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NoSQL : 5 minutes pour comprendre

NoSQL : 5 minutes pour comprendre
NoSQL signifie “Not Only SQL”, littéralement “pas seulement SQL”. Ce terme désigne l’ensemble des bases de données qui s’opposent à la notion relationnelle des SGBDR. La définition, “pas seulement SQL”, apporte un début de réponse à la question “Est ce que le NoSQL va tuer les bases relationnelles?”. En effet, NoSQL ne vient pas remplacer les BD relationnelles mais proposer une alternative ou compléter les fonctionnalités des SGBDR pour donner des solutions plus intéressantes dans certains contextes. Mais pourquoi le NoSQL ? Le premier besoin fondamental auquel répond NoSQL est la performance. Cohérence : tous les noeuds du système voient exactement les mêmes données au même momentHaute disponibilité (Availability) : en cas de panne, les données restent accessiblesTolérance au Partitionnement : le système peut être partitionné Mais le théorème du CAP précise aussi que seulement deux de ces trois contraintes peuvent être respectées en même temps. Conclusion

NoSQL Europe : Tour d’horizon des bases de données NoSQL Le NoSQL regroupe de nombreuses bases de données, récentes pour la plupart, qui se caractérisent par une logique de représentation de données non relationnelle et qui n’offrent donc pas une interface de requêtes en SQL. Cassandra, Neo4j, Riak, Redis ou encore HBase sont des noms de projet qui brillent par leur présence dans l’actualité depuis quelques mois. Bien qu’ils soient tous étiquetés ‘NoSQL’ de grandes disparités les distinguent. Du fait de l’hétérogénéité de ces bases de données, des familles se sont créées pour les regrouper. Cet article présente un tour d’horizon de l’ensemble de ces familles, de leurs caractéristiques et de leurs intérêts. Les familles de NoSQL Une remarque qui est revenue régulièrement lors des sessions de cette conférence est que le NoSQL est très souvent réduit au concept de simple association clé-valeur et d’accès put/get. Les bases de données clé-valeur Les implémentations les plus courantes sont Riak, Redis, Voldemort. Les bases de données orientées graphe

NoSQL : le choix difficile de la bonne base (et comment bien le faire) Les bases de données NoSQL ont été conçues pour résoudre les problèmes de traitements de données en volume, multi-sources et multi-formats, dans des environnements Big Data. Toutefois aucun distinguo n’est fait en matière de volume ou diversité des données lorsqu’on parle de technologies NoSQL, perdant ainsi les DSI et les responsables de la donnée au milieu de nombreuses alternatives, difficiles à évaluer. « Le marché est aujourd’hui rempli de bases de données NoSQL – je pense que nous sommes confrontés à deux ou trois d’entre elles tous les jours », ironise Michael Simone, en charge de l’ingénierie de la plateforme CitiData de Citigroup, lors d’une présentation réalisée à l’occasion de la conférence MongoDB World. En réalité, Citi a circonscrit volontairement les usages de la base MongoDB, comme alternative NoSQL aux bases relationnelles, à un petit nombre d’applications, explique-t-il. Les bases de données orientées document : une structure mixe Les bases clé/valeur : la simplicité

NoSQL Europe : Bases de données orientées documents et MongoDB La base de données orientée documents est une évolution de la base de données clé-valeur telle que précédemment présentée. Ici chaque clé n’est plus associée à une valeur sous forme de bloc binaire mais à un document dont la structure reste libre. Les applications effectuent majoritairement des requêtes en lecture par identifiant ; ce constat a conduit au développement des bases de données clé-valeur. Les applications Web diffusent des pages entières résultant d’un ensemble de jointures en base : les bases de données orientées documents découlent de ce second constat. Au-delà de ce cas d’utilisation, la modélisation des données sous forme de documents permet également de stocker de manière idéale toute forme de structure de données non plane, c’est-à-dire qui nécessiterait en ensemble de jointures en logique relationnelle. Mathias Stearn a présenté ces concepts en action avec MongoDB, l’une des deux bases de données orientées documents actuelles, l’autre étant CouchDB. MongoDB Conclusion

NoSQL Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En informatique, NoSQL désigne une famille de systèmes de gestion de base de données (SGBD) qui s'écarte du paradigme classique des bases relationnelles. L'explicitation du terme la plus populaire de l'acronyme est Not only SQL (« pas seulement SQL » en anglais) même si cette interprétation peut être discutée[1]. La définition exacte de la famille des SGBD NoSQL reste sujette à débat. Le terme se rattache autant à des caractéristiques techniques qu'à une génération historique de SGBD qui a émergé à la fin des années 2000/début des années 2010[2]. D'après Pramod J. L'architecture machine en clusters induit une structure logicielle distribuée fonctionnant avec des agrégats répartis sur différents serveurs permettant des accès et modifications concurrentes mais imposant également de remettre en cause de nombreux fondements de l'architecture SGBD relationnelle traditionnelle, notamment les propriétés ACID. Théorie[modifier | modifier le code]

Petit état des lieux du NoSQL Pendant longtemps, les bases de données relationnelles ont été l'unique solution pour enregistrer des données, ou en tout cas, la solution adoptée par défaut par beaucoup de monde sans plus de réflexion sur le sujet. Pourtant, certaines personnes considèrent que le problème de stockage de données est en fait multiple et qu'il convient de se poser de nombreuses questions : Est-ce que les données sont fortement structurées ou non ? Quel est le ratio entre les lectures et les écritures ? Est-il acceptable de perdre un enregistrement sur un million ? Sur un milliard ? Les bases de données relationnelles proposent leurs réponses à ces questions ; elles peuvent paraître raisonnables dans bien des cas, mais pas toujours. NdA : Merci à Christophe Turbout, Thomas Douillard, Buf, olivierweb, Spack, baud123, Bruno Michel, mike.simonson et rakoo pour leur aide lors de la rédaction de cette dépêche Sommaire Base de données clef-valeur Définition Exemples Base de données colonnes Base de données documents

Qu’est-ce qu’une base NoSQL ? Les cas Datastax et MongoDB | Digora Les bases de données NoSQL sont de plus en plus utilisées mais savez-vous vraiment ce qu’elles renferment ? Prenons les exemples de Datastax (Cassandra) et MongoDB qui figurent parmi les solutions NoSQL les plus utilisées du marché. A quoi sert une base NoSQL ? Les bases relationnelles ont été « inventées » par Edgar F. Difficultés pour sauver et récupérer des grappes d’objets avec des programmes écrits en Java ou C#... Voici les 3 aspects qui ont motivé la nouvelle vague de bases NoSQL (Not Only SQL Le VOLUME des données créées double tous les 2 ans. En fait, le terme base NoSQL définit une nouvelle génération de produits qui ne suivent pas le modèle relationnel. 4 types de bases de données NoSQL Clé- valeur, document, colonnes et graphes sont les 4 types de bases de données NoSQL. Type 1 : Entrepôts clé-valeur (ECV) Les données sont stockées en clé-valeur : une clé plus un BLOB (dans lequel on peut mettre : nombre, date, texte, XML, photo, vidéo, structure objet). Pour aller plus loin

General Base de données NOSQL : Que sont les bases de données NoSQL ?Principe des bases de données NoSQLL’émergence du Big Data et des bases NoSQL Les Bases de données NOSQL : Définition : les bases de données relationnelles se prêtent mal aux exigences des applications massivement parallèles exploitant de grandes quantités de données. Pourquoi NoSQL ? Le langage SQL règne en maître sur les bases de données relationnelles depuis quelques décennies. Principes et structures de données Principes : NoSQL se base sur des expérimentations pratiques pour répondre à des besoins concrets. Les structures : de données Entre le relationnel et le NoSQL, il y a des conceptions fondamentalement différentes de la structure des données. La plupart des moteurs NoSQL manipulent des agrégats. Le langage SQL Le langage SQL est un langage d’extraction de données, certes conçu autour du modèle relationnel, mais il n’est pas le modèle relationnel lui-même. L’émergence du Big Data et des bases NoSQL 3 des principales bases NoSQL Open Source

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