homme, tete, pied, yeux, incroyable, record, langue, corps

Le parc nucléaire japonais entièrement à l’arrêt au mois de mai ? A peine cinq des quarante-neuf réacteurs nucléaires que compte le Japon sont actuellement en service Le ministre de l’Industrie a reconnu auprès de nos confrères de l’agence Dow Jones ne pas être en mesure de déterminer une feuille de route de réactivation des réacteurs nucléaires actuellement hors service. On l’a évoqué hier, les Japonais ont pris le pli des économies d’énergie. Ils n’ont il est vrai guère le choix, quarante-quatre des quarante-neuf réacteurs nucléaires que compte le pays du soleil levant étant aujourd’hui à l’arrêt, pour maintenance, parce qu’ils font l’objet de stress tests ou parce que les populations riveraines, encore très marquées par l’accident de Fukushima, préfèrent qu’il en soit ainsi… Il y a ainsi tout lieu de croire que les Japonais seraient à même de surmonter l’extinction de la totalité du parc nucléaire du pays, qui pourrait devenir réalité courant mai, conformément à la volonté de la majorité de la population.

Le Porno Déménage ! Vous qui tombez parfois sur des sites pornographiques totalement par hasard, sachez que dorénavant leur nom domaine va passer au .xxx ! Et c’est donc pour informer la masse, que l’agence M & C Saatchi, nous a pondu ces 3 prints bourrés d’humour ! Via Un pro nucléaire à votre réveillon ? Pas de panique ... On apprenait mardi dans un article publié par Mediapart qu’EDF demande à ses cadres de présenter, avant le 31 décembre, à tous les agents, pendant une heure, une note sous la forme d’un PowerPoint sur “quel débat sur le nucléaire après Fukushima?”. Mediapart raconte : un représentant de la direction et une personne du service de communication viennent devant chaque équipe “pour expliquer ce que nous devons dire à l’extérieur et dans nos familles“, raconte un agent, selon qui “on sert d’ambassadeurs du nucléaire. Ils attendent qu’on en fasse l’apologie“. Alors si, pendant le repas de Noël, vous êtes assis à côté de l’un de ces ambassadeurs, pas de panique. Greenpeace vous propose un guide de survie à un dîner avec des pro-nucléaires. Ce guide, pratique, recense les idées reçues et les clichés préférés du nucléaire.. Couvrira-t-on la France d’éolienne ? Guide de survie à un dîner avec des pro-nucléaires Le guide est téléchargeable ici

Un poisson à trois yeux découvert près d’une centrale nucléaire en Argentine Cinq pêcheurs argentins ont découvert le week-end dernier un poisson loup mutant à trois yeux. Situé près de la centrale nucléaire de Cordoba, le lac Chorro de Agua Caliente où il a été pêché, reçoit les eaux de refroidissement de la centrale Blinky, le poisson orange à trois yeux retrouvé dans le lac de Springfield et imaginé dans les années 1990 par Matt Groening, le créateur des Simpson, ne relève plus uniquement de la fiction. Un poisson mutant similaire vient en effet d’être retrouvé par cinq pêcheurs dans un lac de la région de Cordoba (Argentine) situé près d’une centrale nucléaire. Peut-elle nous renseigner quant aux dégâts perpétrés par le nucléaire sur la faune et, par extension, sur l’Homme ? Quant aux animaux mutants, ils meurent plus rapidement que ceux qui ont été épargnés par la radioactivité, aussi est-il plausible que les experts n’aient pas eu le temps de les dénicher. Crédits photos : Cadena 3

Centrales nucléaires et leucémies infantiles Notre communiqué de presse du 12/01/2012 La revue Journal International du Cancer vient de publier dans son numéro de janvier une étude scientifique établissant une corrélation très claire entre la fréquence des leucémies infantiles aigües et la proximité des centrales nucléaires [1]. Cette étude épidémiologique rigoureuse, menée par une équipe de l’INSERM [2], de l’IRSN [3], ainsi que le Registre National des maladies hématologiques de l’enfant de Villejuif, démontre pour la période 2002-2007 que la fréquence d’apparition de leucémies infantiles (enfants de 0 à 14 ans) augmente de façon importante dans un rayon de 5 km autour des centrales nucléaires françaises - jusqu’à 2,2 fois plus chez les enfants de moins de 5 ans. Cette étude confirme ainsi celle menée en Allemagne par le Registre des Cancers de Mayence en 2008 [4], qui avait abouti à des conclusions similaires. démontage de l’étude faisant la démonstration d’excès de leucémies infantiles autour des centrales allemandes [6].

Hausse du risque de leucémie de l'enfant près des centrales Une étude française montre que le risque de leucémie est augmenté chez les enfants vivant à proximité des centrales nucléaires, mais cet excès n'est pas corrélé aux très faibles doses de radiation dues aux rejets des centrales. L'important maintenant est donc d'en comprendre la ou les causes. C'est la conclusion prudente que suggèrent les nouvelles données portant sur la période 2002-2007, analysées par l'équipe de Jacqueline Clavel épidémiologiste au Centre de recherches en épidémiologie et santé des populations (Inserm) en collaboration avec l'IRSN (Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire). Le risque demeure cependant extrêmement faible. Poursuivre les recherches Les détails de l'étude viennent d'être publiés en ligne dans l'International Journal of Cancer. » Leucémie: les signes, les traitements » Des avancées majeures dans certaines formes de leucémie

Centrale nucléaire de Golfech : EDF devra répondre de ses actes devant les tribunaux 10 novembre 2017 CIGÉO : défendant l’indéfendable, Hulot enterre son éthique avec les déchets - Jusqu’où reculera-t-il devant le lobby nucléaire ? 7 novembre 2017 Le gouvernement enterre les (insuffisants) objectifs de la loi de transition énergétique 30 octobre 2017 Nouvelle publicité EDF : l’industrie nucléaire continue ses mensonges et se réfugie dans la réalité virtuelle Plainte déposée devant le Jury de déontologie publicitaire 27 octobre 2017 Le 3ème Forum Social Mondial antinucléaire se tiendra à Paris du 2 au 4 novembre 2017 24 octobre 2017 Bure : Jean Pierre Simon condamné, toutes et tous coupables de nos convictions ! 20 octobre 2017 État de délabrement avancé à la centrale nucléaire de Belleville : nous exigeons qu’EDF soit sanctionnée en justice ! 19 octobre 2017 Nouvelle décision complaisante envers Areva ! 17 octobre 2017 Importants rejets de gaz radioactifs à la centrale nucléaire de Golfech : pas d’impunité pour EDF !

L'ASN épingle EDF sur des fuites à la centrale nucléaire de Civaux L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a envoyé un rapport accablant à la direction de la centrale de Civaux (Vienne) après la découverte de fuites de tritium dans la nappe phréatique. Ce rapport, daté du 23 janvier et mis en ligne mercredi 25 janvier sur le site de l'ASN, a été rédigé après l'inspection que l'organisme a diligentée sur place la semaine dernière. Il met en évidence "une attention insuffisante aux risques de contamination par le tritium, tant en ce qui concerne l'état de la capacité de rétention, les programmes de surveillance du génie civil, le choix des méthodes de mesures employées par le service de prévention des risques et la formation des agents". L'ASN indique également qu'"à l'intérieur de la capacité de rétention, des fissures sont présentes dans le béton, dont certaines ont manifestement fait l'objet d'une réparation d'étanchéité à l'aide de mastics ou de gels de silicone".

Les 58 réacteurs nucléaires français aussi fragiles que ceux de Fukushima Greenpeace a commandité un rapport critique sur les évaluations complémentaires de sûreté, communément appelées “stress-tests”, des installations nucléaires françaises, demandées par le gouvernement à EDF et Areva et analysées par l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN). Cette contre-analyse menée par des experts indépendants démontre qu’en cas d’accident entraînant une fusion du cœur du réacteur aucun des 58 réacteurs nucléaires français en fonctionnement ne résisterait mieux que ceux de Fukushima : les risques de ruptures de confinement et de rejets radioactifs importants sont tout aussi réels qu’au Japon. Sur la méthode d’analyse employée par les exploitants, les experts indépendants sont dubitatifs : les évaluations complémentaires de sûreté ont été faites de manière totalement théorique. Autre point mis en avant par les scientifiques : l’absence de prise en compte des risques liés à certains facteurs extérieurs, notamment le facteur humain. Partagez cet article :

Nucléaire : manque d’argent pour le démantèlement Actualité Provisionne-t-on assez d’argent pour le démantèlement des centrales nucléaires en Belgique et le traitement des déchets ? Le citoyen belge est en droit de se poser la question. Ce que l’Ondraf conteste, ce sont les montants qui ont été acceptés en décembre dernier par la Commission des provisions nucléaires, qui sont nettement inférieures à ses recommandations. Revenons en arrière pour comprendre ce qui s’est passé. Tout commence fin 2010. Mais pour Synatom, les montants proposés par l’Ondraf en novembre 2010 sont trop élevés. Le plus étonnant c’est que cette décision majeure est prise par un nombre restreint de représentants de la commission. A la lumière de cette affaire, on voit que les provisions pour le démantèlement des centrales et la gestion du combustible irradié constituent un énorme enjeu financier, qui pousse les producteurs nucléaires, à commencer par Electrabel, à tenter par tous les moyens de minimiser leurs coûts.

Le risque nucléaire, "le problème actuel le plus préoccupant" - LeMonde.fr#xtor=EPR-32280229-[NL_Titresdujour]-20120220-[deroule] Le Monde | • Mis à jour le | Par Pierre Le Hir Fukushima n'aurait-il rien changé ? Le poids de l'atome est-il si grand en France, sa présence si incontestable que, moins d'un an après la catastrophe japonaise du 11 mars 2011, la plus grave de l'histoire du nucléaire après celle de Tchernobyl, l'onde de peur qui a parcouru la planète n'ait pas de résonance dans l'Hexagone ? "On ne la fermera pas, cette centrale, il n'en est pas question !", a martelé, le 9 février, Nicolas Sarkozy devant les salariés du site nucléaire de Fessenheim (Haut-Rhin), le plus ancien de France et, à ce titre, la bête noire des écologistes. "Cette centrale ne fermera pas au seul motif de l'idéologie ou de la transaction politique. Et pourtant. "A l'évidence, l'accident de Fukushima a provoqué un choc dans l'opinion", commentent les auteurs de l'étude, Marie-Hélène El Jammal et François Rollinger. "Fukushima a marqué une évolution très nette. "Avant Fukushima, les centrales nucléaires avaient une image banalisée.

Greenpeace présente sa contre-expertise sur le nucléaire français Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Rémi Barroux et Pierre Le Hir Jamais l'atome n'aura fait l'objet, en France, d'autant d'études, de rapports et de contre-rapports. Après l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN), la Cour des comptes et la commission "Energies 2050", c'était au tour de Greenpeace de rendre publique, lundi 20 février, une "analyse critique des évaluations complémentaires de sûreté menées sur les installations nucléaires françaises après Fukushima". Principale conclusion : ces évaluations comportent "trop de limites et de lacunes pour fonder des décisions définitives". >> Le rapport de Greenpeace sur la sûreté nucléaire en France post-Fukushima Les auteurs ont plus particulièrement passé au crible les dossiers des centrales de Gravelines (Nord), Flamanville (Manche)...

Sciences : Fukushima: la centrale n'aurait jamais dû être inondée INFOGRAPHIE - Sur la base de prévisions sismiques erronées, les ingénieurs japonais ont creusé une ancienne falaise côtière pour installer les réacteurs à une altitude bien trop basse Tous les spécialistes s'accordent sur le fait que la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi a a priori résisté à la terrible secousse sismique (magnitude 9) qui a frappé le nord-est du Japon, il y a tout juste un an, le 11 mars 2011, à 14h46. Ce que l'on sait moins en revanche, c'est que ces installations hautement sensibles n'auraient jamais dû être inondées par le tsunami qui a dévasté la côte nippone dans l'heure qui a suivi, faisant près de 20.000 morts et disparus. Car c'est bien cette vague monstrueuse de 10 à 12m de haut qui, en noyant la centrale, en particulier les groupes électrogènes de secours chargés de refroidir le combustible nucléaire, a provoqué toute une série de dysfonctionnements qui ont abouti à la fusion totale ou partielle de trois réacteurs. Les pieds dans l'eau «Un concept erroné»

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